Je suis lunatique, mais ne vous inquietez donc pas, je suis optimiste et aimable ~




Le Bouche à Oreille


• Nom : Elden
• Prénom : Maëra
• Âge : 16 ans
• Date de naissance : 22 février
• Orientation Sexuelle : Ne connait rien encore de sa sexualité
• Goupe : Little rabbit
• Emploi : Chercheuse, danseuse
• Mot le plus employé : La-si-mi-la-la…♪◦♪•♪
• Rêve : Fuir la laideur de l’existence grâce à son univers de beauté
• Arme: Une petite dague, ses idées, les sons
• Pouvoir : Elle entretient un lien tout particulier avec les sons
À voir dans l’histoire (sinon dites moi de le résumer ici)





Je ne t'aurais jamais imaginé ainsi !



Enjouée, Maëra est du type à toujours percevoir les côtés positifs de sa vie et des évènements. Optimiste, elle accorde à tous les meilleures intentions; même lorsque les indices de danger sont multiples, elle n’en prend pas conscience. Toutefois, son inconscient la fait fuir dans son monde, ce qui l’entraine à agir de manière à se préserver. Elle a cette qualité de protéger son esprit, son innocence et sa vie sans même s’en rendre compte.

Normalement, elle est grandement appréciée, elle n’est pas menaçante pour les autres. Par sa simplicité d’esprit, son sourire contagieux et son émerveillement devant presque tout, elle tente de transmettre sa joie de vivre. Malgré ses 16 ans elle se comporte encore comme une fillette; intellectuellement, elle n’aurait que la moitié de son âge. Aimable, elle a toujours des attentions pour les gens comptants dans sa vie et elle offre son affection pour un rien.

Parfois elle se montre un peu trop dépendante, elle ne remarque pas lorsque les gens tente de la décourager ou de la repousser. Malgré les refus et les déceptions elle continuera d’être persuader que tout est possible. Elle peut devenir envahissante puisqu’elle considère la majorité de ses désirs comme acquis. Elle est parfois trop insouciante et pourrait gagner à se poser plus de question. Elle apprendra très rarement de ses erreurs et pourra se retrouver dans les mêmes pétrins plus d’une fois. Elle oubli et pardonne sans difficulté, accordant la meilleure foi à tous, même ceux qui l’ont blessé. Mais elle n’est pas du genre à se laisser tuer ou mourir pour les autres, son sens de survie est des plus aiguisé bien qu’elle n’en prenne jamais conscience.

Refusant de voir les dures réalités de la vie en face, elle semble perdue dans son univers et fuir ainsi les douleurs ou difficultés qui arrivent nécessairement dans chaque vie.
Il est important de préciser que son monde utopique où elle se réfugie existe réellement. Effectivement, depuis toute petite, elle entretient un lien bien particulier avec les sons. Elle fredonne constamment et des chansons bourdonnent perpétuellement à ses oreilles sans qu’elle en soit dérangée, tellement elle y est habitué. Cela explique en partie qu’elle soit aussi lunatique puisqu’elle perçoit moins bien la vie extérieure tant les sons venants de son être sont présents et entravent ses autres sens.

Lorsqu’elle à les yeux dans le vague ou qu’elle se déplace gracieusement en dansant, elle ne perçoit pratiquement rien d’autre que la mélodie de son esprit.

Si elle se concentre suffisamment, et en employant beaucoup d’énergie, elle peut rendre ces musiques audibles aux autres. Celles-ci communiquent ses états d’esprit, ses désirs, etc. et auront une certaine influence sur les personnes les entendant, les confrontant à leur propre réalité propres émotions. Pendant ce temps Maëra pourra partir, la chanson continuera quelques minutes.

Elle est en quête, sans savoir exactement de quoi, elle pense qu’elle le devinera lorsqu’elle le trouvera.

Pour ce qui est de son apparence, Maëra est plutôt petite, elle a un corps mince et musclée de danseuse. Perpétuellement en mouvement, ses longs cheveux châtains, légèrement roux, tournoient autour de sa tête, effleurant son nez aquilin et ses lèvres souriante d’une teinte tirant plus sur le mauve que le rouge.
Elle adore les jupes amples et tourbillonnantes, les vêtements confectionnés et colorés grâce à de nombreux tissus.

Ses couleurs préférés sont le vert et le framboise, alors que le cercle est la forme qu’elle affectionne le plus.
Son collier d’argent soutient un pendentif en clef de sol et ses cheveux sont parfois retenus grâce à un foulard de soie bigarré. Ses bottes ont de petits talon, malgré quoi elle adore se promener sur la pointe des pieds. Elle porte en bandoulière un sac aux imprimés de framboise, duquel elle ne s’imagine se séparer. Dans celui-ci se trouve entre autre une fine baguette de bois de cerisier sculptée grâce à laquelle elle dirige parfois une symphonie inaudible. Cet outil lui est également d’une grande aide lorsqu’elle tente de canaliser ses pouvoirs. Elle traine également partout où elle va une étrange perle qu’elle insère parfois dans son oreille gauche. Elle y entasse finalement de nombreux souvenirs récoltés au gré de ses pérégrinations.
Également, elle ne se sépare jamais d’une petite flute irlandaise et d’un étui carré de cuir noir qu’elle n’ose plus ouvrir pour l’instant.

Ses yeux bleu sont tel une goutte cristalline dans un océan tranquille; profonds, simples et purs.
Animée par la musique, son énergie est vibrante et peut affecter les plus sensibles.

Entrerez-vous dans sa danse?




Aller, joues avec moi ~



Oups, il semble que Maëra se soit un peu trop dévoilée à la question précédente, mais je ne répéterai pas ici les informations déjà donné, en espérant que ça n’en mélange n’y déplaise trop.

Ainsi, seconde fille d’une famille de cinq enfants, Maëra a un frère ainé et un cadet de chaque genre. Étant dans le milieu de sa famille elle fut souvent laissée à elle-même, sans en être dérangée puisqu’elle s’occupait très bien seule. Alors que ses ainés éduquaient les plus jeunes, elle s’initiait à la musique pour laquelle ses parents avaient constaté un don et une passion naturelle de sa part. Elle maitrisa rapidement tous les instruments qu’on lui présenta; mais le violon resta toujours son choix de prédilection. La flute lui plaisait également, mais permettant moins de diversité elle n’appréciait que sa facilité de transport et le fait qu’elle reste tout le temps accordée. Sa famille sans être riche était aisé, mais les contacts avec la société étaient assez limités pour les filles Elden, toute la pression de réussite était concentrée sur les fils; dont l’ainé Eirlys souffrait beaucoup. Maëra silencieuse et dévouée à sa pratique musicale n’attirait cependant pas les confidences. Elle regrettait toutefois être confinée, mais trouvait de nombreux points positifs à cela, refusant de se laisser abattre. Elle recevait peu d'affection, et se créait donc de nombreux amis imaginaire, qui lui inspirait ses compositions et l'aidait à répondre aux exigences attendus d'elle.

Un jour alors qu’elle venait d’avoir 16 ans, elle se préparait pour un récital et comme à son habitude était plongée dans la pratique de son instrument, alors qu’elle jouait de son violon, elle valsait dans la chambre au rythme de son archet, son expression suivant les intonations.
Soudain, une tristesse profonde et sans nom l’envahie, son interprétation changea, devenant dramatique, traduisant une urgence de vivre. Réfugié dans son univers de son, traduisant ce qu’elle percevait sans le lui faire vivre (elle était dans un état second, une voie de communication), son jeu n’en était plus un; il devenait plus vrai que la réalité elle-même.
Ce dont elle n’avait plus conscience c’est que son frère ainé venait de se réfugié derrière la porte pour l’écouter jouer. Il venait là chaque fois qu’il se sentait désespérer; ce qui arrivait de plus en plus souvent à cause de la pression qu’il ressentait de la part de ses parents qui voulaient s’assurer de son avenir. Normalement, l’interprétation émotive, joyeuse, rassurante de sa sœur le calmait et l’encourageait à persévérer. Cependant, aujourd’hui ses émotions étaient si forte, sa douleur de vivre si grande, que Maëra les percevant les traduisit par sa musique. Pour la toute première fois, son pouvoir se révéla et sa musique devint persuasive, s’insinua au plus profond de l’être de son frère qui ne vit plus aucune alternative à son existence. Désespérer, en transe, il entra et laissant libre cours à ses désirs inavoués, libre voie à ses démons, il s’enleva la vie grâce à sa courte épée.
Maëra ne s’arrêta pourtant pas de jouer, voyant ce qu’il arriva elle n’en comprit pourtant rien, le sang, s’étendant jusqu’à ses pieds elle ne s’arrêta pas plus de jouer. Ses cordes vibrèrent de la toute dernière note alors que son frère dans un râlement d’animal poussa son dernier souffle. Détournée de la scène, encore un peu sous l’emprise, de son état second de musicienne, du pouvoir qu’elle venait de libérer, elle rangea son instrument, reprenant ses esprits. Lorsqu’elle se retourna, elle vit la scène avec horreur sans rien en comprendre; un cri violent, une douleur affligée, la vidèrent complètement des quelques énergies qui lui restaient, elle perdit connaissance.
Trois jours plus tard, elle s’éveilla dans son lit blanc, appelant, son père vint à son chevet. Les yeux creusé, le regard sévère, les lèvres sérés, il la toisa et lui demanda brusquement avec larmes ce qu’il s’était passé.
Devant l’incrédulité de sa fille, il se fâcha et utilisa la force, il brandit sous ses yeux les vêtements tachés de sang qu’elle portait lors du drames. Elle ne sut que répondre, éclatant en sanglot, un instant après elle n’avait plus conscience de rien, écoutant une merche funèbre, audible que pour elle. Son père s’emporta plus encore. Alors qu’il s’apprétait à lui inculquer de meilleures manières, elle se mit à chanter. Son père se figea, ses yeux se remplirent d’eau, son regard vide sur le monde, se remémorait la vie de son fils ainés. Lorsqu’il revint à lui-même, le lit était vide, malgré toutes les recherches et l’argent investit, il n’a toujours pas retrouvé sa fille, ni comprit la mort de son fils.
aëra quant à elle, sans savoir ce qu’elle faisait utilisa cette diversion afin de fuir son ancienne vie de laquelle elle ne pouvait plus rien obtenir. Elle voyagea et dormit un peu partout longuement, suivant la symphonie de l’aventure, des futurs possibles…
Aujourd’hui, elle ne sait plus exactement ce qu’il s’est passé; ayant refoulé ses souvenirs aux confins de son esprit. Toutefois, depuis ce jour, elle observe mélancoliquement et avec curiosité cette boite de cuir noire qu’elle transporte partout sans plus oser l’ouvrir.



C'est bon Arnaud, Avoues ton crime ! - Non c'est pas moi !


• Pseudo/Prenom : Kyrielle
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• Avatar : ---Pour l’instant, je ne sais jamais quoi prendre, ça me gène les droits d’auteur
• Comment as-tu connu le forum : recherche d’Alice sur google
• Comment le trouves-tu ? : (Un défaut obligatoire è.é ) Je trouve ce forum sincèrement magnifique, de tout ceux que je connais il me semble le mieux réalisé. Ce qui me déplait le plus (quoi que ce ne soit pas un réel reproche, je sais que je ne suis pas mieux placée) C’est que les messages d’introduction de Mad ont plusieurs fautes; c’est notre premier contact du site, ça ne fait pas aussi sérieux et recherché que ce l’est réellement.
• Une idée pour l'améliorer ? : Se relire et éditer?!
• Ta présence sur 10 : tout dépend des Rp, mais je n’en ferai qu’un a la fois et risque de ne venir qu’une fois par jour, 6 peut-être.
• Quand je dis rose, quel est ta première pensée ? : azur
• Regardez à votre droite, que voyez-vous ? une imprimante
• Hors la loi ou policier ? : policier
• Manger ou Boire ? : manger
• Règlement retenu ? Si oui, donnes le code : Une tasse de thé?