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 |  Sujet: -Am I Mad ? -Yes, my dear Jack, you're Mad...  Mer 7 Juil - 3:00 | |
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Alice's Game & Nightroad Jack.
■ Jack (prononcé « dja-ksu ») Nightroad, mais il aime se faire surnommé "Lunacy"
DATE DE NAISSANCE & ÂGE ■ Il ne s’en souvient plus vraiment, il sait juste que c’était en hiver. Il semble avoir plus d’une vingtaine d’années
STATUT ■ Fou à lié, c’est un statut ? hm… célibataire mais rien ne compte plus que sa démence pour lui.
ORIENTATION SEXUEL ■ Il s’en moque bien.
GROUPE ■ Être une rose tâché de sang, quoi de plus beau ?
POUVOIR ■ Il peut former un espace de déformation, où la folie règne en maître. Toutes choses, vivantes ou non, présentent dans le périmètre (variable selon les désirs de Jack) de cette zone y sont entraînés de force. (une description en détails du pouvoir devrait suivre).
EMPLOIS ■ Il n’est pas assez « saint d’esprit » pour avoir un métier.
JACK & ONLY HIS MADNESS
Son caractère ? Un seul adjectif le résume vraiment : il est fou, totalement dément, bon a être enfermé dans un asile, à porter une camisole de force. Vous pourrez constater sa folie en lisant son passé. Il est capable de dire une chose et de faire son exact opposé, d’ouvrir un parapluie lorsque le soleil brille et de le refermer lorsque la pluie se déverse à torrent. Encore, si ce n’était que ça. Mais il est capable de tuer ceux qu’il apprécie, enfin, cela reste assez dur à déterminer, étant donner qu’il a la légère habitude, mais pas désagréable, du moins pour lui, de tuer les gens avec qui il passe trop de temps, ce qui fait qu’on ne sait pas vraiment depuis quand il est dans ce monde.
Il n’aime que peu de chose hormis sa folie. Parmi la courte liste de ce qu’il apprécie, en seconde position, derrière la chose qu’il aime plus que lui-même, quoiqu’on puisse dire que c’est ce qui fait de lui ce qu’il est : sa psychose, se trouve les sucreries, à croire qu’il ne mange que ça. Il aime tellement cela qu’il n’hésite en aucun cas à les prendre, de force ou non, à ses invités, aussi rares soient-ils, ou à ses hôtes, voir même à les prendre directement dans les rayons. Dans ces cas là, il est fréquent de le voir partir avec son bien, en sifflotant, menaçant quiconque essayera de l’arrêter ou réclamant de l’argent. Il adore aussi les chapeaux haute-formes et le thé, mais minimum douze sucres dans le thé, pas moins. C’est à cause de cela que certains, surtout les nouveaux arrivant, le confondent avec le Mad Hatter.
Ah, si vous avez la malchance de le rencontrer, ne lui faites jamais, je dis bien au grand jamais, cette remarque, vous y risqueriez votre vie à coup sûr. S’il a bien une chose qu’il déteste autant qu’il aime sa démence, c’est le Chapelier Fou. Il est persuadé qu’il ne peut y avoir plus fou que lui-même et n’accepte pas qu’on donne ce titre à quelqu’un d’autre que lui. Son rêve ? Avoir la tête de ce cher Mad sur un plateau, en l’ayant fait souffrir avant si possible.
Une autre chose qu’il aime, et qui pourrait vous faire prendre peur de lui, si ce n’est pas déjà le cas : le couleur, l’odeur, mais surtout le goût du sang. C’est peut être la seul explication, dirons-nous « censée », de son passe-temps cruel qui n’est autre que de massacrer le premier qu’il trouve, à coup de fourchettes ou de couteaux, lui servant tantôt d’armes pour le corps à corps, tantôt de projectiles. Il a une force physique au dessus de la moyenne, sans pour autant être surhumaine, qu’en a son intelligence, elle est, pour ainsi dire, noyée dans le flot folie qui accable son esprit, mais elle peut se ranimer de temps à autres, et dans ces moments là, il est d’un géni diabolique et effrayant, prêt à faire des plans les plus tordus pour avoir ce qu’il veut. Pourtant je vous rassure, ces instants sont assez rares.
Me croiriez-vous si je vous disais que dans son enfance il était un garçonnet attachant, bien-aimé et surtout normal ? En vérité ce n’est qu’une âme torturée plongée dans les abysses de la folie, qui en a profité pour prendre les commandes. Ce qui fait que la plus part des gens ayant la possibilité de comprendre, de manipuler son esprit ou de lire à l’intérieur sont déroutés, de ne voir que des choses incompréhensible, ne pouvant les interpréter. Et peut importe si vous modifiez sa personnalité, son humeur, la folie dominera toujours.
Physiquement parlant, il est grand et élancé. Un visage plus que charmant, de loin comme de prêt, tant qu’il n’est pas déformé par le rictus de folie dont lui seul à le secret. Une bouche fine, un nez pratiquement parfait, mais surtout son seul œil visible, couleur sang, facilement animé par l’envie de cette dernière chose rouge qu’il adore tant. Etrangement, même lorsqu’il est pratiquement normal, son regard paraît, si on regarde bien, légèrement vide, comme si une partie de lui était absente à l’intérieur de lui. Ses cheveux mi-long, pour un homme, et argentés, dont une mèche recouvre son œil gauche, ou du moins ce qu’il en reste, étant borgne, ont tendance à finir en pointe, que Jack le veuille ou non. Il porte pratiquement toujours des chapeaux, étant donné à quel point il les aime. Sa tenue habituelle se résumé à une chemise violette surmonté d’une sorte de manteau blanc partant de la poitrine et arrive jusqu’à ses mollets. Bien sûr il ne tien pas par magie, il est tenue par deux sangles s’accrochant sous le col du manteau, à l’intérieur et revenant jusqu’au col de la chemise, passant sous l’espèce de cravate ressemblant plus à un morceau de tissu (hs : j’ai totalement oublié comment on appelait ça ! ><) puis elles ne forment plus qu’une seule pour s’accrocher dans le dos du manteau, toujours à l’intérieur de celui si. Les manches sont deux partie séparées du manteau, blanches elles aussi, elles sont largement trop longue, mais notre fou adore aussi les manches trop longues, pouvant cacher ses mains mais surtout ses armes. Il porte un simple pantalon noir et des mocassins de la même couleur.
Description de son pouvoir, comme promis :
Si vous vous trouvez donc dans cet espace malsain et étrange qu’il aime appeler « l’espace de démence » vous pourrez facilement vous apercevoir qu’il s’agit d’un endroit étrangement sombre et mal accueillant. La seule chose que vous pourrez voir en regardant le sol c’est un étroit et sinueux chemin quadrillé de dalles noires et blanches. Par contre, flottant tout au tour de vous, vous pourrez admirer un nombre incroyable de jouets cassés, de peluche déchirées, de poupées aux quelles il manque plus d’un membre et autre chose du genre. Il n’est pas rare que ceux qui en soient sortis et ayant eut le temps de témoigner, racontent avoir entendu une vague mélodie, telle celle d’une montre. Une musique douce, mais à la fois remplie d’une certaine tristesse. Quelque uns, attirés par ce bruit, l’ont suivit jusqu’à arriver dans un endroit légèrement différent. Bien sûr ils étaient toujours dans l’espace de démence, mais ce n’était plus des jouets qui flottaient, mais plutôt des sortes de fragments de souvenirs, appartenant sans doute à Jack. Au milieu de cet étrange lieu un escalier en colimaçon se dressait. Les plus courageux, ou les plus curieux, décidèrent de l’emprunter. Une fois arrivé au sommet, où la musique ne pouvait être plus proche, ils aperçurent une silhouette ressemblant étrangement à l’homme étant à l’origine de cette distorsion. Ils se ressemblaient en tous points, hormis que cette silhouette avait les cheveux plus long et du sang coulant de son œil gauche, toujours caché. Cet inconnu, dans tous les cas, se mettait à courir dans une direction inconnue. Ceux qui le suivirent purent sortir de cet enfer, mais ils se demandent toujours qui est cet étrange jeune homme, prêt à les aider.
Enfin, je vous rassure, mais ce n’est qu’une formule, il n’y a rien de rassurant dans ce que je vais vous dire : il est extrêmement dur de l’apercevoir, ou encore de le suivre. Pour cela il faudrait déjà que vous ayez encore un tant soit peu de conscience, chose difficile à préserver dans cet espace où la folie de chacun est révélée par divers moyens. En plus de cela il faudra affronter une nouvelle fois les pires scènes de votre passé.
Une fois sorti de cet endroit, certains racontent aussi, le plus souvent lorsqu’ils sont en état de choc, qu’ils ont, pendant un court instant, vu le monde qui les entouraient habituellement à la façon de Jack. De quelle manière l’ont-ils aperçu ? La meilleur façon de le savoir serait de faire un tour vous aussi dans ces abysse de démence, de folie et de douleur. Mais je doute que l’idée soit très sympathique. Mais pour répondre à une partie de cette question, sachez qu'il lui arrive de mal contrôler son pouvoir, étant donné qu'il ne sait pas toujours faire la différence entre la réalité et « the space of Lunacy »
JACK & HIS FATE Ah le passé, le pourquoi du comment, la raison de sa douce et sombre folie, cela vous intéresse, pour que vous lisiez ceci.
Cet hiver fut froid et rigoureux dans la ville de Liverpool. De quel période, est-ce que je parle précisément ? Eh bien celle de la naissance de Jack voyons ! Cela devait se trouver entre le fin de l’année et le début de la nouvelle il me semble …
Il fut l’aîné de la famille Nightroad, venant tout droit de l’aristocratie, bien qu’avec un degré inférieure à cause du mariage de ses grands parents, une noble avec un roturier… Mais il naquit dans une famille tout de même très aisée. Entouré de parents aimant, de serviteurs accueillants et prêt à l’aider même si ce n’était pas dans leurs contrats, son enfance était peut être la meilleure partie de sa vie, qui sait ? Quant à lui-même il était d’un naturel calme, bien qu’un peu joueur. Il étudiait dés qu’il le pouvait, curieux d’apprendre de nouvelles choses. Il apprit très tôt le japonais par sa très chère mère qu’il adorait. Il n’avait aucuns conflits avec son père, bien que, de temps à autres, il se disputait avec ses parents, mais c’est tout à fait normal. A ses deux ans, il ne fut plus enfant unique. Sa mère mit au monde une petite et fragile sœur pour notre fou, qui était encore à peu près normal. Tout allait pour le mieux du monde dans cette famille aimée et aimante, ah, oui comme toujours, les belles histoires s’arrêtent vite, trop vite…
La demoiselle, et sœur de Jack, nommée Alyss, fut vite remarque par son don, qu’elle déclencha vers ses dix ans. Elle avait des rêves prémonitoires. Fières d’avoir une telle fille, ses parents l’aidèrent à mieux contrôler son don. N’allez pas vous imaginer qu’ils délaissaient leur fils, ou que celui si était jaloux, bien au contraire, il les aidait aussi. Il adorait sa sœur plus que tout et depuis sa naissance. Mais était-il normal de l’apprécier à ce point… ?
Les années passèrent, Alyss fut envoyé dans une d’école pour enfant ayant des dons. Mais, Jack, bien résolut à ne pas quitter sa sœur, fit tous ce qu’il pu pour aller dans ce lieux avec elle. Après avoir passé plus de six mois à chercher des connaissances de connaissances, des personnes plus ou moins de confiance, ou n’importe qui d’autre capable de l’envoyer là bas, il y parvient, mais pas sans peines. Il était très facile de le prendre pour un stalker (= personne qui suit sans cesse une autre, surveillant ses moindres faits et geste, etc…), mais il ne s’en rendait pas compte, tant la recherche de sa sœur l’accaparait.
Pour tout dire, l’endroit ressemblait plus à un laboratoire plutôt qu’à une école. Vous vous imaginez que pour rentrer dans un tel établissement, il vous faut un don, quel qu’il soit, et personne ne déroge à la règle (hors les employés). Jack dû alors laissé croire qu’il possédait le donc de télékinésie. Il est sûr et certain qu’il était obligé de passé un teste, mais il fit savoir au chef de l’établissement qu’il était le grand frère d’Alyss, un de leur meilleur élément d’ailleurs. Le doute n’était pas permis à ce niveau là. Généralement les membres d’une même famille ont des dons à peu près tous aussi puissants les uns que les autres. Alors voir le frère d’une des plus douée demander à venir ici, le directeur se fit une joie d’accorder cette demande sans attendre et sans en demander plus.
Quelle fut la stupeur et l’effroi que le pauvre garçon de 16ans eut en arrivant de cet endroit, mi-prison mi-laboratoire. Bien sûr pour venir il avait accepté de rompre les ponts avec ses chers parents, il n’avait donc personne pour l’aider, mais il s’en fichait, il voulait juste retrouver sa sœur, et le sentiment de la protéger se fit lui aussi sentir en rentrant dans l’énorme bâtiment qui empestait les produits chimiques.
Rien ne semblait coller à une école prestigieuse, ce fut la première chose que ce dit le jeune fou, quoique pas encore tout à fait dément. Les murs étaient dans un état déplorable, des morceaux de crépis tombaient un peu partout, de larges fissures étaient facilement visible, à croire que personne ne voulait les caché, ou plutôt qu’ils s’en fichaient totalement. Les couloirs se ressemblaient tous, gris, délabrés, sans vie et étrangement longs. Alors qu’il se rendait, accompagné de deux gardes, tel un détenu, vers la chambre de sa sœur, et nouvellement la sienne aussi, il ne manqua pas de remarquer les nombreuses portes en aciers toutes accompagnées d’une petite vitre où, en général, des regardes curieux et suppliant étaient visibles. Il pouvait aussi apercevoir, mais plus rarement, des visages creusés, maigres et désespérés d’enfants, sans doutes des « élèves ». A l’idée que sa sœur pouvait être ainsi Jack frissonna de dégout et accéléra sa marche.
Ils arrivèrent enfin dans la petite pièce aussi miteuse que le reste. A son grand soulagement sa sœur avait l’air à peu près normal bien qu’assez troublée. Les gardes repartirent, pour les laisser entres eux. Le bruit étrangement angoissant d’une lourde serrure se fermer fut l’un des bruits qui devinrent plus que familier à Jack au cours des années suivantes.
Deux années avaient passé. Jack avait à présent seize ans et sa chère sœur quatorze. La vie dans ce complexe, qui se révélait des plus malsains, n’avait rien de drôle ou de sympathique. Tous les jours Alyss avait le droit à une dizaine d’examens, soi-disant pour sa santé, alors qu’elle en ressortait plus affaiblie à chaque fois. Son aîné ne pouvait que regarder sans rien dire. C’est à partir de ce moment que la folie se déclencha de son esprit troublé par toutes ces horreurs, surtout qu’il était déjà sans doute fragile mentalement à la naissance.
Alors qu’il rentrait seul à sa chambre, le couvre feu l’empêchant de voir la suite des examens sa sœur, un petit groupe d’enfant vint le voir. Il fut d’abord surpris, puis les ignora, reprenant sa route. Il fut une fois de plus arrêter par les mêmes gosses.
« Quoi à la fin ?! »
« Toi… Tu n’as jamais montré tes pouvoirs, ni fait de testes comme nous. » dit un des gamins, qui semblait être leur chef. »
« Pas de ma faute si je suis le frère d’Alyss. »
« Si tu es vraiment son frère tu aurais du la sauver depuis longtemps, espèce de bon à rien » s’écrièrent tous les enfants ensembles.
Exaspéré au plus haut point, Jack se contenta de rentrer dans sa chambre. Il se moquait bien de ces pauvre gosses dont personnes ne voulait.
Encore, si tout cela était rester à si peu. Mais à partir de ce jour et pendant deux années, tous les élèves s’étaient ligué contre le pauvre jeune homme, le maltraitant de diverse manières, déchirant ses vêtements, le blessant tant physiquement que mentalement. Si bien qu’il finit par s’enfermer dans sa chambre jour et nuit, ne voulant plus faire face à cette bande qui le détestait tant.
Un jour cependant, peu après les seize ans d’Alyss, un boucan énorme, faits de cris et de pleurs, l’obligea à sortir, mais c’est surtout lorsqu’il entendit le nom de sa chère sœur, seule personne à occuper ses esprits, qu’il décida vraiment de sortir.
« Qu’est-ce qui se passe les mioches ? »
« Alyss… Alyss a été violée !!! »
Un lourd silence tomba au même moment, une douleur indescriptible déchira le cœur du fils des Nightroad.
« QUOI ?! OU EST-ELLE ?! »
Le garçonnet qui semblait être le chef il y a deux ans se mit face à lui, il semblait avoir beaucoup grandit à tel point que Jack eut du mal à le reconnaître, mais paraissait avoir surtout gardé la même place au sein du groupe.
« Tu oses venir nous demander alors qu’elle était maltraitée depuis plus de six mois ? Et tu dis grand frère protecteur à rester cloitrer dans ta pièce ?! »
Ses quelques mots achevèrent le jeune homme concerné. Il avait peur, très peur. En général, les gens réagissent à ce genre de chose de façon telles qu’ils deviennent soudainement déterminer ou, au contraire, totalement anéanti. Mais avec lui, le résultat fut bien différent. Il devint soudainement très violent, prit d’une psychose sans fond. Il attrapa une barre de fer qui traînait là, apportée par l’un des enfants.
Un rire mauvais, malsain et effroyable se fit entendre dans tout le bâtiment. Cela mais aussi une mélodie venant d’une montre à gousset, la montre d’Alyss. Lorsque les gardes arrivèrent ce fut trop tard, le couloir entier était teint en rouge, les cadavres des malheureux qui avait osé se mettre sur la route du montre se trouvaient là, baignant de leur sang, mais aussi dans celui des autres. Ils étaient tantôt intacte, tantôt démembrés avec une précision affolante. Des traces de pas rouges étaient visibles et descendait vers l’endroit où se trouvait la demoiselle au don surpuissant.
Jack la trouva sans trop de mal. Elle dormait, épuisée et dans un sal état. Son frère tomba à genoux devant le ridicule lit dans le quel elle était. Ses mains tâchées de sang laissèrent leur trace sur le drap blanc. Les larmes coulaient sans savoir pourquoi des yeux du jeune homme de dix-huit ans. Il avait lâché la barre de fer dans un fracas épouvantable, mais cela n’avait pas réveillé sa sœur. Il se demandait comme il avait pu ne pas voir la détresse de sa sœur.
Il était plongé de ces réflexions lorsque deux bras tièdes entourèrent son cou. Les gardes ? Pas du tout. Une petite voix murmura à son oreille :
« J’ai peur Nii-san… Ils me font peur ici… »
Il se retourna et vit sa sœur, qui était pourtant couchée sur le lit. Ce n’était qu’une simple illusion, sortit tout droit de son esprit dément.
« Alyss !!! Je… je suis tellement désolé !!! »
« J’ai froid… j’ai peur… nii-san… »
« Peur de quoi ? Dis le moi ! Je vais détruire tous ce qui t’effraies, comme ça tu seras heureuse ! »
« J’ai peur des autres enfants… »
« Je les ait déjà tué ! »
« Je… j’ai aussi peur des gardes… »
« Je ne les laisserais pas te toucher ! »
« Mais… j’ai surtout peur de… […] »
Jack écarquilla les yeux avant de sourire bêtement.
« C’est tellement facile de remédier à ce problème, ma chère sœur ! »
Il se releva, reprenant son arme dans sa main. Il la leva bien haut au dessus de lui avant de l’abattre sans bruit sur le corps de sa seule famille dans cet endroit.
Après une dizaine de minutes les gardes arrivèrent et virent l’étrange spectacle qui se présentait à eux : le recherché était dans un coin de la pièce, tenant ses bras et riant comme un fou, en face de lui se trouvait le cadavre sans vie de sa sœur, un objet long planté dans la poitrine, une barre de fer de toute évidence. Ils comprirent plus que rapidement et attrapèrent le jeune homme avec force, sans aucunes délicatesse ni politesse. Il venait de tuer leur meilleur élément tout de même. Mais il se laissait étrangement faire, il regardait juste le corps froid de sa bien-aimée et sœur en hurlant à qui voulait l’entendre.
« Je l’ai fait pour elle, vous comprenez pour elle !!! »
Le regard de psychopathe qu’il arborait à ce moment avait le don d’en effrayé plus d’un.
Il passa la suite de sa vie enfermé dans une prison extérieure à l’école. Une prison… mais spécialement pour les fous de son espèce, quoiqu’on avait jamais vu pareil folie avant lui. Il avait tué de sang froid tous les élèves d’un établissement fort connu et avait assassiné sa sœur pour son soi-disant bien.
Il passait ses journées à rôder dans les couleurs, riant comme le fou qu’il était, faisant et disant des choses totalement incompréhensibles. Il hurlait à la mort le nom de sa chère sœur, qu’il voulait du thé, des chapeaux et aussi qu’il voyait sa bien-aimée tous les soirs à l’heure du crime. Elle lui disait qu’il avait bien fait et qu’elle était heureuse.
Un jour, proche de ses dix-neuf ans, alors qu’il avait, depuis peu, réussit à avoir un temps libre pour leur du thé, on lui avait interdit de mettre quoique ce soit dans sa boisson. Cette chose déplut plus que fortement à l’homme qui recommença à hurler. Un psychologue, fraîchement arrivé et intrigué par de tels cris, arriva dans la pièce totalement blanche et dénudée hormis une table, une petite assiette, une tasse et une théière. Il haussa un sourcil à la vue de l’homme en camisole de force.
« B-b-bonjour… »
Jack se mit à frapper dans ses mains, tout content.
« Un invité !!!! »
Le prisonnier se leva et prit le médecin par le bras, l’invitant à sa table où il n’y avait qu’une seule chaise. Il se rassit presque aussitôt
« Monsieur le médecin… Ils ne veulent pas que je mange quelque chose que leurs petites pilules étranges !!! J’ai déjà me battre pour avoir du thé ! »
L’autre semblait bien embarrassé.
«Mais ils font ça pour votre bien… »
« Mon bien ?! Faire ce que je veux serait encore mieux pour mon bien comme vous dites ! »
Un des traits de caractères du praticien remonta à la surface. Il détestait que les patients se pensent tout permis.
« C’est nous qui avons le pouvoir sur vous pour le moment, alors taisez vous et calmes vous tout de suite !!! De toute façon vous ne pouvez rien faire, sale fou ! »
A ses mots Jack eut le même sourire psychotique que dans son passé, à cet instant teint de rouge pour toutes les personnes présentes et celles misent au courant.
« Oh… Je ne peux rien faire ? »
Il s’approcha du psychologue de façon à le coincer contre un mur, sans échappatoires. Il passa ensuite délicatement ses doigts sur la joue de l’homme, attrapant avec force son menton.
« Vous voulez voir quelque chose d’absolument magnifique sensei ? »
L’autre déglutit péniblement, se doutant que personne ne viendrait aider un stagiaire prit au piège avec un fou.
« Regardez, sensei ! Regardez-moi !!! »
Son ton était tellement autoritaire qu’il ne pu faire autrement : le jeune malade mental avait son autre main sur sa propre joue droite. Ses doigts se dirigeaient vers son œil, laissant le médecin perplexe quant aux actes à venir. Tout ce passa assez vite.
L’index et le majeur de Jack se trouvaient maintenant aux extrémités de l’orbite de son œil droit. Un sourire encore plus malsain apparut sur son visage, puis un flot rouge se déversa sur la blouse du stagiaire, choqué comme jamais.
Lâchant le visage de l’homme, Jack lui sourit en lui montrant bien son globe oculaire qu’il venait de s’arracher lui-même. Celui-ci commençait à tourne de l’œil, sans mauvais jeux de mots, mais son envie de vomir ne fut maximale que lorsqu’il vu le prisonnier amener doucement son œil à sa propre bouche.
Le bruit d’un organe oculaire mastiqué par une mâchoire puissante d’humain n’a rien, absolument rien de plaisant. Le médecin s’effondra au sol sans demander son reste alors que l’autre, dont l’orbite vide dégoulinait de sang le regardait en penchant la tête.
« Déjà dans les vapes ? Vous n’êtes pas un bon partenaire de jeux, sensei … »
Puis il retourna à son thé. Qui fut d’ailleurs de courte durée, car les gardes, n’ayant pas revu le stagiaire depuis un petit moment vinrent faire un tour et aperçurent Jack, le visage couvert de sang, avec un seul œil entrain de leur sourire. Ils se mirent à la recherche de l’organe manquant et après environ cinq minutes ils échangèrent un regard dégoûté en se rendant compte de la démence du patient.
Un an passa, Jack avait refusé catégoriquement de porter un bandeau ou autre, préférant laisser pousser sa mèche de cheveux argentés pour cacher son effroyable blessure. Mais, comme l’avaient prévu, mais c’étaient bien gardés de dire, les autres médecins, la perte d’un œil mal soignée devenait rapidement fatale, c’était d’ailleurs un exploit que Jack est survécu aussi longtemps.
Une nuit, la douce voix d’Alyss l’appela dans ses rêves.
« Nii-san, viens avec moi s’il te plait, suis moi ! Allons à Wonderland, loin de tout ces gens ! »
Il saisit la main que lui tendait la douce demoiselle et se sentit transporté. C’est ainsi qu’il mourut pour son plus grand bonheur et celui de toute la prison, autant pour les employés que pour les autres détenus qu’il terrifiait.
« J’arrive Alyss attend moi ! »
« Je t’attendrais toujours, après tout, tu as détruit ce qui me faisait le plus peur c'est-à-dire… »
« Je sais Alyss, toi et tes pouvoirs, c’est cela qui te faisais si peur ! »
Il sentit cette douce illusion se serrer contre lui avant de disparaitre.
« Oui, thank you, nii-san ! »
Il voulut rajouter quelque chose mais il s’était réveillé dans un monde inconnu.
Quelques mois passèrent. Il fut confondu plusieurs fois avec le Mad Hatter, dont on disait qu’il était l’homme le plus fou du monde, chose qu’il l’énerva sans cesse. Il réussit aussi à découvrir son pouvoir sans mal. Il sut que l’une des personnes aux quelles tenait le chapelier était Alice, la créatrice de ce monde. Alyss et Alice… Ce ne pouvait pas être qu’une coïncidence, elle était peut être sa sœur ! A force de chercher après cette demoiselle, il fut remarqué par les Bloody Roses qui l’engagèrent, trouvant qu’un élément aussi fou à lié que lui ne pouvait être que divertissant et compétant.
WHO'S BEHIND THIS MYSTERIOUS FIGURE ?
PSEUDO/PRENOM ■ Quelle étrange question
ÂGE ■ tiens… l’aurais-je oublié par mégarde ?
AVATAR ■ Xerxes Break, Pandora Hearts
COMMENT AS-TU CONNU CE FORUM ? ■ je ne sais même plus, là c’est vrai xD
COMMENT TROUVES-TU LE FORUM ? ■ Très joli, et convenant parfaitement à un personnage comme le mien !
NOTE SUR 10 TA PRÉSENCE ICI ■ beuh… 5/10 mini’ ?
RÈGLEMENT SIGNÉ ? ■ De ce pas.
COMMENTAIRE?■ Je veux des bonbons *_____* *Break mode on*
REGARDEZ A VOTRE DROITE, QUE VOYEZ-VOUS ? ■ Ma peluche de Tsunayoshi en hyper-mode ! *.*
Dernière édition par Jack Nightroad le Ven 9 Juil - 9:24, édité 1 fois |
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