Le soleil d’un jour d’été, le ventilateur qui tourne doucement, les gouttes de sueur qui dessinent sans pudeur vos courbes alors que vous dormez, le pays des songes souffler par le vent chaud qui s’engouffre doucement dans votre fenêtre grande ouverte, c’st une journée comme cela qui commençait tranquillement. La demoiselle dont les cheveux parcourait son corps, seule vêtement de ses nuits ardentes, ouvrit les yeux doucement. Dans un geste désinvolte elle lança un regard sur les cieux et retomba les bras en croix sur son lit dans un soupire intense. Que faire?

La journée était belle, mais elle n’avait pas envie de flâner, ni de rêvasser sur la terrasse d’un café devant une glace, vous voyez ces grandes glaces pleins de saveur qui prennent des heures à la dégustation pour finalement vous frigorifier la langue. Il lui fallait une activité qui sorte de cette monotonie journalière. Les idées ne se bousculaient pas, que ce soir lors du déjeuner ou dans la douche. Les première apparurent sur le choix de la tenure, étrangement le short court en jeans un peu trop grand et la chemise à carreaux avec un débardeur blanc étaient de sortie en ce jour de grande canicule. Ainsi vêtue et fin prête, elle prit un simple sac sur le dos et passa la porte de chez elle. Jolie maison de campagne, quelque minutes de marches pour arriver en ville, et ce fut le drame.

Momoe tourna la tête pour regarder deux papillons qui jouaient les amoureux, en virevoltant autour d’elle comme une comédie musicale bon marché, elle sourit et se prit un papier qui l’aveugla, elle allait pour le bruler mais elle y jeta un œil, il parler vaguement de cirque et spectacle inoubliable alors c’était décidé. En route pour le cirque! La douce enfant toujours aussi souriante et heureuse marcha en suivant son instinct, qui ne la trompe presque jamais pour trouver le dit chapiteau des merveilles.

Au si rapide qu’une flèche elle comprit qu’il y avait un problème dans l’enceinte du cirque, à croire qu’elle les attirent, m’enfin, en moins de temps qu’ile n faut pour le dire ou le comprendre, elle prit connaissance de la situation et partie aussi à la poursuite, de ce « Monstre » après quelques directives au autres, il venait de se jouer de tout les gardes, dans un sens il était plutôt rusé, alors prudence et stratégie, depuis le temps, elle connaissait ses mots sans mal. Alors qu’elle le vit sur la colline, elle aperçut une enfant, tout mais pas cela, pauvre enfant, il sembla avoir peur et la poussa d’un coup de griffe maladroit, et elle roula sur toute la longueur de la pente, se prenant une pierre dans le dos qui la fit rebondir, elle avait mourir. Momoe sauta et la rattrapa, se réceptionnant difficilement, elle se blessa même au bras c’est pour vous dire, elle pouvait voir que l’enfant n’avait que des égratignures minime. Un long soupire de soulagement s’échapper de ses lèvres devenu presque bleu de peur, elle la serra contre elle, cachant ses oreilles pour ne pas qu’elle entende, si elle entendait les hurlements de douleurs du Monstre qui était de nouveau prisonnier…

Elle la porta doucement murmure des mots d’un chaleur simple, Doucement ma puce, ça va aller, je suis la pour te protéger mon ange.. N’est pas peur, je veille sur toi… en caressant ses cheveux détacher dans la chute, elle demanda un lit dans une roulote et une bassine d’eau tiède, avec une trousse de premier secours, commençant à soigner chacun blessures avec tendresse en la regardant avec bienveillance, caressant son visage maintenant propre et soigner, attendant que ses yeux s’ouvre enfin…