1833 une belle nuit de printemps~ Des cris stridents déchirèrent la quiétude du manoir des Cheesmann. Des bruit de pas, anxieux martelant le parquet accoururent jusqu'à la provenance de ce boucan, encore un autre cri mais pas de la même bouche. Edmond Cheesman continuer de courir, parcourant comme un dément les aller si faste de sa demeure. Puis le silence, Edmond arriva a destination. Sa femme avait arrêter de crier mais cela n'avait pas d'importance, son regard était fixée sur le nourrisson que nettoyer la sage femme. C'était une fille, une belle petite fille en pleine santé, si belle comme sa mère. De son œil une larme s'échappa, une larme de bonheur cet enfant était le fruit de leur amour. Puis il releva la tête voulant partager cet émotion, mais ce qu'ils trouva sur le visage de ses domestiques ne pouvait que le troubler.

Puis il tourna sa tête, ce qu'il vit aspira toute son énergie, le néant voilà ce qu'il ressentait, suivit d'une douleur intense. Tremblant il s'approcha du lit, enlaça sa femme et hurla a son tour. Elle était morte.

1838 par un beau soir enneiger~ La petite Ambre maintenant âgée de 5 ans, appuyer à la fenêtre, contempler avec curiosité cette chose blanche et froide que l'on appeler neige. Quand son père, le si beau Edmond vins la chercher pour quelle puise se blottir contre lui au prés de la cheminer. Tout en caressant les beaux cheveux de sa si jeune fille, il lui énuméra une de ses nombreuses comptines qu'adorée l'enfant. Puis gentiment il la mit au lit, puis déposa un grand paquet a coté d'elle. Elle ne s'en rendit nullement compte car celle-ci avait déjà rejoint les bras de Morphée.

Deux heures plus tard~Ambre avait du mal a respirer, et il faisait si chaud, enlevant sa couverture, elle se réveilla. Alerter par le bruit d'un objet lourd tombant sur le sol. Un cadeau! Toute heureuse elle s'empressa de le déballer. C'était une poupée, enfin pas n'importe qu'elle poupée, une en porcelaine de création française. La faisant virevolter autour d'elle, puis la serrant très fort. Elle enfila ses beaux patin, puis couru pour embrasser son père. Elle n'en eu pas l'occasion, des flammes gigantesque lui barrait la route elle pleura, au fond de l'aller se trouver la chambre de son père.

1843 Une journée d'été pluvieuse~Ambre, s'était remise depuis bien des années de la mort de son père, a présent seule au monde et sans aucune famille. Des amis de son père, lavaient placée dans un prestigieux pensionna pour former les jeunes filles de bonne famille. Triste et isoler elle n'avait pour seul compagnie, sa poupée qu'elle ne quittait pour rien au monde, le dernier souvenir de son père...Les autres filles convoiter cette poupée si parfaite si bien que par pur jalousie et méchanceté, elles prirent soin de bousculer violemment Ambre dans les escalier. Ambre n'eut aucun dommage physique mais son cœur par contre était brisé, aussi brisé et émietter que l'était sa poupée. Son corps trembla, ses iris se contractèrent et ses main ensanglantées se refermèrent son les morceau de sa poupée. Elle était seule contre trois pestes, mais était muer d'une telle rage qu'elle parvins à avoir le dessus.

1850 une simple journée ensoleillé~Cela fessait 3 ans qu'elle était sortie de l'asile, mais ressassait tout de même sans cesse ce qu'elle avait commis dans le passionna. Il paraitrait que ces trois filles était encore en vie, mais dans un état entre la vie et la mort, deux dans le comma, et une sur un fauteuil roulant. Elle désirait vraiment s'excuser de les avoirs ainsi torturer, mais elle était aussi consciente du fait qu'on ne lui pardonnerais pas si facilement. Elle essaya tout de même.

1852 Le dernier printemps~Enfin sa demande fut favorable, après deux ans d'attente et d'acharnement, une des deux filles lui accorda une visite ce soir dans sa demeure. Ambre était si heureuse, enfin tout n'était pas jouer mais une lueur d'espoir grandit en elle.

23h53 Manoir des Bridgestone~Personne à l'entrer, cela est étrange, pour une famille de prestige comme eux pensa Ambre. Frappant plusieurs fois, elle ne perçus que d'échos qu'elle produisait. Puis se rendit compte que la porte était laisser ouvert. Elle entra, se dirigeant au salon comme le demander la lettre. Elle s'arrêta, figeait d'effrois. Devant elle ce trouver une des trois filles, maigre il lui manquait un œil recouvert d'un bandage, une partie de ses cheveux ne poussait plus, ses jambes étaient paralysée. Étant en fauteuil roulant ce fus un majordome qui avança le fauteuil:
"- Bienvenue à toi jeune héritière des Cheesmann, je vois que tu est en bonne santé.
Les mots de Ambre restèrent bloqué dans sa gorge, et un air de dégout plana sur le visage de la jeune Bridgestone.
- Voit ce que tu as fait, petite timbrer, regarde ce qui est advenu de moi, la seul survivante! Quoi? tu ne sais donc pas...Les deux autres sont mortes! Ah et tu voulais t'excuser hein? Mais regarde ce que tu as fait tu as brisée trois vie. Cela est impardonnable maintenant c'est a toi de payer!"
Son regard s'arrêta sur son majordome qui lui répondit par un simple hochement de tête. Autour de Ambre se dessina un cercle, lumineux et le majordome sauta sur moi, elle ne pu bouger le cercle l'en empêcher.
Puis le noir, enfin pas tout à fait le majordome tomber avec moi. Il me souri dévoilant des dents acérer:
"En vertus du pacte passé avec le membre le plus jeune de la famille Bridgestone, je doit vous envoyer dans un monde de cauchemars et de ténèbres pour l'éternité" Puis il disparut me laissant seul dans ce monde inconnue.