En quête, retrouver le temps (Pv Alexiel)

Enfin un lieu tranquille et silencieux. Peut-être dans le calme et la solitude pourrait-elle se retrouver, faire la paix avec elle-même et éveiller ses souvenirs enfouis? Elle l’espérait bien, non que vivre au jour le jour en regardant vers l’avenir lui déplaisait, mais elle était persuadée qu’une information d’importance lui échappait.

Elle marchait, ignorant depuis combien de temps, mais suffisamment pour en avoir le corps courbaturé, les jambes flageolantes; il lui faudrait bientôt s’arrêter. Quand avait-elle mangé pour la dernière fois? Quand avait-elle dormi? Impossible de se le remémorer, était-ce réellement important? La connaissance de ces détails ne changerait rien au lieu où elle se trouvait; un paysage vaste, d’herbes folles séchés, de racines tortueuses, d’insectes frémissants. Aucun abri en vu, aucune source de nourriture à dénicher, mieux valait donc éloigner ces idées avant qu’elles ne provoquent l’envie. Devant elle une imposante grille close, exactement là où ses pas la menaient. Une fois, minuscule à la contempler, Maëra vit la serrure cadenassée avec grande déception, sa route ne pouvait pas la se terminer. Elle avait marché s’éloignant des bruits, s’éloignant de la vie afin de retrouver le calme, de rechercher les expériences révolues prisonnières de son être.

Elle prit à gauche, le côté du cœur, avançant péniblement sur le sol inégale tout en laissant glisser sa main sur le mur du portail la séparant de sa destination. Après un certain temps, alors que le soleil éclairait le ciel d’une couleur rougeâtre avant de disparaitre jusqu’au matin, sa main glissa, pénétrant dans une brèche à la hauteur de sa taille. Dans le début de la pénombre, perdue dans le chant qu’elle avait entonné, elle ne l’avait remarqué avant d’y manquer pied. Y regardant de plus près elle remarqua qu’elle pouvait s’y faufiler, exactement ce qu’elle fit.

De l’autre côté se trouvait une imposante forêt où la nuit semblait déjà tombée. Elle marcha un peu, jusqu'à s’affaler dans le nœud d’un arbre centenaire, elle s’y sentait protégée, en sécurité. Prête à réfléchir, à retracer ce qui lui était arrivé.

Elle se souvenait avoir rencontré Daymon, s’être trouvée bête en sa compagnie, avoir profité de sa générosité, mais tout se qui s’était passé disparaissait de plus en plus, l’idée seule demeurait. Elle ne pourrait continuer à vivre toute sa vie ainsi à reconnaitre des gens sans se rappeler ce qu’ils avaient ensemble expérimentés. Toute sa vie, elle s’était concentrée sur son passé afin de bien avancée et faisant bien attention afin de ne pas répéter les mêmes erreurs. Désormais comment pouvait-elle être certaine que chaque nouvelle journée n’était pas le pur reflet de la précédente, que son existence ne s’était pas mise à tourner en rond?

La réalité n’avait plus de sens, sa consistance étant diluée, il devenait impossible de différencier passé, présent et futur. Ce Wonderland, si différent de tout ce qu’elle avait connu, comment y était-elle parvenue? Avait-elle réellement quitté sa famille, la protection de sa vie organisée pour se perdre sans ressources en ces contrées étranges?
Pour affronter les difficultés de la solitude, les doutes de l'inconnu.

Chantonnant de nouveau afin de ne pas laisser de place aux craintes, elle trouva le repos, fermant les yeux pour mieux se représenter ses espoirs du lendemain.

"Le temps n'a aucune importance,seul la vie et importante".

Le jours venais de se lever je quitter The Amusement Park Of Clubs en partant de ceux lieux et en disant au revoir à Boris et marcha toute la journée croissant des paysages magnifique une prairie avec un cascade bleu azur ou toute en bas de la chute se trouvais un arc en ciel ou des poisson sauter des papillons voler et les oiseaux chantais que de merveille dans se monde de violence et de brute seule la lois du plus fort existe alors que la beauté de se monde ne cesse de m'émerveillée je marcha plus de 2h00 quand j'arriva à un croisement de chemin soit je retourner à Halloween Town ou soit à la The Lost Forest je ne voulais pas retourner à Halloween alors je marcha en direction de la forêt je croie que la solitude me verra su bien et qui c'est je pourrais m'installer quelque part je ne c'est pas encore mais j'aimerais dans un endroit tranquille à l'écart de la civilisation ou je pourrais être enfin moi même et ne plus me cacher une présence me manquais et pour moi il était primordiale que je trouve quelqu'un qui puisse contrôler mes pulsions sinon je risque de tout détruire sur mon passage, en me perdant dans mes pensée j'arrivais devant la forêt mais pourquoi était elle fermé à clef et en murée normalement un forêt n'a pas besoin de sa mais bon comme se pays et bizarre je suppose que c'est pour empêcher qu'elle n'avance plus ou pour protéger les humains.

Je regardais la grille elle était faite en faire mais un peut rouiller par la pluie et par le manque d'entretien les mur commencer à avoir des signes d'usure des brèche pas plus grosse que mon point se formez dans le mur je chercha un trou vers la gauche et marcha pendant dix minute avant d'arrivais à un brèche assez grande pour moi je me glissa à l’intérieure et recommença à marcher direction le Sud des ronces des racines enchevêtrais rendais la marche difficile le coucher du soleil n'arrivais pas à percer l'épaisse dôme de feuillage les bruit des oiseaux rendit le lieu plus tôt sinistre et je marcha doucement pour ne pas me péter une jambes au bout d'un moment j'entendit tout près de moi un bruit faible je me dirigea vers se bruit qui pouvais bien être dans cette forêt et pourquoi.

J'arrivais vers le bruit discrètement et regarda d'ou sa pouvais provenir une jeunes fille était allonger dans les creux d'un arbre et dormais et chanter elle semblais épuiser et doit être affamer, j'avais fais une promesse à Alicia et je devais la tenir la fraîcheur s’installa dans la forêt et pour ne pas qu'elle est froid enleva ma veste et lui mie sur elle et commença à ramassais du bois pour faire un feux tout en essayant de pas la réveillais.

S’étant finalement endormie dans cette étrange forêt, Maëra retrouvait enfin le calme et la sérénité. Toutefois son sommeil n’était que léger, elle n’arrivait pas à totalement baisser sa garde dans un lieu inconnu et c’était certainement mieux ainsi. L’instinct prime toujours; plus encore lorsqu’on abandonne les pensées afin de n’être plus que dans l’instant, sensible à l’inconscient.

A demi-consciente, Maëra sentit la chaleur d’un vêtement posé sur elle, elle n’avait pourtant pas entendu les pas, peu importe. Ne percevant aucun danger, pas la moindre animosité provenant du nouveau venu, elle ne s’éveilla toutefois pas, profitant de ce repos dont elle avait bien besoin. Elle entendit des pas furtifs, des branches craquer et s’empiler, comme si un feu allait être préparé. Quittant peu à peu les voiles brumeux de l’univers onirique, elle ouvrit les yeux. Puisqu’il faisait encore sombre, elle ne fut pas éblouie et n’eut pas à cligner des yeux afin de voir l’homme accroupi non loin lui tournant le dos. N’osant pas bouger, pas faire de bruit pour le déconcentrer ou l’effrayer elle se tut en l’observant. Ses mains glissèrent sur le tissu qui semblait être une veste dont elle était recouverte. Constatant que l’homme n’en portait plus, elle fit le lien qu’il devait être celui arrivé plus tôt et qu’inconsciemment avec qui elle s’était sentie en sécurité.

Assise comme elle l’était, il lui parut grand et imposant, cela lui plut, il dégageait selon elle une sorte de force accompagnée d’une mélancolie incertaine. Son esprit même conscient ne lui intimait pas de le craindre, au contraire, si elle avait acceptée d’écouter ses pulsions, elle aurait été se blottir contre lui, chercher à son contact l’affection qu’il lui manquait.

Elle siffla un petit air doux et aguicheur afin d’attirer son attention.
Elle n’osa toutefois pas se lever, pas s’approcher ou s’imposer, il ne fallait pas se laisser aller.

Un hibou plongea de la cime de l’arbre pour attraper un mulot au vol, il reprit de l’altitude dans un hululement sinistre. Cela surprit tant Maëra qu’elle cria d’effroi, une seule note, courte mais stridente.

Tremblante, elle regarda l’homme, se rappelant qu’elle n’était pas seule et constatant que l’hibou était repartie. Elle put donc oublier que le volatile lui avait parut au moins trois fois plus gros que tous ceux qu’elle avait déjà vu.

Je commença à cherchais du bois sans faire du bruit car je ne voulez pas réveillé la jeunes filles qui dormais dans le creux d'un arbre dois il y en avais partout c'est se qu'il manquais il y en avais de toute sorte du bois sec,humide,ou encore remplie de sève je ramassa du bois sec et des gros rondin pour la nuit car je pense que la nuit va être fraîche en me dirigeant vers l'arbre ou dormais la fille je déposas mon fagot et commença à allumer un feu et chercha quelque chose dans mon sac des provisions je sentait que quelqu'un me regardais et je savais que la jeunes fille me regardais car les battement de sont coeur avais changer de rythme et je fie semblant de pas la voir pour la laisser et pour qu'elle s'habitus à moi j'alluma le feux avec mon briquet et commença à sortie des provision du sac et cuisina pour la jeunes fille.

Une musique arriva à mes oreilles c'était un aire de musique doux et rassurant je commençais à me retourner quand la jeunes fille poussa un cris effroyable comme si je lui avais fais peur je la regarda et compris se qui venais de se passer un gros hiboux venais de plonger pour manger un mulot qui était tout prés d'elle et celas la surpris je m'approcha d'elle et utilisa mon pouvoir pour la calmer et pour la rassurer je contrôler maintenant ces pulsion au bout d'un moment je m'agenouilla et me présenta comme voulais la tradition à la cours devant une si jolie dame:

"-Bonjours je m'appelle Alexiel et que fais une si jolie filles dans cette forêt ". tout en lui fessant un baise main.

Je me releva et me redirigea vers le feux et recommença à cuisiner au bout d'un moment le dîner était prêt je me retourna vers la jeunes fille pour l'inviter à dîner je servie l'assiette de la jeunes fille et m'allongea par terre et pensa à des souvenir tout en chantant une chanson lente et mélancolique :

C'est lorsqu'elle voulut se relever
Qu'elle vit un jeune homme s'approcher
Il semblait sortir du fond de l'eau
Tout mouillé, elle l'a trouvé... beau
Et elle a compris à son regard
Qu'il la trouvait belle

Et son corps ne s'est pas défendu
Et l'amour en elle s'est répandu
Et la cloche a sonné au château
C'est alors que l'inconnu
S'est perdu, a disparu... dans l'eau

j’ouvris les yeux en j'avais oublier la jeunes fille je tourna la tête et lui fis un beaux sourire.

Il alluma le feu avec facilité, il devait donc être habitué à cette vie sauvage, la jeune fille l’envia un instant. Ce qu’elle aimerait pouvoir dire qu’elle pouvait seule se débrouiller, trouver refuge, chaleur et nourriture pour répondre à tout ses besoins vitaux. Peut-être pourrait-elle apprendre? Cet homme qui semblait si doué pourrait-il lui enseigné? Il est certain que son cœur lui disait qu’il aimerait.
En même temps, elle trouvait étrange d’avoir de telles pensées, ce n’était pas dans se nature, ou du moins elle ne s’autorisait pas à consciemment considérer de telles idées. Elle ne devait rien attendre des autres, autrement son cœur comme sa vie en serait blessée.

C’est alors que le rapace plongea, coupant net le fil de ses pensées lui rappelant que la mort rôde continuellement tout autour.

Lorsqu’elle fut remise de son émoi, Maëra vit que l’homme l’observait. Elle rougit donc, de quoi avait-elle l’air à crier ainsi, rien n’avait réellement été dangereux pour elle; seul le mulot avait souffert et cela faisait partie de l’ordre de la vie. La roue du temps conservait l’équilibre des existences immuablement. Il était inutile de désirer changer ce type de chose.

Elle le vit s’approcher alors qu’elle se calma soudainement. Il s’agenouilla alors pour lui faire un baisemain en se présentant. Complètement calmée, elle n’en fut aucunement troublée.
Alexiel quel beau nom, un prénom aux consonances anciennes, pleines de profondeur et d’histoire; ça lui allait très bien à cet homme qui semblait avoir tant vécut et donc une cicatrice parcourant son visage en témoignait.

- Moi c’est Maëra, j’étais ici venue trouver le calme, tous les bruits de Wonderland me faisaient tourner la tête. Il y avait un peu trop de chamboulements pour moi également, quoi que je ne pourrais vous relater exactement ce qu’il m’est arrivé…

Elle s’était adressée à lui d’une voix douce et affirmée tout en fixant son regard au sien. Cela n’avait pourtant aucune signification autre que le fait qu’elle était incapable de regarder ailleurs alors qu’il était si près.

Il se releva alors s’occuper de ce qu’il avait préparé près du feu. Bientôt de délicieuses effluves éveillère la faim, se ventre se tordant en anticipant, le goût des aliments dont les effluves était simples mais fraiches. Sans savoir exactement pourquoi, elle se rejouit à l’idée d’un simple repas.

Alors qu’il s’approcha de nouveau lui offrant une partie de la nourriture, elle ne put s’empêcher de se rappeler qu’une fois de plus elle n’avait rien fait afin de s’alimenter. Il lui faudrait éventuellement se débrouiller, mais elle accepta joyeusement l’assiette vers elle tendue alors qu’il s’allongea pour chanter.
Quoi? Il ne mangeait rien? Elle voulut être gênée de l’avoir fait utiliser ses ressources et son temps seulement pour elle, mais en fut incapable, elle ne pouvait qu’apprécier et même peut-être un peu admirer son geste en écoutant la douce chanson. Elle éveillait de nombreuses images en son esprit et la fit sourire.

Cet homme ayant utilisé une chanson s’était attiré son affection, elle appréciait tant le rythme qu’il possédait amplement. Depuis son arrivée à Wonderland quelque chose en elle semblait avoir été cassé, mais elle sentait que son lien à la musique pourrait bientôt être réparé.

Alexiel avait chanté les yeux fermés, les ouvrant il lui fit un sourire, l’invitant à lui parler.

Elle murmura; ses lèvres près de son oreille :

Quelles paroles magnifiques, une belle formule magique
Qui nous transporte dans le temps, racontant un bel instant.
Pourquoi vous êtes vous tu, cher ami inconnu
Si vous l’accepter, mon désir d’avec vous échanger

Elle désirait écouter, elle voulait parler, il lui semblait qu’un même langage les unissait, qu’un lien était en train de se tisser.

Tout en terminant ma chanson le jeunes fille se présenta à moi : Moi c’est Maëra, j’étais ici venue trouver le calme, tous les bruits de Wonderland me faisaient tourner la tête. Il y avait un peu trop de chamboulements pour moi également, quoi que je ne pourrais vous relater exactement ce qu’il m’est arrivé…
j’arrêtais de chanter pour lui répondre mais me résigna car je ne voulez pas gâcher ceux silence ou deux être liée par quelque choses se sentent seul et en harmonie avec la nature, la jeune file mangeais tout en écoutant la chanson elle semblai transportais quand j’arrêtais de chanter la jeunes Maera se pencha vers moi pour me chuchoter à l’oreille :Quelles paroles magnifiques, une belle formule magique.
Qui nous transporte dans le temps, racontant un bel instant.
Pourquoi vous êtes vous tu, cher ami inconnu
Si vous l’accepter, mon désir d’avec vous échanger

Celas me troubla un peut mais elle semblais si douce et si gentille comme si quelque chose se créa entre nous deux pour une fois je n'était pas sur mes garde et je semblais détendue sans que nul personne ne viens nous dérangez le temps semblais s'arrêtais sa présence me fessais du bien et je pense que pour elle aussi car elle c'était rapprochais de moi je me releva et alla cherchais à boire je ramena deux gourde une que je donna à Maera et un que j'ouvris et bue quelque gorgée (de sangs) avant de la refermez je rangea la gourde et reviens me rasseoir je me servie une assiette et mangea car elle semblais gênée que j'ai préparer le dîner exprès pour elle.

Après avoir manger je me rallongea et me laissa bercer par le silence et par la compagnie de Maera comme elle me la fais comprendre je lui rechanta une chanson:
(- Broken)

I wanted you to know,
I love the way you laugh.
I wanna hold you high,
And steal your pain away.

I keep your photograph,
I know it serves me well.
I wanna hold you high,
And steal your pain.

'Cause I'm broken,
When I'm lonesome,
And I don't feel right,
When you're gone away.

You've gone away,
You don't feel me anymore.

The worst is over now and we can breathe again
I wanna hold you high, you steal my pain away
There's so much left to learn,
and no one left to fight.
I wanna hold you high and steal your pain.

'Cause I'm broken,
When I'm open.
And I don't feel like,
I am strong enough.

'Cause I'm broken,
When I'm lonesome.
And I don't feel right,
When you're gone away.

'Cause I'm broken,
When I'm open.
And I don't feel like,
I am strong enough.

'Cause I'm broken
when I'm lonesome
And I don't feel right
when you're gone away

'Cause I'm broken,
when I'm lonesome
And I don't feel right
When you're gone.

Tout en chantant je rythmais ces pulsation pour que la chanson est l'effet sur elle pour qu'elle s'ouvre et me dise se qu'elle sur le coeur je sentait que quelque chose avais était brisée en elle sa se voyais elle était comme moi une demie-âme cherchant sa jumelle avec qui elle pourra se mélanger et enfin brillais de mille feux,je voulais savoir se qui lui était arrivais:
"Alors dite moi comment vous êtes arrivez ici Milady". Tout en lui fessant un sourire charmeur

Alexiel sembla sursauter à son approche, ce ne fut pas pour autant que Maëra se recula. Justement une seconde plus tard, l’homme semblait s’être complètement détendu, tant et si bien qu’il était possible de se demander si le souvenir de ses membres crispés avait réellement existé.

La jeune fille regarda l’homme se levé et prit peur de ne jamais le voir revenir, ce fut donc pour son soulagement qu’il lui tendit une gourde. Le voyant également boire, elle gouta timidement au liquide, rassurée qu’il n’est que le goût de l’eau. Il alla ensuite se servir une assiette et sans qu’elle se soit précédemment sentie si troublée elle fut grandement rassurée en pensant qu’ainsi la nourriture était vraiment pure. Elle ne savait trop pourquoi mais tout d’un coup la crainte d’avoir été empoisonnée ou droguer l’avait accablée.

Puis il s’allongea de nouveau et ce fut avec plaisir qu’elle se laisse bercer une fois de plus par sa voix profonde.

La chanson, était magnifique. Maëra n’y comprenait rien, mais elle se sentait transportée, plus encore que lorsque les paroles lui avaient été familières. Elle se sentait entrée en symbiose avec cette musique aux accents étrangers : comme si son corps entier se réjouissait en ce reconnaissant dans chaque verset, comme si les mots parlaient à son âme déliant les chaines qu’elle avait créées en son esprit afin de se protéger. Comprenant enfin, ne se sentent plus seule, ces paroles étaient un cantique inspirante lui permettant d’affronter ses peurs, d’éveiller sans grand danger ses douleurs.

Bien sur, cela ne se fit pas sans larmes, ses joues ruisselantes brillaient, chaque facette des gouttes d’eau miroitant tel de minuscule diamants dans la pénombre. Le feu dans son flamboiement ajoutait à l’atmosphère de mystère et de souvenirs. Elle vivait un moment particulier.

… And steal your pain.
Pourquoi se mettait telle à pleurer? Elle ne comprenait rien à ce qu’il disait pourtant son corps s’harmonisait au rythme semblait vivre par lui. Rarement elle avait éprouvé une telle sensation; même lorsqu’elle jouait ces moments devenaient uniques. Elle était donc musicienne, elle s’en souvenait désormais.

… When you're gone away.
Comment était-elle arrivée à Wonderland? Était-ce une porte qu’elle avait poussée, un transport qu’elle avait emprunté? Non, c’était plutôt la mort qui l’y avait menée.

… You don't feel me anymore.
Qu’avait-elle oubliée, pourquoi, ses souvenirs semblaient-ils la déserter? Ça avait été trop à supporter, elle s’était emmurée dans le présent. Mais désormais elle pouvait faire la paix pour s’accepter totalement.

I wanna hold you high and steal your pain.
Elle était protégée, pourquoi devrait-elle craindre la vérité? Elle pouvait s’abandonner au passé.

… I am strong enough.
Oui, tout deux, pourquoi ne pourraient-ils pas surmonter? Elle ne se sentait pas mal de lui dévoiler ses faiblesses, ayant le profond sentiment qu’il saurait ainsi l’accepter.

… And I don't feel right,
When you're gone away.
Tout lui revenait à présent, le sang, la vie à ses pieds écoulée, la détresse, la pression qui nous fait tous un jour succomber. Avait-elle été le déclencheur, oui bien sur, on lui avait tant répété. Comment avait-elle été assez bête pour ne pas l’empêcher? Elle aurait du voir ce trouble arriver. Elle aurait du le retenir, lui faire savoir qu’elle était à ses côtés. Mais non, elle ne s’était concentrée que sur sa passion. Jamais plus elle n’ignorera les âmes troublés qu’elle rencontrerai, désormais elle tentera de les soutenir.

…when you're gone away
Tout avait tellement changé, plus rien n’était semblable. Il fallait pourtant se faire à cette vérité, l’accepter et vivre avec.

… And I don't feel right
When you're gone.
Elle souhaita se coller un peu plus sur lui, mais n’osa pas, c’était trop rapide, elle ne devait pas l’éloigner n’étant pas prête à se retrouver seule. Pour accepter tout ce qu’elle s’était remémoré, pour ne pas sombrer dans la déprime et suivre le chemin de son frère pour une deuxième fois. Elle avait le besoin vital de se sentir entourée. Elle le regarda donc seulement avec des yeux remplis de larmes, un cœur plein de détresse, mais une joie d’être à ses côtés.

Elle lui répondit alors d’une voix brisée par les sanglots.

- Vous ne me jugerez pas? Il semble que ce soit par la mort que je sois ici arrivée… les morts que j’ai causés…

Je finissais ma chanson quand Maera me regarda avec les larme pleins les yeux elle semblais effondrais et surtout elle avais peur sa se voyais comme si des moments de sa vie et de sont passer avais fais surface d'un coups et celas l'attristée elle voulais se rapprocher de moi mais elle avais peur de ma réaction peur de se sentir seul et rejeter comme si elle était un monstre et que moi j'était le pauvre villageois apeuré,la solitude je la connaissais si bien tout le temps que j'avais passer dans mon arbre en attendant le solstice du printemps pour me repentirs de mes pécher et des horreur que j'avais commis après la deuxième grande guerre j'ai peut me libérer de ma prison et à parcourue la Terre a la recherche de mon mentor et appris bien plus tard qu'il à était tuer à ma place pour m'avoir libérais je rejoins l’Europe ou la Camarillia avais élue domicile je m'engagea dans la maison Trémers et passa plus de 100 ans à lire des bouquin alors la solitude je la connais et je ne voulais pas qu'elle subie la même chose que moi je me leva et la prie dans mes bras pour la réconforter et pour lui faire comprendre qu'elle pouvais tout me dire je la réconforta du mieux que je peut je lui embrassa même le front pour qu'elle ressente un peut d'amour pour que surtout elle n'oublie pas de vivre.

Elle répondis à ma question que je lui avais poser tout à l'heur mais se fus avec une voix brisée et avec des sanglots qu'elle me parla:-"- Vous ne me jugerez pas? Il semble que ce soit par la mort que je sois ici arrivée… les morts que j’ai causés….

Celas je ne mie attendais pas mais comparée à moi se ne peut pas être trop grave je la serra plus dans mes brase et lui répondis sur un t'on plus doux et rassurant:-"Ne vous inquiter pas Milady je ne pourrais vous jugez car moi aussi j'ai commis des horreur que vous ne pourrais l'imaginez mais ne vous inquiéter pas je ne vais pas vous laisser tomber.Je lui caressa les cheveux pour la rassurer un peut.

Je ne pouvais la laisser dans cette état il fallait que je lui remonte un peut le moral mais comment faire je passa ma main derrière le dos et m’entailla le bras avec un de mes couteaux une idée me viens à l'esprit je me concentra pour crée une rose de sangs la chose se passa plutôt bien la plaie se referma aussitôt et tendit la rose à maera pour la consoler je me leva et chercha quelque chose dans mon sac je ne savais pas pourquoi mais je sentait qu'elle n'aimer pas quand je partait ainsi je revenais avec mon bouquin de poème et repris maera dans mes bras et chercha un poème pour la réconforter:

J’ai au fond de moi comme quelque chose,
Qui ose me rappeler que tu existes.
Oui, cette chose qui lourdement insiste,
Par de petites sensations sans pauses…

Je ferma le bouquin et attendit qu'elle prononce un mot pour continuer ou soit elle voudra que je la laisse un peut seul.

Lorsqu’Alexiel la prit dans ses bras, elle s’apaisa; étrangement, bien qu’elle le connaissait à peine, elle avait désiré ce moment ardemment. Peut-être était-ce ce charisme qui le caractérisait, ou encore son attention à son égard dont elle avait bien besoin, mais elle sentait un étrange lien qui les liait. Peut-être n’était-ce que son esprit, mais elle sentait qu’elle ne s’ennuierait pas même si ce moment s’éternisait. Les mots n’étaient plus nécessaire pour se faire comprendre, ils ne facilitaient que la découverte de l’autre Il lui embrassa également le front, par ce geste toute sa sollicitude, sa compréhension furent transmit. Alors que ses lèvres se posaient sur sa peau, elle leva le menton un peu pour mieux sentir son contact, doux et unique à la fois. Un goût de vivre, un geste qui n’était pas gratuit, qui parlait de lui-même, transmettant toute l’importance qu’il revêtait pour la jeune fille. Elle se sentit apprécier, sut qu’elle pouvait encore susciter la joie, être aimée. Alors l’intérêt en la vie la submergea, elle se sentit forte, elle se sentie écoutée et pu accepter que le pardon viendrait fort certainement si elle s’en laissait le temps.

Lorsqu’elle eut parlé de nouveau, lui révélant la façon dont elle était arrivée, elle craignit qu’il ne se lève pour partir. Son expression de surprise l’effraya mais rapidement ses paroles la rassurèrent. Ils se ressemblaient donc plus encore qu’elle ne l’avait cru, même leur passé avait une certaine similitude. Elle se sentit plus encore en confiance, ressentant qu’il pourrait mieux la comprendre.

Jamais elle ne cesserai de s’étonner de l’étrangeté entourant toute chose et toute personne en Wonderland. La violence, la douleur, les regrets semblaient tous les habiter. N’y existait-il aucune paix? Pourtant en cet instant son âme semblait aspirée vers celle-ci. La calme reprenant sa place en son être, elle retrouvait son bonheur habituel, heureuse de simplement être là, désirant vivre encore de merveilleux moments pleins de douceurs, de sentiments, d’amour et d’apprentissage.

Il lui caressait les cheveux, elle adorait cela et regardait les siens, noir et beau, elle pensa au contact qu’elle éprouverait si elle avait un jour la chance de les toucher.

Alors qu’elle s’attardait sur cette pensée elle ne le vit pas mettre ses bras derrière son dos. Pourtant la fleur qui lui tendit était d’une beauté qui lui coupa le souffle. Où avait-il pu trouvé un tel trésor, d’un rouge si vif que tout autre chose s’offrant à sa vie paraissait terne. Elle la porta à son nez, l’embrassa pour ensuite délicatement, la tenant entre ses doigts la poser sur son cœur. Ce présent ne pouvez pas tromper, quelque chose était en train de se passer. Une rose, symbole d’intensité, follement rouge encore plus significatif, elle ne pouvait suffisamment l’apprécier. Cherchant que dire afin de remercier l’homme qui pansait son cœur blessé, elle le vit se lever et s’éloigner.

Que se passait-il? Que devait-elle comprendre? Ses idées avaient-elles été à ce point erroné? C’était impossible, pourquoi lui aurait-il offert cette rose?
Il fouillait dans son sac, certainement allait-il bientôt revenir.
Allait-elle un jour cesser de se tourmenter, de s’inventer des scénarios pour simplement vivre le moment présent sans s’inquiéter de ce qui adviendra?
Le voyant revenir avec un livre, un vieux cahier de cuir noir, elle fut impatiente de voir ce qu’il préparait. Une surprise une fois de plus?

S’installant à ses côtés, elle se plaça de nouveau dans ses bras, confortable et rassurant, il semblait également apprécier.
Il ouvrit le livre et lui lu quatre vers écrit à la main.
La page ne semblait pas choisit au hasard. Son nom était indiqué. Au bas de la page, elle n’en fut que plus touchée.

Lorsqu’il eut refermé le bouquin, elle resta un instant réflexive, tournant dans sa tête les mots prononcés, en appréciant pleinement la profondeur et le sens. Elle n’était pas certaine de deviner toute l’importance que ces mots avaient pour lui, mais cela était sans importance, leur sens se passait de conscience. Les mots parlaient à son âme directement, lui faisait comprendre qu’elle n’était pas seule.

Il semblait hésiter à rester ou s’éloigner, alors Maëra lui prit la main, elle désirait par ce simple geste, tout ce qu’elle avait, le remercier de ce qu’il avait fait, lui faire savoir que c’était sincèrement apprécié. Lui transmettant ses sentiments par cette pression elle plongea son regard dans le sien.

- Merci pour tout vos gestes, ils m’ont redonnés goût à la vie
Il me plairait qu’il nous reste encore du temps cher ami
Demeurer à mes côtés bien quoi je ne sache que vous dire
Je me sens rassurée, dans vos bras c’est moins pire

Elle rougit un peu, ses mots étaient si naïf, mais elle ne les avaient pas penser, son cœur les avaient déclamés. Elle lui offrit le plus beau sourire qu’elle avait eut jusqu’à présent.

L’oreille collée sur sa poitrine elle voulut écouté la vie qui en lui battait, ce son elle l’avait toujours aimé. Cependant rien, le silence total. Que se passait-il, ce ne pouvait être vrai, était-ils réellement mort, attendant pour l’éternité au purgatoire ou alors en enfer?

La surprise terrifiée que son visage affichait se passait de mots.

Pendant la lecture je me sentais troubler je n'avais pas fais attention quand bas de la page se trouver mon nom et la date que j'avais écrie tout en attendant sa réaction j'avais peur quel ne comprenne la vérité je ne cherchais un moyen de pas quel découvre tout de suit ma véritable nature je ferma le livre et le plaça derrière je regardais le ciel par le trou dans le feuillage des arbres il ne savais aussi heureux depuis le temps de Alicia la pauvre se qui lui et arrivais était de sa faute il l'avais impliquer dans cette guerre indirectement et elle en avais fais les dommage collatéraux et pourtant il savais que tôt ou tard celas pouvais se produire et il avais manquais de vigilance et que la personne qui l'avais vue au village pendant qu'il allais cherchais des provision lui avais dit que des gens le cherchais et n'avais pas fais le rapprochement et le soir venue Alicia fus enlevais et tuer.

Je ne c'est pas combien de temps je m'était prie dans mes penser mais Maera était entrain de repenser à la poésie que je venais de lui lire elle leva les yeux sur moi et me parla avec une douceur si exquise que mes yeux se remplir de larme et d'un coup les lèvre de Maera rentraire en contacte avec les mienne elle avais un gout de miel se baissé était un pur moment de sentiment à l'égard de quelqu'un je releva la tête les joue de maera avais rougie et je semblais gêner je ne savais pas se qu'il m'avais prie je savais comment sa allais se passer elle aller partir mais à ma grande surprise elle ramena sa tête contre mon torse et me dit:

-Merci pour tout vos gestes, ils m’ont redonnés goût à la vie
Il me plairait qu’il nous reste encore du temps cher ami
Demeurer à mes côtés bien quoi je ne sache que vous dire
Je me sens rassurée, dans vos bras c’est moins pire

elle releva la tête et la je voyais sur son visage que quelque chose clochais je ne savais pas quoi je penser que le baissé lu avais plus mais sa na devais pas surement pas sa je cherchais la raison maera s'enleva de moi comme si j'était le diable compris alors pourquoi elle avais si peur, je baissa la tête comme signe de peur et de blessure je lui parla avec une voix brissée et avec des sanglot dans la voix:
"-Alors vous avez découvert qui je suis réellement je voie que cela doit vous dépasser mais sachet que je que j'ai fais dans le passer je le regrette et pour me racheter je suis ici recommençais une nouvelle vie et ne me jugez pas".

Je me tenez la tête entre mes main et laissa maera de décidais si oui ou non elle allais rester avec un meurtrier comme moi je me laissa gagnez pas la solitude et les tourments.

Alors qu’elle se tournait vers lui, plongeant son regard dans le sien elle le vit s’émouvoir au point de presqu’en pleurer. Elle se demandait ce qui lui arrivait et cherchait la façon de le lui demander lorsqu’il baissa la tête vers elle afin de l’embrasser. Ce baiser était simple, pur il lui semblait parfait, son tout premier. Il ne dura qu’à peine quelque secondes, mais elle en fut toute chamboulée. Cette bouche déjà repartie, elle la sentait toujours sur la sienne, d’une douceur fraiche, au mouvement maitrisé. Passant subtilement sa langue sur ses lèvres, elle goûta le goût légèrement amer qu’il y avait laissé, un goût de fer sucré qui lui plut, mais déjà il était passer, disparu. Seul le souvenir diaphane persistait, flottant dans son esprit confus alors qu’elle rougissait. Lui également paraissait gêner.

Cherchant ses mots, retrouvant le souffle qu’elle avait oublié par la surprise, elle posa sa tête sur son torse lui parlant avec son cœur, cherchant à entendre le sien.

Mais il y avait un problème, malgré son ouïe aiguisé, aucun son n’animait la poitrine de l’homme, un silence vide de vie.

Elle prit peur, s’éloignant un peu pour le regarder, elle avait l’impression d’entendre et de sentir son propre cœur battre dans sa poitrine, mais était-ce réel?

Elle le regardait implorante, plus terrifiée d’elle-même que de lui. En son esprit, elle ne rêvait que du moment où apprenant que ce n’était que ses oreilles lui jouant des tours, elle pourrait de nouveau avec lui s’enlacer. Elle prit conscience alors que depuis qu’elle s’était éloignée, il s’était prit la tête entre les mains, elle l’entendit souffler dans une voix brisée et emplit de tristesse :

"-Alors vous avez découvert qui je suis réellement. Je vois que cela doit vous dépasser mais sachez que ce que j'ai fais dans le passer, je le regrette. Et pour me racheter je suis ici afin de recommencer une nouvelle vie et ne me jugez pas".

Elle ne comprit pas le sens de ses paroles. Qui il était réellement? Mais étant dans le même lieu que lui elle devait l’être également. Elle le questionna donc, s’emportant dans ses doutes :

- Où sommes-nous? Est-ici l’enfer ou le purgatoire où nous fûmes envoyés? Aucun cœur ne bat en vous et je crains que le miens ne soit qu’un souvenir, que pure pensée. Ne suis-je pas morte? Qu’adviendra-t-il, que reste-t-il à vivre maintenant qu’on ne vit plus? Que…

Elle s’arrêta brusquement, elle parlait trop ne laissant pas le temps à l’autre de répondre. Si elle continuait, elle s’inventerait des millions de scénario et craindrait beaucoup plus que si elle attendait une réponse. S’il n’en savait rien, il le lui dirait et là seulement pourrait-elle anticiper.

L’invitant à la regarder à nouveau et afin d’a son tour l’apaiser elle ajouta d’un ton beaucoup plus calme, même susurré :

- Ne craignez rien. Peu importe la douleur et le passé que vous portez je ne vous jugerai pas. Apaiser vous, je sais que vous aspirez vers le meilleur, si je puis vous aider dans cette nouvelle vie j’ai l’impression qu’on pourrait tout deux se racheter.

Une fois de plus, elle avait retrouvé son optimisme. S’il l’avait aidé, elle y arriverait certainement aussi. Et qu’ils soient morts ou vivants n’étaient-ils pas simplement là, non? Peu importait alors les détails techniques, les réalités spirituelles, seul le présent importait et à l’instant elle voulait être heureuse. Ayant retrouvé son passé, ses sentiments redevenaient peu à peu aussi réel qu’avant, elle se sentait plus vivante encore que lorsqu’elle vivait chez ses parents. Elle lui sourit donc attendant de voir ce qu’il pensait de leur nouvelle existence en ce Wonderland.

La jeunes maera ne comprenant pas se que je voulais dire je me calma un peut ne voulant pas plus l'effrayer et leva la tête et chercha une cigarette dans mon pantalon et l’alluma je tira deux ou trois bouffés avant de me calmer totalement je regarda l'arbre ou elle était endormie plus tôt cela me rappela le jours ou j'était voir le druide pour qu'il puisse trouver à moyen de me libérais de l'emprise de cette malédiction, il me fis endurais tout un tas d'épreuves ou je sortis vivant à chaque fois et il me regarda dans les yeux et baisa la tête comme signe d'abandon je l'est supplier de m'aider je ne voulais plus faire de mal à qui que se soit je ne voulais plus tuer ou encore moi faire souffrir c'est alors qu'il trouva la solution à mon problème il m'enferma dans un arbre et que seul au moment du solstice du printemps que je pourrais sortir pendant 1 journée et qu'on lui offrira en tant que dieu une jeunes vierge pour calmer ma soif.

Je regarda à nouveau Maera en face et lui souris un peut elle me posa des questions sans que je n'est répondu à une seul au bout d'un moment elle en posa une dernière et me laissa répondre :

-Où sommes-nous? Est-ici l’enfer ou le purgatoire où nous fûmes envoyés? Aucun cœur ne bat en vous et je crains que le miens ne soit qu’un souvenir, que pure pensée. Ne suis-je pas morte? Qu’adviendra-t-il, que reste-t-il à vivre maintenant qu’on ne vit plus? Que…dit elle sur un ton effrayais.

"-Nous sommes dans le monde de Alice au pays des merveilles comme dans le livre ,non votre coeur Bat et pas le mien parseque je suis un vampires mon coeur ne bâteras plus car je suis mort il y a de sa 2500 ans je c'est que celas vous dépasse mais c'est que la vérité". En lui disant sur un ton gentil et sincère

Elle se rapprocha de moi et me consola comme je l'avais consoler tout à l'heur elle semblais ne pas avoir peur du tout on dirais qu'elle comprend ma souffrance et qu'elle veut la partager avec moi.

sachant ne plus quoi penser je me leva et marcha un peut en direction de l'arbre et pensa à tout les horreur que j'ai peut commise les famille que j'ai déchirer la jouissance que j'en tirais m'était insupportable j'essaya de me calmer et revient me placer à coter de maera elle semblais dans un état de gentillesse et d'amour je la serra dans mes bras comme si elle dépendais maintenant de moi et cette fois -ci l'embrassa plus lentement et plus longtemps comme si un lien magique et irréelle nous relier ne pouvant plus se passé de l'un de l'autre comme si il fallait que l'on reste ensemble je termina mon baiser et lui caressa les cheveux comme pour dire que je me suis calmer et que je lui porterais tout mon intention.

Alors qu’il l’écoutait s’emporter en posant ses questions, il lui souriait, peut-être un peu de ne pouvoir placer mot. Finalement, lorsqu’elle s’eut tu, il lui expliqua ce qu’il était réellement.

À ces mots, la jeune fille, eut un hoquet d’étonnement en écarquillant les yeux de surprise. Mais elle s’en voulut à l’instant, ses expressions devenant désarrois elle chercha à s’excuser, mélangeant un peu ses mots.

(Ce n’était pas la façon dont elle avait voulut réagir, pas ce qu’elle avait voulut dire, elle ne le jugeait pas, elle ignorait seulement que ça existait. Elle n’était pas effrayée, mais bien sur elle espérait qu’il n’était pas comme les créatures de légendes. De toute façon, il ne leur ressemblait pas vraiment si ce n’était de son cœur arrêté pour l’éternité. )

Le ton d’Alexiel était gentil et sincère, son sourire lumineux et plein d’affection comment Maëra aurait-elle pu être effrayée même si selon les mythes cette créature était diabolique et sanguinaire? Ce qui l’avait plus encore terrifiée que la révélation de la race à laquelle il appartenait fut ce qu’il avait dit précédemment. Ce Wonderland serait donc réellement le même que celui du conte d’Alice? Les contes n’étaient ils pas sensés être moins vrais encore que les légendes? Comment ce Lewis Carrol avait-il pu écrire sur un tel lieu? Cela signifiait-il qu’il était possible de le quitter comme d’y entrer? Et alors de quelle façon fallait-il s’y prendre?

La jeune fille cessa de parcourir le labyrinthe de ses pensées où chaque nouvelle idée amenait une différente proposition. De toute façon elle n’avait aucune envie pour l’instant de partir de cet endroit qu’elle commençait à peine à découvrir. Que lui restait-il dans son ancienne réalité, fort probablement rien; alors mieux valait s’adapter à cette existence et faire de cette étrange contrée son nouveau chez soi.

Il ne lui restait plus qu’à continuer de le traiter comme elle l’aurait fait en tant que simple humaine sur terre avec un jeune homme gentil lui plaisant bien. S’approchant de nouveau, sans aucune hésitation grâce à quelques petits pas dansants, elle chercha à le réconforter, mieux qu’elle l’avait malhabilement tenté juste avant.

Lorsqu’il s’éloigna un peu lui tournant dos en faisant face à l’arbre où elle s’était trouvé, elle était si heureuse et apaisée qu’elle ne s’en fit même pas, persuadée qu’il lui reviendrait bien assez tôt. De fait, il se retourna après avoir longuement semblé ‘inspirer’ pour se calmer quoi qu’elle n’ait pas vu ses épaules bouger, pour venir la prendre dans ses bras. Le regard tout d’abord plongé dans celui de l’autre, ils s’embrassèrent, cette fois ci sans surprise, leurs lèvres délibérément demeurèrent fusionnées un long moment, connecté. Rien ne semblait pourvoir les séparer, le temps parut s’arrêter, ce baiser était encore plus parfait, encore plus significatif que le précédent. Tel un pacte entre les deux convenus, un signe de leur dévotion, de leur affection qui pourrait devenir bien plus encore s’ils s’en laissaient la chance.

Lorsqu’ils se séparèrent presqu’à regret une expression euphorique sur le visage, Maëra lui sourit alors qu’il toucha une fois de plus ses cheveux. Avoir été un chat, elle aurait ronronnée de joie.

Puis après qu’il eut laissé retomber sa main, dans un sourire complice elle se retourna et fit quelques pas allant reprendre ses biens restés dans le creux de l’arbre. Elle s’aventura ensuite entre les arbres, marchant suivant son instinct alors que la nuit atteignait son apogée et était sur le point de s’éclairer, elle s’éloigna du feu espérant qu’il la suivrait.

Pas besoin de le lui signifier en mot, elle était certaine qu'il comprendrait.

Je ne savais pas que un baisser pouvais tout chambouler comme sa , après que nos bouche se soit séparais je lui caressa les cheveux elle se cola un peut plus sur moi comme pour me dire de continuer je la regardais elle était vraiment très jolie je laissa tomber ma mains dans son dos et elle en profita pour se lever elle se dirigea vers c'est affaire j'en profiter pour ranger les miens je ne la perdais pas du regard car elle s’éloigna de plus en plus comme si elle voulais partir dans la forêt en pleine nuit je ranger donc mes affaires et me dépêcha de la rejoindre je garder mon katana dans ma main je ne fessais pas confiance en cette forêt elle avais un coter rassurant mais il n'était pas conseilliez de se séparais sinon on et sur de ne plus se retrouver il fessais noir et on n'y voyais pas à deux mètres on avais rien pour nous éclairé je chercha un gros et long bout de bois et je me servie de mon pourvoir pour allumer la torche c'était mieux je ne me sentais pas en sécurité et j'avais peur pour Maera je ne voulais pas qu'elle se blesse ou se fasse attaquer alors sans sont accord j'utilisa un pouvoir de l'ombre sur elle pour la rendre invisible au yeux de tous sauf de moi.

En utilisant c'est deux pouvoirs se sentait que je n'allais pas tardé à rentrés en frénésie à cause du manque de sang je sortie ma gourde et la vida,cette forêt me rappela la forêt des esprit au japon durant l'aire féodale c'était une forêt mystérieuse ou tout le monde refusais d'entrais de peur de fâcher les Naga c'est créature qui on la moitié du corps d'un homme ou d'une femme et l'autre moitié celle d'un serpent je me souvient que en les combattants sur l’ordre de l’Empereur j'ai bien faillis mourir une deuxième fois car il sont rapide et agiles même pour moi sa était dur un humain n'aurais pas tenue 2 minute mais j'ai quand même réussie à les vaincre et l’empereur me donna en échange un Katana qui appartenais à lui.

La nuit semblais calme et aucun bruit ne venais troubler le silence qu'il régnais et la fraîcheur s'installa il devais être pas loin de minuit quand nous débouchons sur une petite clairière je regarda Maera elle semblais épuiser je lui proposa de prendre 10 minute de pause le temps qu'elle souffle je voyais aussi qu'elle avais froid je lui donna ma veste car je ne craigniez pas le froid en attendant que maera se repose j’inspectais les alentours pour qu'il n'y est aucun danger un léger bruit de grincement de feuille se fessais entendre pas loin je ne le jugea pas menacent mais je me trompa encore une fois j'avais baissais ma garde et cela allais peut être me coutre chère.

Le bruit se rapprochais de plus en plus vite et avant que je n'est eu le temps de faire quoique se soit la créature se jeta sur moi et me plaqua au sol je n'en croyais pas mais yeux je ne pouvais le croire pourtant si c'était bien se que je penser un Naga était belle et bien la.

La créature me souleva du sol avec faciliter et m'envoya voler à l'autre bout de la clairière je me releva avec peine et me préparera à me battre la créature fonça sur moi à une vitesse que j'ai eu à peine le temps de l'esquiver je courue vers le centre de la clairière, la créature avec sa queue faillis me faire perdre l'équilibre,le Naga sortie un cimeterre et fonça sur moi mais cette fois-ci je n'allais pas me faire avoir je dégaina mon Katana et para sont attaque et avec la rapidité d'un faucon je lui blessa sont bras gauche la créature poussa un crie et avec sa queue elle me frappa sur mon bras le choc fut elle qu'elle réussie à envoyer mon arme vers maera je ne savais plus quoi faire alors il était temps pour moi de me montrais sous mon vrais visage.

Je sortie un couteau et m’entailla le bras de haut en bas du sang gicla mais avec mon autre mains je le manipula pour qu'il se forme en épée une fois l'épée sortis je regarda la créature c'est alors que je rentra en frénésie je me jeta sur le naga et me bâtis avec rage mais il ne se laisser pas faire alors avec le reste de mon sangs invoqua invoqua une colonne de feux et la créature poussa une crie mais pas un crie disant qu'elle allée mourir mais plutôt de quelqu'un qui avais peur et oui le sort que je venais de jetais était le sort de feux le plus puissant c'était le sort "Nigthmare" le feux des cauchemars la créature mourus au bout de quelque minute je m'approcha de lui et avec ma soif lui vida le sang et après m'évanouis avant de fermé les yeux je regarda maera et tomba dans les pommes.

Alors qu’elle marchait, son cœur bondissait de joie pendant qu’Alexiel la suivait. Elle ne pouvait plus rester en place, le bonheur l’incitait à agir, à bouger, voilà pourquoi dans la forêt, de son pas léger, elle s’était aventurée.

Toujours derrière elle, son regard, la poursuivait. Maëra l’entendit farfouiller dans son sac et boire dans sa gourde, mais elle ne s’arrête pas pour autant, elle était exaltée d’ainsi sentir son contrôle qu’elle avait regagné sur sa vie et ce qu’elle en faisait.

Soudainement un bruit sembla s’approcher et un montre hideux sortit des arbres, se déplaçant sur sa queue de serpent. Elle voulut crier, mais aucun son ne sortit, elle était figée, observant la scène, ayant l’impression de ne pas en faire partie, le désir de ne pas y participer.

Elle vit avec crainte Alexiel attaquer et peiner dans son combat où il risquait sa vie. Elle resta silencieuse pour ne pas le déconcentrer, mais son cœur était déchiré par la peur de le perdre.

Le combat se poursuivit, la terrifia par les moyens qu’il employa, mais elle comprenait qu’il n’avait pas d’autres façon de les protéger. Silencieusement suppliante, elle adressait ses prières pour qu'il soit protégé.

Maëra ne lâcha l’épée, qu’elle avait agrippée, des que sa course s’était terminée devant elle. Enfin, la créature venait de pousser son dernier souffle et aucun bruit ne lui laissait présager le moindre nouveau danger.

Qu’était –il arrivé à Alexiel qu’elle avait vu plonger sur la bête agonisante? Elle ne percevait de lui aucun mouvement, aucun son, ni même organiques, quoi que pour ses dernier elle ne s’inquiéta pas.
Il s’était évanouit, maintenant inconscient sur le sol, elle se devait de l’aider. Lui qui avait si vaillamment protégé sa vie alors qu’il aurait probablement pu fuir, il était désormais dans le besoin et elle seule le savait. S’approchant précautionneusement, elle tenta de voir s’il lui était possible de le déplacer puisqu’il était inconcevable de rester en ce lieu si dangereux.

Il lui fallait leur trouver un abri, ici en pleine forêt sombre; la jeune fille regarda tout autour effarée. Tendant l’oreille, elle perçu un petit bruit d’eau amplifié par l’écho des rochers. Elle ne souvint cependant pas l’avoir entendu lorsqu’elle s’inquiétait de voir un autre démon arriver.

Osant laisser son sauveur un instant, sa pour autant le quitter du regard, elle se dirigea vers ce rassurant clapotis. À peine quelques mètres dépassé le couvert des arbres denses, peut-être une trentaine, elle vit l’entrée d’une grotte d’où ne provenait aucun autre bruit que celui de l’eau.
Retournant en vitesse au coté d’Alexiel qui n’avait pas bougé, elle décida de l’y amener.

Passant la veste dont elle était encore vêtue sous on dos, elle la lui noua fermement sur le torse, ramenant les manches sur chaque bras. Agrippant ses poignets en s’assurant que la manche était bien tendue pour que l’étirement ne se fasse pas que dans les épaules, elle entreprit de le tirer. Maëra faisait bien attention à la tête de l’homme étendu, allant même à faire de plus petits pas afin de la soutenir sur ses pieds, en alternance.

Elle dut s’arrêter plusieurs fois pour reprendre son souffle et laisser le temps à son organisme de produire de la nouvelle salive. Elle n’abandonna toutefois pas, et n’en eut pas même l’idée jusqu’à ce que dans la grotte ils furent réfugiés. L’adrénaline animant son corps, se fut tant bien que mal qu’à l’abri elle les avait menés.

Se retrouvant tout deux en sécurité, elle put observer un peu l’environnement qui les entourait. La roche y était solide, d’une teinte foncé et aux parois lissées. Il n’y voyait pas à deux mètres devant elle, mais entendait toujours la source d’eau qu’elle décida d’aller voir après avoir confortablement placé Alexiel et avoir récupéré tous leurs biens. Elle se désaltéra de l’eau pure. À cause de l’effort donné celle-ci brula sa gorge, lui tirant un petit cri, plus une plainte de douleur. Enlevant son foulard de ses cheveux elle le mouilla afin de rafraichir son ami. Dépassé le petit ruisseau, la grotte semblait se poursuivre mais elle n’en percevait rien; ni lumière, ni bruit, ni présence. Le sol était en légère pente mais presque pas encombré; quelques roches ici et là, mais le lieu semblait entretenu. Contente de sa trouvaille, elle revint une fois de plus, tenter de faire boire un peu d’eau à Alexiel, sans grand succès.

Une fois rassurée dans la petite cavité sombre, assise au sol, l’adolescente éreintée posa la tête de son compagnon sur ses cuisses, passant tendrement et distraitement la main dans ses cheveux après avoir posé un léger baiser sur ses lèvres et son front.

Ses quelques larmes tombaient sur lui, mais elle ne s’en aperçût pas cherchant que faire à présent.
Bien sur, elle avait vu ce qu’il avait fait, en partie, lorsqu’elle n’avait pas fermé les yeux de peur et d’horreur, pas de ce qu’il faisait, mais à cause de l’immonde créature. Témoin de sa rage, de sa soif, elle se doutait bien qu’il serait affamé lorsqu’il se réveillerait. Mais que pouvait-elle bien faire? Elle était sans ressources et se trouvait incapable de l’abandonner. Seule, avec sa petite dague, à son père dérobée, dont elle savait à peine se servir, elle n’arriverait probablement à rien. Si elle tentait de trouver une créature afin de nourrir ce vampire, elle deviendrait fort probablement le repas de celle-ci.
Mais restant avec lui pour attendre son réveil ne risquait-elle pas de devenir le sien?

Maëra ne doutait pas de ses sentiments à son égard, mais connaissait la force de l’instinct. Elle avait déjà au moins une fois causé la mort à cause de ces actes incontrôlable, celle d’une des personnes qu’elle appréciait le plus alors, de quoi Alexiel serait-il capable?

Immobile, elle se demandait quoi faire, incapable de trouver une solution.

Éprouvant le contact de sa peau, épuisée par les pleurs, le stress retombé, sa tête ballota et s’affaissa. Juste avant elle fredonnait une douce chanson de ne pas voir son cœur brisé par ce qui arriverai. Sa respiration s’adoucit puis elle sombra dans les songes devenant silencieuse.

Après avoir vaincu le naga je m'évanouis le combat m'avais épuisée et le manque de sangs dans mon corps était extrêmement critique et le fais d'avoir vidée tout le sang du corps du naga en oubliant de laisser la dernière goûte qui pourrais me tuer une lutte commença pour savoir si j'allais vivre ou mourir je sentit quand même mon corps bouger maera devais surement me mettre à l’abris et je devais pesais lourd car elle s’arrêta plusieurs fois au bout de 5 minutes elle s’arrêta et je sentit la vie s'échapper de mon corps et le un brouillard blanc apparue devant moi une silhouette se dessina je m’avança et la silhouette devient plus nette et plus claire la personne devant moi était en faite le druide qui m'avais enfermais dans l'arbre quesqui fessais la et pourquoi il se tenais devant esque j'allais mourir ou alors esque j'allais passée une épreuves pour savoir oui ou non j'allais mourir ou pas mais se qui se produisis derrière le druide un paysage se dessina je ne le reconnue pas tout de suite mais il me laissa passer.

Je passa à coter du druide et il me regarda comme si il voulais me dire quelque chose je m’approcha de l'arche et au moment entendit quelqu'un qui cria mon nom je me retourna et vis Maera la peur prie place sur mon visage quesqu'elle fessais ici était elle morte je pensais que mon sort devais la protégeais ou alors c'est du au effort qu'elle à fais je ne pouvais pas le savoir, elle arriva à ma hauteur et la prie dans mes bras et lui prie la main le druide me fessais signe de la laisser et de continuer mon chemin mais je lui fis comprendre que je ne la laisserais pas toute seul et qu'elle venais avec moi, au bout d'un moment le druide céda et maera et moi passion l'arche.

Dès que avions franchie l'arche le décor apparus je le reconnue c'était la ou nous habitions avec Alicia il fessais jour il devais être pas plus de 12h00 je chercha dans ma mémoire ou j'était à cette heur si je chercha pendant un moment et puis regarda maera et compris alors ou il était à se moment la de la journée il était en ville pour les commissions je prie maera par la main et commença à courir vers la direction du village et après 5 minute de course le village était en vue en entrant dans le village des gens était entrain de vaquer à leur occupation et ne fessais pas attention à nous je me rapprocha de la boutique ou mon deuxième moi fessais c'est commission je l'aperçus sa me fessais drôle de me voir.

Il termina ces courses et il se dirigea dans une ruelle je savais qui il allais voir c'était un vampire qui lui donnais des infos contre du sang il lui raconta que les vampires du sabbat était à ces trousses et que il devais être vigilant et que il seront surement la demain ou dans quelque jours, mon double partis chez lui avec ces provision je commença à le suivre quand j’aperçus une personne que je connaissais non sa pouvais pas être lui je croyais qu'il était mort "Sylvius" mon mentor était donc la mais quesqui fessais ici, il alla voir mon informateur et lui parla et lui donna quelque chose et partis.

j'essaya de la suivre mais vue que c'était un souvenir je devais suivre mon double la journée se passa et le soir venue je compris que c'était la que j'allais perdre ma femme je tenais maera contre moi pour la protéger de ceux qu'elle allée voir des homme cagoulé entra dans la maison et la scène se répéta sous mes yeux des larmes commencé à couler un des hommes perdis sa cagoule durant la bataille et je vie l'informateur non se n'étais pas possible pas lui un autre homme enleva sa cagoule et la des larmes et me corps se mie à trembler en voyant que mon mentor avais contribuer à l'attaque et à l'assassina de ma femme. le décor s' effaça et maera et moi vue envoyer hors de l'arche et se retrouva devant le druide et celui-ci prie la parole:

"-Alors a tu compris le sens de se souvenir mon chère Alexiel et quand à tu déduis."

je me releva mais je me sentais anéantis sur ceux qui venais de se passer mon ami et mon mentor avais tuer ma femme mais pourquoi je ne le savais pas je regarda le druide et lui répondit:

"-Je vois à présent ou sa ma menais cette guerre entre vampires j'ai choisi de vivre avec une mortel et elle en à payer le prix mais cette erreurs je l'avais bien compris mais je ne savais pas qui l'avais organiser mais maintenant j'ai trouver la femme avec qui je voudrais vivre et passer sa vie à coter d'elle et me tenir loin de la cruauté de l'homme". tout en me retournant ver maera je la pries dans mes bras et l'embrassa.

Du mouvement, un clapotis, un bruit tira Maëra de sa rêverie. Alors qu’elle repoussait les brumes du sommeil, elle tenta de clairement percevoir ce qu’il arrivait sur sa gauche, là d’où provenaient les étranges sons. Ouvrant les yeux, elle dut attendre un instant avant de percevoir les formes dans la noirceur; elle se trouvait toujours dans la grotte et baissant les yeux elle vit Alexiel la tête encore posée sur ses jambes. Cependant, la vie semblait avoir réanimé ses traits quoi qu’il demeurait encore inconscient.

Elle scrutait attentivement dans la direction du petit ruisseau où elle s’était précédemment abreuvée mais rien n’était encore visible. Pourtant les sons provenaient indéniablement de là… à moins qu’ils ne soient partout tout autour, maitres en ce lieu maudit. Un sentiment d’irréalité l’habitait, que se préparait-il, un événement d’importance, elle le sentait.

Alors elle sursauta la tête d’Alexiel ayant bougée. Enfin il était réveillé, ce qu’elle était heureuse de le voir. Heureuse de savoir qu’il serait à ses côtés peu importe ce qu’il adviendrait, elle sentit les forces en elle augmenter; il était maintenant à son tour de les protéger. Fouillant d’une main dans son sac afin de récupérer sa dague tout en fixant scrupuleusement le petit ruisseau, elle vit enfin sortir du rideau d’invisible séparent les deux côté du cours d’eau un personnage grand mais indéfinissable. Les vêtements de celui-ci semblait se fondre dans les ténèbres, mouvants, ils ne cessaient de bouger, bien que l’homme - s’il en était bien un - semblait immobile à l’observer.
Mystifiée, subjuguée elle se leva, prenant la main d’Alexiel, elle se rendit à coté de l’ombre.

Cette dernière enjamba le ruisseau, Maëra sur ses pas. La noirceur était épaisse comme de nombreux voiles, un liquide chaud mais sec les englobait, ils avançaient lentement, avec difficultés, mais aucune autre option n’était envisageable, il fallait aller de l’avant toujours et encore.
La lumière les éblouit lorsqu’ils parvinrent de nouveau dans un lieu naturel. S’habituant a la grande luminosité la jeune fille reconnue son ancienne demeure. Les hauts murs de pierre, le jardin de roses de sa mère, les chevaux dans l’écurie, tout ce qu’elle avait, pas si longtemps auparavant connu. Pourtant d’y revenir aujourd’hui donnait l’impression que cette réalité ayant été la sienne pendant seize années n’était plus qu’un rêve, un souvenir presque oublié. Alors qu’elle voulait tourner sur ses pas afin de faire face à sa nouvelle vie, l’homme de volutes la retint, l’incitant à avancer encore. La porte s’ouvrant elle pénétra dans la maison où elle n’avait plus besoin de la vue pour se déplacer.

Alors un petit frottement se fit entendre, des cordes tremblaient au contact du crin. Les notes glissaient sur l’air, venait jusqu’à elle, l’envoûtaient, l’attiraient, l’obligeant à faire face et à accepter son passé; à une fois de plus le vivre.

Cette mélodie si familière, elle la connaissait, si bien, dans une autre vie… quels souvenirs évoquaient-elle, ceux qu’elle avait peur de regarder, ceux que la chanson de son cavalier avait suscités, oui. Cette mélodie était le toute première l’ayant entièrement habitée, celle l’ayant mené à sa perte, ayant emprisonné son être. Pénétrant dans la pièce elle y vit son frère, plus blanc encore que la dernière fois qu’elle l’avait aperçut; sans peau contrastait alors tellement avec le rouge de son sang qui autour de lui avait glissé. S’étant répandu en lente vague alors que la vie le quittait, que sa sœur jouait, que leur futur se tramait.

Les yeux de la jeune fille devenus fontaines, ses vêtements bassins, elle laissa libre court à toute la douleur qui depuis ce jour elle portait s’écroulant au sol. Les rôles étaient inversés, elle était la désespéré étendue aux pieds de la personne lui ressemblant tant.

Sa voix entrecoupée de lourds sanglots, ses mains jointes, comme liées, elle s’adressa fervement à son frère maintenant devant elle.

-Par… don… Ex…cu…se…moi…Je…n’…ai…pas…vou…lu…ton…tord! Pour…quoi…n’es…tu…plus…là? J’a…vais…be…soin…de…toi…co…mme…toi…de…moi. Reviens… Je… t’en…prie
Où…es…tu…par…tis…Tu…m’as…a…ban…don…née…à…ma…cul…pa…bi…li…té…. Responsable….de…ce …qui…t’était…a…rivé.

Eirlys posait sur elle un regard rempli d’amour; la tristesse de la voir ainsi souffrir et se torturer paraissait dans les traits de son visage. Tendant son bras blanc, sa main telle une feuille, pratiquement immatérielle glissa sur la joue de Maëra, essuyant ses larmes puis se posa sur son épaule, se voulant rassurante.

Maëra son regard toujours plein de culpabilité observa son frère perdu. Elle voulut lui sauter au cou et l’étreindre. Son contact était semblable à l’idée qu’elle se faisait d’enlacer de la fumée ou de la brume, elle se recula donc un peu, hésitante. Il n’était pas réellement là; mais ses sentiments semblaient si vrais, ses expressions si humaines et profondes, cela la rassurait.

Silencieusement, il l’apaisa

« Cesse de chercher à vivre pour moi. J’ai choisit mon destin, a toi de créer le tien. N’abandonne pas ta joie, je n’ai pas voulu te la voler, reste celle que tu étais, grandis par ce que tu apprendras, pas ce que tu ne comprends pas. Fais ça pour moi.
Fais le pour toi. »

Au moins ne souffrait-il plus, n’avait-il plus à supporter l’enfer qu’il nommait à sa vie. Eirlys lui en semblait reconnaissant, de lui avoir donné le courage, de ne pas l’avoir jugé sans lui en tenir rancune. Mais il n’était désormais plus à elle de porter le poids de sa mort sur ses épaules. De mourir un peu plus chaque jours pour eux deux. Elle n’y était pour rien, l’ayant à peine aidé; c’était seul qu’il avait décidé.

Comme elle l’était désormais, il avait alors décidé de devenir maitre de sa vie. Choisissant sa destinée, ce fut par l’épée - avant de ne plus reconnaitre celui qu’il devait devenir par les pressions grandissantes- qu’il y avait mit fin. Désormais il avait retrouvé le bonheur. L’unique tristesse qui le retenait d’atteindre l’idéal était les regrets de sa sœur. Son unique désir inexaucé était le bonheur de celle-ci, la liberté de s’accomplir, en vivant sa passion, en goûtant pleinement à ce qui s’offrirait. Sa vie ne reviendrait plus, mais elle au moins pouvait-elle continuer à avancer, pour deux puis pour elle seule lorsqu’elle serait prête à en paix le laisser reposer.

Convaincu qu’elle avait comprit, il s’évapora dans un blanc nuage de cendre alors que le lieu semblait trembler, perdre ses couleurs, se briser, disparaitre. Une fois de plus dans l’obscurité totale elle se trouva, un poids sur les jambes.

Ouvrant les yeux elle reconnut la grotte et grâce à la faible lumière de l’aurore, vit Alexiel qui semblait réellement reprendre vie.

Quels étranges rêves; deux univers, deux passés révolus… Regardant vers l’extérieur, elle vit la forêt, prête à s’animer et pensa aux possibles qui les attendaient. Elle s’en réjouit.

Se levant doucement, elle prit tendrement l’étui noir dans ses bras et en sortit son instrument. S’installant à l’entrée de la grotte, regardant le paysage extérieur, elle joua de nouveau. Depuis longtemps la toute première fois pour le simple plaisir d’entendre le son de son violon.

[Avez vous trouvez les deux chansons cachées? Retournez voir, ou plutôt écouter]

En quête, retrouver le temps (Pv Alexiel)

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