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![Namine : Quand la folie a un visage [ TERMINEE ] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) |  Sujet: Namine : Quand la folie a un visage [ TERMINEE ] ![Namine : Quand la folie a un visage [ TERMINEE ] Horlogeo](https://2img.net/r/ihimizer/img535/2623/horlogeo.png) Jeu 30 Sep - 11:41 | |
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Je suis légèrement déjantée , mais ne vous inquietez donc pas, je suis douce comme une rose et sais comment prendre soin de vous ~
Le Bouche à Oreille
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• Kyura
• Namine, la seule et l'unique.
• Âge : Physiquement je dirais un vingtaine d'années, après qu'en est-il de la vérité ? Je n'en ai pas la moindre idée.
• Date de naissance : Je me suis offerte le 19 Mars.
• Orientation Sexuelle : Homme, femme, hybride, y a-t-il une différence ? Pour moi non. Je prends tout ce qui me tombe sous la main. Mais attention, il faut que ça me plaise bien entendu !
• Goupe : MMh.. je dirais Delirium ( Si je l'ai bien écris x) )
• Emploi : Un Emploi ? Moi ? La Reine vous a t-elle donc coupé votre tête ?
Pour vous répondre, je suis libre comme le vent et fait ce qu'il me plait. Jamais je ne servirais sa royauté, jamais je ne porterais le tablier de "tueuse du Royaume". Je gagne mon argent de manières multiples et n'ai absolument pas envie de travailler point.
• Mot le plus employé :
• Rêve : Prendre la place du Joker, le vrai ( même si celle du Mad Hatter me plait bien ... )
• Arme & Pouvoir : Je me bas avec ma Faux. Elle est tellement belle.
MMh ... concernant mon pouvoir, on peut dire que je suis marionnettiste. Je couds des poupées, y grave le nom d'une personne, tiens, TON nom par exemple puis je te fais souffrir autant que je veux. Je peux même te faire te donner une gifle à toi même, te contrôler. Bien entendu, mon pouvoir reste limité. Je ne peux contrôler qu'une personne à la fois et ce, dans une durée limitée. De plus, bien que je puisse les faire souffrir, il m'est impossible de les tuer de cette manière, sinon quoi, le jeu serait bien trop facile.
Ah oui j'oubliais. Je suis obligée de créer la poupée avec un tissus appartenant à la personne concernée sinon quoi, je ferais souffrir la personne à qui appartient ce tissus.
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Je ne t'aurais jamais imaginé ainsi !
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Qui suis-je ??
Ah non je refuse ! Ca ne marche pas comme ça du tout ! Vous me dîtes qui vous êtes et je vous réponds par la suite…
*silence*
Comment ? Je n’ai pas le choix ? Bon d’accord mais je vous préviens vous n’aurez que le stricte minimum et rien de plus !
Bref, commençons… J’aime me comparer à une rose. Oui ce cliché est un peu ridicule mais pourtant je trouve qu’il me convient à merveille. Cette fleur est belle et inspire ( dans le plus souvent des cas ) l’amour et pourtant, elle peut faire mal, très mal.
Quand est-il pour moi ? C’est simple, je peux être douce et délicate. Mielleuse, sensuelle, agréable, en bref un vrai petit chat. Si vous réussissez à m’amadouer je viendrais même ronronner auprès de vous. Sauf que voila, viens le problème : je suis indomptable. Comme la rose je n’aime pas être cueilli et tenir dans la main d’une personne. J’ai besoin d’être indépendante. D’autant plus, tout comme cette fleur, je sais faire mal, je sais trouver le point sensible des gens et l’utiliser pour les rendre fous, leur faire voir la vie d’un tout autre côté.
Certains pensent de moi que je n’ai pas de cœur. C’est faux, bien entendu, je suis vivante tout de même ! Je ressens des choses, beaucoup de choses mais je ne montre rien. Et d’ailleurs je ne vais pas m’étaler sur ce sujet car je n’ai aucunement envie que vous connaissiez mes faiblesses. Oui je suis fière et oui, je n’aime pas perdre. C’est bien pour cela que je veux être LA Joker; une carte qu’on aime tant posséder dans sa main pour gagner, gagner et rien d’autre. Croyez-moi, lorsque vous réussissez à m’affaiblir, me blesser, m’humilier, je deviens folle ! Une folie certainement semblable à notre Reine de cœur. Sauf que c’est moi qui fait tomber les têtes, je n’ai pas besoin de quelqu’un pour le faire à ma place.
Ah oui d’ailleurs, je m’énerve très, très facilement. Prenez garde en vous en prenant à moi ou alors, protégez vos oreilles. Vous pensez que je suis une hystérique n’Est-ce pas ? Et bien je pense que vous avez perdu la tête, tout simplement. Je suis simplement une personne lunatique, voila tout. Oui je peux m’énerver pour un rien mais oui je peux retrouver mon calme la seconde d’après. Et puis si vous n’êtes pas contents je m’en moque, vous n’avez d’autres choix que de me supporter. Vous l’aurez compris, je me moque totalement de ce que peuvent penser les autres à mon sujet. A vrai dire à Wonderland qui s’en soucis réellement ?
Ah oui, je suis également très entêtée. Si je veux faire une chose, je le fais. Si je veux dire une chose, je le dis. Bref, je suis totalement libre de mes faits et gestes. Je n’ai pas peur des représailles de mes actes. Jamais la Reine de Cœur ne réussira à m’enfermer dans son horrible cachot pour me couper la tête. D’ailleurs, les met-elle dans un cachot ? Je n’en sais rien en fait. Oui je sais j’ai tendance à me préoccuper de mon petit monde et non de celui qui m’entoure. Mais rassurez-vous, j’adore rencontrer de nouvelle tête; nouvelles cibles ou nouveaux amis, je m’exalte de plaisir rien qu’en y pensant.
Un petit peu impatiente sur les bords ? Moi ? D’accord j’avoue. J’ai horreur d’attendre ! C’est tellement … une perte de temps ! Pourquoi attendre ? Cela n’a absolument aucun intérêt. Attendre l’heure de manger, attendre l’heure de se coucher, attendre l’heure de sortir non mais vraiment n’importe quoi. C’est aberrant de voir à quel point les gens peuvent être soumis face au temps. Certains disent même qu’ils vivent leur vie comme ils l’entendent mais pourtant, ils restent prisonniers du temps. Moi non, jamais.
En fait, jamais je ne serais prisonnière de quoi que ce soit ( ou de qui ) …
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Aller, joues avec moi ~
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Il y a de cela bien longtemps, très longtemps, je naquit. Où ? Quand ? Dans quelle condition ? Je ne m’en souviens plus, cela me parait si vieux, comme si ce n’était qu’un mauvais rêve. Je me souviens d’une seule chose : un cris perçant qui me déchira les tympans et ce cris, c’était le mien …
On a tous un passé mais pour ma part je ne m’ai que très peu de souvenirs. Ai-je voulu tout oublier ? Oui certainement, oublier ce monde qui finalement n’était pas le mien.
*Namine posa son stylo.
Pourquoi devait--elle faire cela déjà ? Ah oui, elle devait conter son passé pour pouvoir enfin ouvrir les portes de Wonderland. Prenant une grande bouffée d’air, elle continua*
Je ne pourrais vous décrire les visages exactes de mes parents, leur physique m’est aujourd’hui totalement inconnu. Néanmoins, je me souviens l’expression de ma mère, perdue comme si elle n’avait aucune idée de ce qu’elle faisait ni ce qu’elle voulait. A l’inverse, mon paternel avait un visage dur, très dur. J’avais peur de lui et n’osait jamais affronter son regard. Il passait ses journées enfermer dans son bureau à travailler. Lorsqu’il était l’heure de passer à table, il ne venait jamais. Soit ma mère lui apporter de quoi manger soit il venait plus tard. Plus tard, toujours plus tard, j’avais horreur de cette expression.
J’ai donc grandit sans aucun geste d’affection de la part de mes parents, aucun discours échangés, rien. On se contentait d’un bonjour, merci, au revoir.
Les personnes avec lesquelles je bavardais le plus étaient mes poupées, mes peluches. L’une d’entre elle, avec un chapeau, adorait boire le thé, une autre ressemblant à un lapin n’abandonnait jamais sa montre comme si elle était constamment en retard. Ces personnages étaient parmi mes préférés. Et puis, ils jouaient aux cartes avec moi et à chaque fois je gagnais. Savez-vous pourquoi ? Parce que je possédais le Joker. Sans aucun doute la carte la plus forte du jeu.
*Soupire… Le Joker.*
Et puis, je devais aller à l’école aussi. Dès le premier jour, je me suis sentie très mal. J’avais l’impression d’être une étrangère. Tous ses enfants riaient, sautaient, criaient de joie. Je ne connaissais pas tout ça. Ils étaient tellement différent de mon monde à moi. Ainsi j’ai passé mes premières années seule. Je restais dans mon coin. Les autres enfants ne me touchaient pas, ne me regardaient pas et cela me convenait. Mais bien entendu, rien ne dura.
A partir de mes dix ans, ils commencèrent à se moquer de moi. Ils me montraient du doigt, disaient du mal de moi à voix haute. Au départ ils n’étaient qu’un petit groupe et puis, au fur et à mesure du temps, ils étaient de plus en plus nombreux et moi, de plus en plus mal à l’aise.
Un jour, alors qu’une fille avait été absolument insupportable avec moi, je suis rentrée, plus énervée que jamais. Sortant de ma poche le mouchoir que je lui avais piqué, je pris une aiguille dans mon bureau et commença à coudre une forme : une tête, deux bras et une jambe. J’ai alors gravé son nom, celui de cette petite peste qui avait pourri ma journée.
Cela m’a sans aucun doute pris une bonne partie de la nuit. Mais j’étais fière de mon travail car je savais, je savais qu’à partir de maintenant elle allait souffrir comme jamais. Décidant d’y aller en douceur, je lui ai enfoncé le bout de l’aiguille dans le flanc.
Le lendemain, elle ne vint pas en cours. La maîtresse nous appris qu’elle avait eut un léger accident et qu’elle serait là dans quelques jours. J’attendis…
Une semaine après, elle était là, assise sur sa chaise a fanfaronné. Elle avait un imposant pansement au niveau du flanc. Comment s’était-elle fait cela ? En descendant les escaliers, elle amenait les aiguilles à tricoter à sa mère sauf qu’elle est tombée et s’est plantée le bout de celles-ci dans sa chute. Je me retins de rire, un rire noir empli de folie. J’avais réussi, elle était à moi désormais.
Dès lors, je me suis beaucoup amusée à faire souffrir les pauvres petites choses de ma classe. Le soir mes parents m’entendaient rire comme si j’étais possédée et pourtant, ils ne faisaient rien, ne disaient rien. En réalité, ils s’en moquaient.
Je m’amusais à jouer avec ses poupées vivantes. Lorsque j’étais clémente, certaines d’entre elles bénéficiaient de la carte Joker, elle ne souffrait alors pas durant un laps de temps. Car oui je grandissais mais oui le Joker m’obsédait toujours autant.
Et puis un jour, j’ai commis une grave erreur.
Je devais avoir vers seize ans. Rentrant du lycée, je n’avais qu’une envie : coudre la poupée de ce garçon. Il avait dit qu’il m’appréciait beaucoup, que j’étais une personne unique. Et pourtant, tout ça était faux, complètement faux ! Un paris, voila tout.
Prise d’une grande fureur je n’ai pas était suffisamment prudente. Commençant à coudre, la poupée fut terminée très rapidement. Et puis j’ai pris différentes punaises, lui enfonçant partout dans le corps. Il allait tellement saigné qu’il frôlerait la mort, c’était certain.
Sauf que rien ne se passa comme je l’avais prévu…
Je me mis a saigner moi, perdant de plus en plus de sang, des litres sans aucun doute. Tellement énervée, je ne m’étais pas aperçue que j’avais cousu MON mouchoir. J’ai finis par m’évanouir. Le noir, du noir et rien d’autre. Mon esprit était en pleine forme, il vagabondait, cherchait ou aller.
De temps en temps j’entendais des voix qui m’appelaient. Quel était mon nom ? Je n’en ai pas la moindre idée. Mais je ne reconnaissais pas ces personnes. Ce n’était ni mon père, ni ma mère. Certainement des médecins. Je ne voulais pas leur répondre. Qu’ils ne perdent pas leur temps à me soigner ainsi. Je ne reviendrais jamais.
Et puis, j’aperçu une porte, lumineuse, imposante, elle semblait n’attendre qu’une chose : moi. M’approchant de plus en plus de celle-ci, je m’apprêtais à atteindre la poigné lorsque brusquement tout s’arrêta.
Mon corps était bien plus fort que ce que je m’étais imaginée …
La noir disparu, j’ouvris les yeux. Un plafond blanc comme neige, une lumière aveuglante. J’étais de retour en enfer. Les médecins m’apprirent que j’avais passé un an dans le coma et que j’avais bien failli y passer. Si seulement.
Quelques mois après je fus en état de sortir. Sous les conseils de l’équipe médicale mes parents décidèrent de me placer dans un internant pour personnes dérangées. Ils croyaient que j’avais voulu me suicider. Comme devenue fantôme, je fis ma valise. La remplissant avec tout ce qui me tombait sur la main, je ne vivais plus, je subissais. Et puis ma main sentit quelque chose de familier. Baissant les yeux je vis la poupée, ma poupée. Celle qui avait failli causer la fin de mes souffrances. Regardant tout autour de moi, j’ai bloqué la porte avec une chaise, personne ne pourrait m’empêcher de vivre mon destin.
Prenant les plus grosses aiguilles que je possédais, j’ai commencé à en planter partout dans le corps de ma poupée. Partout sauf dans le cœur. Je devais tenir suffisamment longtemps pour que je retrouver cette porte. Le noir si familier revint, je me remis à vagabonder pour la dernière fois …
Combien de temps mis-je à trouver la porte ? Je n’en sais rien. Mais elle finit par venir à moi. Ou bien, Est-ce moi qui vint à elle ? Je ne sais pas, je ne sais plus, je ne sais rien.
Touchant enfin cette poignée, Namine était née.
[ Je n'ai pas développé la vie de Namine dans le monde de Wonderland. La raison est que pour le moment je ne sais pas réellement comment elle va évoluer dans ce monde. Je préfère donc créer cette partie de son histoire au fur et à mesure de mes Rps. Enfin si cela ne vous dérange pas. ]
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C'est bon Arnaud, Avoues ton crime ! - Non, c'est pas moi !
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• Pseudo/Prenom : Il restera secret pour le moment (A)
• Âge : 18 Ans
• Avatar : Dessin de ravenskar ( deviantart )
• Comment as-tu connu le forum : De partenariat en partenariat
• Comment le trouves-tu ? : Croyez vous au coup de foudre ???? Et bien si ce n'est pas le cas, vous pouvez ! Je suis tout simplement tombée amoureuse donc je pense que je peux dire que je le trouve tout simplement superbe et côté ambiance il a l'air de l'être encore plus.
• Une idée pour l'améliorer ? : Là pour le coup rien ne me vient en tête ( n'a pas fouiné dans tout le forumm ).
Ah sii, dans les P.V., construire une partie scénariios pour que des membres puissent proposer des personnages jouables, importants pour leur histoire ( enfin vous connaissez le principe je suppose ).
• Ta présence sur 10 : Facilement entre 7 et 9 enfin après tout dépend de vous. Si vous m'accueillez comme il se doit et tout et touut bah je serais très souvent là mais si ce n'est pas le cas ma présence chuteraa ce que je n'espère pas du tout hein ?!
• Quand je dis rose, quel est ta première pensée ? : Épines >< !
• Regardez à votre droite, que voyez-vous ?
• Hors la loi ou policier ? : heeuu phonétiquement Hors la loi ( ça sonne mieux quand même ) mais sinon policier !
• Manger ou Boire ? : MANGER !!!!
• Règlement retenu ? Si oui, donnes le code : Heuu Règlement survolé lu alors code ... Le voila : "Une tasse de thé?" ( enfin il me semble ).
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![Namine : Quand la folie a un visage [ TERMINEE ] 573268namine_pres](https://2img.net/r/hpimg11/pics/573268namine_pres.jpg)
