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 [/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\]

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Cacilie D. Evanks
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Cacilie D. Evanks

Féminin Age : 33

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MessageSujet: [/!]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!]   [/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\] HorlogeoSam 5 Mar - 11:53


[/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\] Jabby01
Il était une fois, l'étrange aventure d'une demoiselle dont les yeux désaccordés avaient perdus la couleur de la joie ou de la douceur, et d'un jeune homme, homme? Sans doute un peu, dont le regard vermeille pouvait illuminer les cieux d'un éclat d'intérêt. Un conte de fée, j'aurais tellement aimé. Tout commença d'un regard, d'une simple envie, d'un doux échange de murmures. Vous voulez savoir n'est-ce-pas? Je le sais, le pourquoi du comment, savoir pour comprendre comment tout commence...

Ce n'était qu'un songe, rêve solitaire d'un esprit animé d'impatience, ce n'était qu'une demoiselle dans le froid des Dark-Streets. Le pas lent et l'esprit léger, la demoiselle dans sa robe de dentelle noir et de satin rouge, marchait le long des ruelles. Ses jupons volant aussi lentement que sa marche, elle se perdait dans les méandres de la mélancolie. C'est sans doute pour cela qu'elle passa la porte de ce bar...

    Je ne pourrais jamais oublier cet instant, lorsque lentement la porte s'ouvrit sous le poids de mon ennuie. J'avais la main posée sur la poignet et le regard éteint. La salle était vide, il n'y avait rien, personne, une simple lumière aux couleurs de couché de soleil. La porte se referma derrière moi, m'enfermant d'avantage dans cette étrange pièce. Je pouvais, sous le poids du silence, entendre mes talons vernis noir claquer sur ce sol brillant. Mon regard se perdait sur les rideaux de velours pourpre sur ce lieux qui semblait d'avantage, sortit d'un de mes songes qu'une réalité possible. Surtout lorsque je le vis lui...

Cacilie avait traverser l'étrange couloir et posa la porte de chaine imposante et grinçante dévoilant une pièce simpliste et raffinée composé d'une bibliothèque d'un comptoir, un bar magnifique sans serveur. Deux sofas dans le style victoriens dont les couleurs s'accordaient parfaitement à la douceur des rideaux pelucheux. Un cotés vieux, ancien, élégant et un homme. Ce jeune homme assit dans le fauteuils principal un verre de whisky dans les mains...
    Ce ne pouvait qu'être un rêve, douce chimère que je voulais pas perdre, qui était-il? Pourquoi étions-nous seuls ici dans ce Bar étrange, dans cette pièce qui semblait être qu'à nous? Qui venait se soucier de ce genre de chose à Wonderland? Certainement pas moi, la demoiselle de l'apesanteur. C'est ainsi que tout venez de commencer. Il était beau, oui divinement beau et joueur, Et son whisky me piqua le nez, nous discutâmes quelques instants, échangeant provocante douceur et plaisanteries délicates. Il était vraiment charmant, élégant, étrange. Étrangement attirant, je n'arrivais déjà plus à détourner mon regard de lui, cocktails de liqueur en main. Son regard Carmin, ses cheveux soyeux, ce sourire malicieux, je le voulais. Oui je voulais ses lèvres, ses soupires, ses désirs, comme il semblait me vouloir. Alchimie parfaite. Le premier baisers, sincère réponse à une pluie de doutes. Je pensais qu'il ne voulait pas voir mes mains danser dans la jungle de ses cheveux rougeoyant. Le goût sucrés de ses lèvres, la passion, voilà que d'un simple regard, je me retrouvait sur ses genoux. Des détails, des souvenirs propres à nous deux. C'était intense, étrangement puissant et vraiment plaisant, tout n'était que passion. Une pluie de douce luxure naissante, une pluie de débauche arrivant à grand pas. Comment? Pourquoi? Parce que c'était lui, Camille...

C'est ainsi que tout commença, Entre Cacilie et le Jabberwocky, une situation et quelques mots. Tout n'avait commencer d'un rien, perdu dans ce monde, cette pièce, ce rêve écarlate, Que le jeux commence sur ses mots:
    "Jabberwocky avait le cœur battant. L’adrénaline lui montait à la tête au point qu’il aurait presque perdu sa douceur, cette manière de manipuler une poupée de porcelaine. Il se contrôlait, mais le reptile ne pouvait s’assouvir du peu qu’il lui donnait. L’homme aux yeux vermeils sourit à la belle, se laissant happer par la couleur de ses yeux verrons, se baigner dans cette fraîcheur qu’il n’avait jamais atteint. Il continua de la caresser, répondant mielleusement après avoir délicatement passée sa main sous son haut pour continuer ses caresses sur sa peau nue « Tu veux que j’arrête ? » A sa seconde morale, à ses doux gémissements qui berçait sa danse pourpre, il lui embrassa le buste, avec grâce et désir pour ensuite rétorquer « Si tu l’étais, cela ferait longtemps que tu m’aurais tuée ? ». Il défit d’une griffe le haut de la jeune femme avant de caresser avec plus de ferveur son corps qu’il couvrit de baisers, la collant à lui pour qu’elle ne puisse s’échapper" [propos du Jabby]

Cacilie, assise sur lui était perdue dans le flot de plaisir qu'il lui procurait, elle ne comprenait pas le pourquoi, du comment et dans un sens cela, n'avait que peu d'importance, seule ce cœur battant la chamade était important en cet instant étrangement plaisant. La demoiselle se perdait sans mal dans la douceur de ce moment, elle n'en avait alors que pour lui, lui et juste lui, Camille. Elle se délecta de ce sourire, oui expression lourd de vice qui baignait son visage, et lui répondit d'un rougissement sincère, qu'il prenne oui qu'il prenne toujours plus d'elle. Prisonnière de ses bras puissant la poupée subissait les assauts du jeune homme sans pudeur, et elle s'en délectait allègrement, elle frémissait sous ses caresses, lui offrant les siennes avec délicatesse.

Mais les mains vagabonde de l'ensorceleur n'étaient rassasiés, elles se glissèrent lentement sous le haut de la demoiselle, oui ses grandes mains vinrent découvrir des lignes nouvelle et véritablement sensible, parcourant sa peau d'une caresse malicieuse, elle en gémit timidement, c'était si bon. Arrêter? Alors qu'il venait d'attiser d'avantage le désir de la douce. Etait-il fou? Étrange question dans ce monde... Mais voilà qui en venait à parler d'arrêt, qui serait assez malade pour dire oui? Vous parlez sans doute de principe ou de tradition, et La coutume? Les mœurs? La morale? Ou la vision des autres? L'idée d'interdit ou de pêchers.. qui s'en souciait.. Elle? Non... Lui? Je ne pense pas. Alors elle s'offrit d'avantage à lui en rougissant, répondant ainsi à cette question de principes courtois. Non elle ne voulait pas qu'il arrête que ce soit son cœur ou ses sens, elle ne le voulait pas... Elle en voulait plus, bien plus. Sentir Camille, sur sa peau, sous sa peau, tout contre elle, la plus frénétique des danses venaient de commencer, et ils en était les danseurs.

Elle sentit alors le tissus de son haut disparaitre sous les griffes de son prédateur carmin, la demoiselle poussa un léger soupire, elle ne pouvait quitter ses yeux vermeille si envoutant. Ses lèvres se serrèrent dans un gémissement plus présent quand les caresses se firent plus pressantes, elle sourit avec malice, remontant ses bras autour du cou du beau Jabberwocky. Sur un ton mielleux elle lui murmura envieuse, contre les lèvres, le dos creusé par le désir, le souffle coupé par l'envie et les yeux voilé d'impatience:


Camille... vous êtes si cruel... profiter ainsi de mes faiblesses... Dois-je vous punir?

A ses mots, elle se mit à rire, ce léger gloussement arrogant et taquin qu'elle n'avait pu lui montrer avant, mais le jeu aux plaisirs venait de commencer, et lorsqu'on regarde ce bel inconnu, qui ne voudrait pas le combler? Voir ce visage arrogant déchiré par le plaisir le plus intense, le plus intime? Oui elle voulait voir Camille, son Camille d'un instant, fondre de ses lèvres, de ses doigts, de son corps... combler la moindre de ses envies. Alors la demoiselle vint doucement détacher les boutons du chemisier, lui découvrant doucement le torse pour venir à son tour, déposer ses mains et sa bouche sur lui, jouant de sa langue sur son cou, descendant lentement, se laissant lentement glisser contre son corps, effleurant cette nouvelle étendue mise à nue pour son plus grand plaisir, et le sien... Que le jeu de douceur et de vice commence.


Dernière édition par Cacilie D. Evanks le Ven 8 Avr - 18:17, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\]   [/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\] HorlogeoSam 5 Mar - 12:30

Fraîcheur printanière. Douce solitaire. Deux côtés diffèrent. Réveil de mon hiver. Si belle dans ce nouvel air. Jolie, magnifique, éphémère ? Tu es cette blancheur, tu es cette paire, dans cette belle nuit d’hiver, douce fraîcheur printanière.

Te voilà me regardant, de tes beaux yeux innocents. Je me demande bien, ce que tu viens faire entre mes mains. Dans cette pièce obscurcie par mon âme, voilà que tu l’illumines sans mal, pour me laisser sourire, de cette enfant qui ne cesse de s’embellir.

Délicate fleur de mon jardin, cette fois-ci, nous ne formerons plus qu’un. Je vais te faire gémir, me repaître de tes soupirs. Je vais t’embrasser, te caresser, me délecter de ton visage torturé par notre plaisir de nous unir.

Sifflement incessant. Nous voilà danseurs de nos cœurs. Nous voilà chanteurs de nos mœurs. Je te donnerais tant et plus, je te veux, et je t’aurais. Rouge et blanc, couleurs de ma nature. S’en vont au loin, au firmament.

Baisers et volupté. Que dis-tu, ma beauté ? Me jouer de toi, c’est le loisir du mois ♥. Je te lacérerais de mes mots, te ferais jouir au contact de ma peau. Tu seras à moi. Et lorsqu’enfin nos bouches seront unies, je te verrais enfin démunie.

Enfant de mon cœur. Belle de mon malheur. Jolie petite fleur. Es-tu capable de défaire ma splendeur ? ♥


Rouge, rouge, rouge. Une couleur si belle à voir sur cette peau poudreuse. Le blanc et le rouge donnent une nuance si flagrante, caressant les sens, défiant l’imagination, torturant les cœurs, laissant échapper des soupirs. J’aime le blanc rougi. Comme j’adore me délecter de cette couleur qu’elle arborait. Je l’aurais croqué depuis longtemps, voulant obtenir cette couleur me méprisant, s’enfuyant telle l’eau entre mes doigts crochus.

Elle était là, poussant ce soupir exaltant et si désireux du reste. Colombe aux douces effervescences, je t’emprisonnerai dans ma chaleur, pour te voler ta liberté, et te voir avide de mon amour. Je le veux. Je l’aurais. Je le sais. J’ai toujours eu ce que je voulais. Je te veux, comme tu me veux. Alors, autant nous amuser ? ♥

« Camille... vous êtes si cruel... profiter ainsi de mes faiblesses... Dois-je vous punir? » Et je souris, mes lèvres animées de couleurs et de désir. J’affichais ces émotions sans pudeur. Oui, punis moi, aimes moi, détestes moi, détruis moi. Tu ne me rendras que plus vivant, Cacilie ♥. Suis-je un songe pour toi ? Un fantasme ? Ou bien un subalterne, et même un jouet ?

Sous ses petits doigts me chatouillant, je sentis un frisson me parcourir, mes yeux se fermèrent, un sourire empli de vices s’afficha sur mes lèvres rougeâtres. Mes cheveux caressèrent le visage de ma camarade en voulant l’embrasser. Mais, sous les lèvres et l’agilité de la langue de la demoiselle, je m’adossais au canapé, laissant échapper un gloussement joueur et enfantin, ma peau mate frissonnant sous cette bouche délicate. Comment ne pas se sentir envieux ? Je veux plus. Encore et encore. Je veux m’amuser. Je veux la taquiner. La faire rire. La faire gémir. La voir soupirer d’extase. L’adrénaline me monta à la tête.

« Je suis ton serviteur d’un soir, fais de moi ce que tu veux, même si c’est pour me punir, très chère ♥. »

Sinueusement, je caressais avec plus de ferveur le haut du corps découvert par la lady, dégrafant sa lingerie pour embrasser cette poitrine mise à nue, la couvrant de baisers passionnés, sauvages et tentateurs. Je veux. Je veux. Je veux. Puis-je, reine des grâces ? De cette main curieuse, je frôle son bas ventre, caressant ses hanches, jouant de mes paumes et de mes lèvres, battant des ailes d’envie et de désir. Je te veux Cacilie. Je t’ai toujours voulu ainsi ♥.

Délicatement, tel un serpent affamé, ma main continue ses va et vient dans son dos, sur son ventre et sa poitrine, comblant la danse de ma langue sur ses seins de caresses, de voluptés et de taquineries, avant d’oser par son esprit vicieux descendre chatouiller les cuisses de Cacilie, dans un sourire animé de folie, de désir et de provocation.

« Cacidie, j’aimerai te voir m’aimer plus intensément que cela ♥. »

Et voilà que le reptile affamé de soupirs, déploie des trésors d’ingéniosité pour la faire céder. Voilà que je presse de ma main trop curieuse, l’intimité encore caché de la malheureuse. Si j’avais pu, j’aurais gloussé de bonheur, mais pour le moment, je me regardais dans ce miroir aux deux couleurs, lâchant un soupir de contentement et d’amusement ♥.
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MessageSujet: Re: [/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\]   [/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\] HorlogeoLun 14 Mar - 13:15

    "Le punir? Mais le punir de quoi? Pourquoi? Alors que j'étais sans doute la plus indécente des deux, un ensemble, notre jeux. Douce perversion, touché Carmin. La demoiselle de l'apesanteur que je suis, ne pouvait déjà plus espérer toucher le sol, sous le poids de ses baisers, de ses caresses, de son regard pourpre d'envies. L'homme, l'animal? L'équilibre d'un désir... Douce perversion, Touché vagabond. Passer ainsi mes mains sur son corps, sentir son souffle, le poids de son regard, de son désir, le plus présent, j'étais heureuse, anxieuse, mais heureuse. Dévorant ainsi son corps et ses sens, je pouvais le voir ce sourire, ce fin et arrogant sourire bordant ses lèvres légèrement haletante de bien des impatiences, oui je pouvais le voir et m'en délecter, lui qui semblait si fier, si sur de lui, de ce qu'il aurait, de ce qu'il pourrait avoir après, tout savoir? Mais tout connaître c'est une peu prétentieux, non? Mais d'amusement perfides, ses lèvres prirent sans mal la couleur pourpre d'un désir, d'une pluie de vices envieux, adorable réalité, j'aimais cela me dire que c'était de mes doigts, de mes regards et de mes lèvres que j'avais réussi à couvrir son esprit de plaisir. Oui Camille, je voudrais tellement te voir heureux, comblé."

Malheureuse aussi beau que peu nous apparaitre le rêve, il trouve toujours une ombre pour le voiler et ses premiers mots, moqueur, joueur et pourtant étrangement blessant vinrent aux oreilles de la demoiselle, elle l'écouta. « Je suis ton serviteur d’un soir, fais de moi ce que tu veux, même si c’est pour me punir, très chère ♥. » Elle le lui avait pourtant bien dit, elle s'était même presque chamailler pour cela, elle n'avait que faire d'un serviteur, du temps, un instant, voilà ce qu'elle voulait au plus profond d'elle, alors pourquoi? Pourquoi venait-il de nouveau remettre cela sur le devant la scène? Pour rappeler aux esprits Maladroit que tout cela ne durerait que le temps d'une nuit? Elle le savait, mais elle n'avait pas envie d'y penser. Alors qu'il se taise, si c'est pour injecter de nouveau des fragments de réalité dans leurs moments. Ses petites mains se crispèrent sur la chemise ouverte du jeune homme, elle laissa alors ses mains, oui elle lui offrit son corps, mais étrangement, son regard ne voulait plus croiser le sien. Était-elle déçue? Sans doute un peu. Elle sentit sa lingerie, lentement glisser le long de ses bras, et les lèvres venir chercher sa chair, avidement, envieusement. Alors pourquoi le plaisir de ce moment avait-il un goût amer entre ses lèvres sucrées? Pourquoi la demoiselle ne gémissait plus comme avant? Pourquoi tout semblait étrangement douloureux? Le plaisir, la passion, la peur? Pourquoi maintenant?
    "Oui pour lui, tout n'était qu'amusement, qu'un simple et arrogant jeu, je pouvais le voir dans son regard, dans ses mimiques. Ce sourire qui avait su me rendre folle, il y a quelques instants voilà qu'il venait me déchirer d'anxiété; Et ses mains? Depuis quand ses mains que je désirais à en perdre raison étaient devenues si dérangeantes pour mon corps? Je joue le jeu? Alors pourquoi? Parce que je suis sans doute un peu trop sensible? Je ne sais pas cela fait longtemps que j'ai oublier. Sa main se glissa sur mes cuisses et la réaction fut presque un rejet, j'en fus surprise moi-même, Lorsqu'il m'effleura ici, mon corps se crispa comme la plus horrible des piqures. Le regarder? A quoi bon? Tout n'était qu'un soir? Une réalité oui... C'était cela, la réalité était de nouveau devant mes yeux, Je suis simple, sans doute beaucoup trop simple pour comprendre ce genre de jeux. M'offrir à lui? Oui je le voulais, comme je voulais qu'il s'offre à moi. L'alchimie du Rouge et de la blancheur de mes mains. N'avait-il pas remarquer que je ne comprenais pas les choses comme les autres? Lui en vouloir... Je ne pense pas, mais j'avais tellement mal et lorsqu'il me dit.« Cacilie, j’aimerais te voir m’aimer plus intensément que cela ♥. » ce fut sans doute le coup de grâce, mon corps se mit à trembler sous sa main vagabonde qui venait s'immiscer entre mes cuisses, et mes bras se refermèrent sur ma poitrine. Je me cachais, non je ne voulais pas qu'il voit cela, Il allait ne pas comprendre, m'en vouloir? Être déçu? Je ne sais pas, mais je le voulais pas voir cela sur ce visage, comme je ne voulais pas qu'il me touche de cette manière, pas avec ses pensées. Il voulait me faire céder? Prouver que le jeux était une danse et qu'il en était le meneur? Pourquoi? Cela ne marchera pas avec moi. Pas avec lui. Pas comme cela,, alors je me devais de lui dire, malgré les liens qui enchainaient ma gorge, je devais le lui dire... Pourquoi j'avais si mal...

La grande mains du jeune homme envieux, vint alors se glisser entre les jambes de la demoiselle, caressant, effleurant avec désir et malice, ce lieu si désirable, si désireux, sans la moindre gêne. Mais Cacilie réagit de manière étrangement apeurée. Ses petites mains vinrent alors se poser sur le poignet du Jabberwocky l'immobilisant contre son ventre mis à nue il a peu, pour qu'il arrête, elles était si fragile, tremblante comme s'il venait de lui faire mal? De lui faire peur? Depuis combien de temps n'avait-elle pas croiser son regard? L'avait-il seulement remarquer. Le nœuds qui se resserre lentement sur le souffle de la demoiselle, son corps qui se crispe sous la panique sourde, et ses bras qui se referment sur elle-même. Pauvre enfant, douce protection. Elle semblait alors si fébrile, comme le plus peureux des agneaux, et prit la main de Camille, elle la tira d'entre ses cuisses pour pouvoir poser sa main dans la sienne, si petite, elle n'arrivait toujours pas à parler.

Une larme, puis deux. Ses gouttes de mal-être qui viennent lentement perler sur la grande main du jeune homme, qui lui faisait tant de bien il a peu. Ne pas le regarder, ne pas lui montrer, va-t-il se moquer? Pourquoi ses mots ne veulent pas trouver le chemin de ses lèvres. C'est si douloureux. Grande, tellement grande main, qu'elle dut la prendre des siennes, pour venir la porter à ses lèvres, elle lui embrassa dans un soupire, chagrin sournois qu'elle n'arrivait pas à cacher. Sans doute trop simple demoiselle. De ses lèvres hésitantes, elle l'embrassa sur le poignet sur le bout des doigts, dans la paume, sur la longueur de chaque phalanges avant d'enfin déposer sa joue dans le creux de sa mains. Serrant de sa force inutile son poignet, comme si tout allait disparaître, ne posant pas son regard luisant de larmes sur lui, elle réussit enfin à chuchoter:

Camille... S'il vous plait... Ne parlez plus de servitude, d'une nuit ou de vous aimer toujours plus... Ne me rappelez pas combien tout n'est qu'éphémère, je le.. sais, alors Je...

La pauvre demoiselle, ne put finir sa phrase qu'un chagrin plus intense vint l'envahir, elle le voulait, tellement de chose encore était coincé dans le fond de sa gorge, elle le savait. Mais rien n'y faisait, elle relâcha lentement sa main et vint serrer de nouveau la chemise du jeune reptile, elle se crispa, poussant un léger soupire dents serrés pour se calmer, honteuse d'être si sincère. Elle rajouta:

Je ne... je ne veux pas faire ce que je veux de toi... Cela.. n'est pas ce que je veux... Prendre... le plaisir.. de... Prendre un plaisir partagé... Je... je le sais... Mais Camille.... pardonnez mes... larmes...

La demoiselle, se redressa un peu, serrant ses jambes si fragile contre lui, ne pas disparaître, qu'il ne puisse pas disparaître, Son désir était réelle, aussi réelle que ce moment, que ce chagrin d'innocence, une pensée sincère. Une envie tristement sincère sans doute aussi. Elle se redressa enfin, et son regard désaccordé qui ne savait plus quoi penser, quoi refléter, anxieux qu'il lui en veuille, se posa sur lui. Visage déchiré de larmes et douce hésitation d'une demoiselle un peu trop meurtrie:

Même... une nuit, cela resta un souvenir éternel... Je.. je veux plus oublier, alors ne parlez comme cela...

Douleur et tentation, alors que ses larmes continuer de perler, son souffle coupa, elle passa sa main dans ses cheveux carmin. Perdue dans la beauté de son regard vermeille, sans doute un peu déboussolée, incompréhensible demoiselle?Peut-être, elle se cambra au dessus de lui, se releva au dessus de son visage, et tira sur sa chevelure pourpre, non pas de douleur pour lui, simplement l'obligation de relever le visage vers le trouble de la demoiselle, elle sourit légèrement et déposa ses lèvres à la commissure des siennes. Je suis désolée. Elle recommença, prisonnier de son corps si frêle, prisonnier de ses lèvres, prisonnier de sa sincérité, elle l'embrassa de nouveau, retenant toujours son visage vers les cieux, vers elle. Cacilie remonta lentement de ses lèvres à sa mâchoire puis à son cou, elle le savait tout n'était qu'à venir, alors elle ne voulait plus l'entendre et il devait le comprendre. Elle lui lécha la gorge avec désir, mordant son cou et remonta enfin à son oreille, après deux autres baisers envieux, qui avait su faire perdre le souffle à ses deux jeune gens, elle remonta et chuchota « Pardon d'être si différente... » Avant de revenir voler ses lèvres, oui prisonnier qu'il était, prisonniers qu'ils étaient, d'un rêve, d'une réalité qui venait de les rattraper.
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MessageSujet: Re: [/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\]   [/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\] HorlogeoMar 22 Mar - 9:57



[/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\] Jabby010


Pourrais-tu ouvrir pour moi
La porte de ton monde de glace
De ton désert blanc

Je veux simplement contempler
Tous ces champs de neige
Jusqu'à ce que nous ne fassions qu'un à nouveau

Nous appartenons au monde gelé

Quand la glace commencera à fondre
Et deviendra la mer
Oh, tu verras
À quel point on peut être beaux

Tout est calme
Au bout de la terre
Dans notre désert blanc

Le soleil a embrassé la glace
Il brille pour moi
Et nous ne faisons qu'un à nouveau

Nous appartenons au monde glacé

Quand la glace commencera à fondre
Et deviendra la mer
Oh, tu verras
À quel point on peut être beaux.


Je ne suis ici, pour t’arracher des larmes, idylle. Je ne suis ici, pour voler un cœur, utopie. Je ne suis ici, pour te pourrir de l’intérieur, Cacilie. Seulement, enfant aux deux facettes, j’ai été conçu dans le but de faire souffrir, alors, ne m’en veux pas, si jamais mes lèvres se font trop piquantes, c’est que cette part de moi, que j’essaie tant et plus d’effacer, a découvert une porte de sortie ; celle de ta chair, de ton goût si délicieux. Je me demande bien, si le blanc que tu arbores, pourra un jour supporter, ma couleur sang.

« Pardon d’être si différente »


Je ne suis pas cet homme consolant. Ni même celui qui se veut condescendant. Je suis de ceux qui se vexent, qui s’émoustillent et s’offensent d’un tel affront. Pourtant, je suis aussi de ceux qui ne comprennent pas pourquoi, les humains sont dotés de larmes, et pas nous. Je suis un animal, composé de chair et de nerfs. Je ressens la douleur, et même des sentiments humains. Mais les larmes, elles n’appartiennent qu’aux hommes. Jaloux ? Il se pourrait oui. Je hais me sentir différent, bien que d’être distinct est une qualité, et même un atout, je gardais une certaine animosité envers les humains, pour leur côté fleur bleue, et leurs larmes…

Être différent, est-ce une si mauvaise chose ? La voir dansante, si désireuse de moi, cela devrait-il me rendre heureux ? S’excuser de ne pas être un clone de l’humanité...Elle me rappelait trop ce reptile affaibli par les coups et les cris d’une reine capricieuse et cruelle. Lui aussi, n’aimait pas être différent. Car il s’agissait là de sa chute dans le désespoir. Si jamais je n’avais pas été un dragon, si jamais je ne m’étais pas coincé dans les ronces de ce jardin, si jamais je n’avais pas oublié mon histoire, que serais-je devenu aujourd’hui ? Le mal-être d’être différent…Je refusais cela. Oui, je suis heureux d’être différent, maintenant. N’est-ce pas ? Alors, chère fraicheur, ne crois-tu pas qu’il est bon de supposer qu’être distinct de la masse, est une bonne chose ?

Elle était belle. Comme la femme d’un autre. Oui, un peu intouchable, cela me dérangeait. Malgré ses baisers, ses caresses qui m’emportaient dans son parfum si délicat, je la sentais loin de moi, comme appartenant à un autre monde. Je n’aimais pas cette idée, comme celle de rester paralysée par ces gestes, cette action délirante et ces larmes. J’avais beau refermé ma main sur son être, je brassais de l’air. La liberté ? Peut-être. Voilà ce qui m’énervait chez elle, elle paraissait si libre…

Je ne connaissais sa façon de penser, mais ce que je savais, c’est que son visage couvert de larmes et souffrant de mes mots me paraissait le plus beau des visages. Avec ses yeux verrons, elle ensorcelait mon esprit, l’enroulant dans son printemps hivernal, dans son rêve si léger. De ses mains, aussi petites soient-elles, elle me fit siffler, un doux soupir se dégageant de mes lèvres rosées. J’ai gardé mes yeux fermés, déclarant comme endormi un :

« Tu es jolie, Cacilie. »

Il n’y avait aucun rapport entre ses paroles et les miennes. J’aurais pu même paraître insolent à son égard, et même détestable. Pourtant, je sortais des choses de ci delà, sans me soucier des conséquences, car il s’agissait de se que je pensais, réellement. Ce n’était pas un mensonge, elle était belle. Terriblement belle, dans cette neige aux deux couleurs opposées. Ses yeux sont emplis de grâce. C’est étrange…

Mon doigt orné de la griffe de métal caressa sa joue, sentant par un interstice sa peau de pêche. Ma main se posa sur sa nuque, pour attirer son visage au mien, et je rouvris les yeux, les plissant à peine, laissant seulement le rouge de mes prunelles dépassé de mes yeux de reptile. Je les ai plongés dans les siens, cherchant quelque chose, et mon sourire s’anima encore une fois avant de l’embrasser, d’un air un peu trop éperdu à mon goût, mais aussi offensé.

Je frissonnais au contact de ses lèvres, de sa douceur de fin d’hiver. J’aimais ses baisers, j’aimais sa peau, son odeur, tout ce corps. Mais cet esprit, qui s’envolait au loin, si libre malgré ses souvenirs perdus, il ne m’appartenait pas, et j’en rageais…Je ne baissais pas la tête, non, je restais là, sans ciller, à la fixer dans les yeux. Je la voulais. Terriblement désormais. J’avais du mal à contenir cette impatience.

Mes mains caressèrent son corps, mes lèvres son cou, le mordillant, essayant de contenir cette envie de plonger mes crocs dans sa chair, pour mieux savourer cette viande tendre. Je me contrôlais, et je tremblais en même temps. Envie de sang, de chair, d’amour. Ce mélange rendait mes actions plus difficiles. Mais, je ne cessais pas. Jamais je ne cesserais ces caresses, ces frôlements, cette danse. Tout comme elle savourait ma peau, je savourais la sienne, laissant des baisers sur sa clavicule, sur son épaule, remontant de celle-ci de par ma langue pour retrouver ses lèvres dont je ne voulais plus me détacher, et j’ai soupiré. Encore, et encore avant de lâcher ce sifflement animal qui me caractérisait tant. Mes pupilles s’étirèrent dans un dernier instant, mon visage ne se faisant que plus félin, tout comme mes mouvements ressemblaient à la danse du serpent coulant dans mes veines. Tout cela dans une même voix, un même ton, une chanson de quatre mots : Je te veux Cacilie.
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MessageSujet: Re: [/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\]   [/!\]Le début d'un songe -PV♥ Camille JABBY♥[/!\] HorlogeoVen 8 Avr - 18:15


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    « Tu es jolie, Cacilie. » Je ne pourrais vous dire, j'avoue j'en ai encore un peu honte, ce qu'il venait de se passer dans mon esprit. Pourquoi ses larmes? Pourquoi ces peurs? Pourquoi le fait de voir la réalité n'avait-il fait si mal? Tellement de questions qui ne mériteraient même pas le temps d'une réponse, en cet instant. Je m'en voulais, oui je m'en voulais c'était sans doute cela qui m'avait poussé au excuse entre deux baiser. Ce n'était que tumulte, tempête d'anxiété qui vient faire plier sous son joue, les envie les plus intense, un brouhaha étrange que je ne voulais pas, que je ne pouvais pas contrôler. Mes larmes, Mes mots, Ma douce panique qui lentement disparaît, entre deux baiser, et lui il avait simplement tout écouter. Simple et immobile, il restait le beau, il restait le doux, je pus voir dans son regard qu'il n'était pas homme à consoler, à vous faire de mielleux sourire rassurant pour que vous arrêtiez de pleurer comme un enfant. Non il n'était pas ce genre-là, et je vous mentirais en disant que cela me déplaisait.« Tu es jolie, Cacilie. » Camille était différent, je pouvais le sentir dans chaque parcelle de mon corps, c'était doux, étrangement doux, et pourtant dangereux, je le savais, en touchant le paradis carmin de ses baiser, en désir l'extase pourpre de ses caresses, en voulant ne serait-ce qu'un instante l'enchainer à mon corps, si frêle, et si blanc, je me maculerais, oui je risque d'y perdre les ailes, mais pour lui, en cet instant, je perdrais jusqu'à mon âme pour un sourire sincère. Parfois il semblait perdu dans ses réflexions, que je ne pourrais sans doute jamais atteindre, parfois il me regardait de ses yeux vermeilles, et j'en perdait l'esprit, je devenais folle sous ce regard il n'y avait pas de doutes la dessus.« Tu es jolie, Cacilie. » C'était un homme étrange, pour la plus étrange des femmes, sans doute. Ce moment aussi était étrange, simple à nous, simplement pour nous. Et je pouvais sentir s'évanouir ma terreur sous le poids de son regard si ferme et désireux. Il savait ce qu'il voulait. Je savais que je voulais. « Tu es jolie, Cacilie. » furent les premiers mots qu'ils prononça après l'orage, finalement il n'allait pas relever mes pleurs, non il n'en avait nullement besoin, nous le savions tout deux. Son regard parlait pour lui, ses mots en disaient tellement que pour le passant il n'avait pas rapport mais pour moi, il respirait la douceur d'un pardon, la tendresse d'un soupire. Que les femmes le traitre un jour de rustre, je trouvais cela plutôt attendrissant, réconfortant comme si la page venait d'être tourné et qu'on pouvait à nous savourer ce moment. J'avais eu faux, j'avais eu peur, j'avais brisé... mais j'étais belle prise de chagrin, il aimait aussi bien mon sourire de les larmes. Je ne pus m'empêcher de lui sourire, bien que mes yeux était encore gorgés de larmes, ce n'était que Quatre mots, pour le trouble d'une vie, mais jamais je ne les oublierais...
Après ce baiser, après ces mots de détresse, après les siens, doux, sincère et hors propos, pourtant rassurant à ne mourir, la demoiselle ne savait comment réagir, elle ne savait comment reprendre ce jeux de séduction entre eux, elle ne savait comment lui faire à nouveau plaisir, elle ferma un peu les yeux et c'est la griffe du Jabberwocky qui vint la tirer de ses rêveries, elle garda les yeux mis-clos, l'admirant les mains déposées soigneusement sur son torse. Cette main si dangereuse remonta à sa nuque, et l'effleurant avec envie, il s'approcha de nouveau de ses lèvres. Petit cœur qui s'emballe sous le désir, petite joues qui s'empourpre, léger soupire qui s'échappe, je te veux Camille. Cacilie ferma les yeux et se laissa porter par ce moment. Les yeux du jeune homme s'entrouvrirent, elle sourit et se plongea dans l'océan pourpre qu'il lui offrait. Ce baiser, doux et envieux, ce baiser doux et offensé, elle devait payer sans doute. Alors elle se plaisait à subir ses assauts, son corps entier se cambrant sous le contact de ses lèvres, de sa langue. Ses petites mains crispées sur le torse de son inconnu, la demoiselle soupira encore...
    De nouveau je pouvais me délectais de ses baisers, de nouveau je pouvais sentir sa chaleur, son parfum unique, la douceur de ses cheveux, la force de ses bras, la force de son désir, la dangereuse paresse de ses griffes, qu'il les fasse glisser, encore toujours sur mes courbes, je ne demande que cela. J'en devais folle, ravagée, déchirée. C'était tellement bon. Il était si beau, je voulais tout de lui, j'aimais tout, la moindre attentions, le moindre regard. Il m'en rendrait complètement fébrile, envieuse, hésitante, haletante, j'aurais du en avoir honte, je crois... mais ce n'était pas grave puisque c'était lui. Il y avait ces baisers, comme il y avait ce désir grondant en lui. Dangereux? Il devait l'être, cela ne faisait aucun doute, par moment je pouvait voir la bête se réveiller mais je n'arrivais pas à lui résister comme il semblait lui aussi prendre plaisir. Nos baisers s'intensifièrent, j'en fermais les yeux sous le plaisirs, je gémissais doucement un peu à bout de souffle, véritablement assaillie par tout cela. Il reprenait lentement possession de mon corps, commençant par le cou, du bout de sa langue, puis de ma clavicule, mon épaule, de nouveau mes lèvres, qu'il ne laisse reprendre l'esprit ou je sens que je vais craquer je le désirais, je le sentais jusque dans le bas de mon ventre cela ne faisait aucun doute. Je ne voulais, je voulais à en perdre raison, je le voulais à en perdre morale, conviction, principes et pudeur, je le voulais. Oui je te veux Camille.
Prisonnière, la poupée de porcelaine se retrouva bien envieuse alors qu'il venait toujours plus reprendre ce qui lui était du, elle voulait elle aussi profiter de ce moment, de ce corps qu'elle désire tant de celui qu'elle désir et envie. Que ses grandes mains se perdent dans ses cheveux d'opale, que ses grandes dents viennent d'avantage jouer de sa jugulaire, qu'il lui dévore toujours plus la timidité pour ne laisser qu'un noyau de désir. Elle rougit et vint gémir à son oreille. Offrande à tes baiser, ode à ta beauté. Douce porcelaine qui se fissure, laisse tomber le masque, pour faire entrer la luxure. Le bassin envieux venait inlassablement se frotter au sienne, alors qu'elle gémissait, chuchotant parfois son nom entre deux baiser, ses mains, elle ne savaient plus ou donnait des caresses, tantôt sur le torse, tantôt découvrant son visage des mèches vermeilles, tantôt prisonnière de sa nuque. Prisonnière oh qu'elle aimerait lui aitre prisonnière dans l'éternel. Elle ferma à nouveau les yeux et chuchota le souffle fébrile, haletante de bien des impatiences:

Camille... je veux vous voir... comblé.

A ses mots lentement elle glissa sa main sur son torse, détachant de ses petites mains si fébrile qu'elle dut s'arrêter pour se calmer avant de reprendre, les boutons de sa chemise, dévoilant son torse. Du bout des ongles, en rougissant, se mordant la lèvres en souriant, elle l'effleurait, mais rapidement ce fut la langue qui partit découvrir cette étendue si chaude, elle embrassant chaque courbes, chaque traces, chaque parcelles de sa peau pour ne pas faire de jalouse, que ce soit de ses mains, de ses lèvres ou de sa langue, elle longea la ligne qui mène au nombril, puis en fit le tour, laissant un léger filet de salive qu'elle s'amusant à réveiller en soufflant dessus, admirant les soubresauts de ce corps, si sensible. C'est ainsi que d''un mouvement gracile et sensuelle, elle se retrouva rapidement entre ses jambes, appuyée sur les genoux, son petit cœur battant à tout rompre quand elle réalisa, elle n'osa pas relever les yeux et vint embrasser son bas-ventre, soupirant de plaisir, sa main remontant doucement le long de sa cuisse prenant bien le temps de l'effleurer et l'autre main remonta aussi pour qu'elle puisse venir tendrement enlacer ses hanches, le visage posé contre la chaleur de sa peau, de son ventre,se perdant dans les plis de sa chemise, gémissant un simple, Camille entre deux caresses, se retenant d'aller plus loin, pour le moment, un peu timide? Surement. Un peu honteuse de vouloir user de sa bouche?certainement. Heureuse, et impatiente de pouvoir lui faire plaisir, elle releva enfin ce vissage rougissant vers lui et lui sourit tendrement, simplement, attendant une caresse? Ou un baiser? Qui sait...
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