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 What a Wonderful World [PV : Jolie & Jack]

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MessageSujet: What a Wonderful World [PV : Jolie & Jack]   What a Wonderful World [PV : Jolie & Jack] HorlogeoSam 19 Nov - 3:06

The Big Bad Wolf marchait vite, dans l'ombre pourpre du crépuscule qui donnait à sa forêt quelques allures fantastiques, ses pattes de velours noir martelaient le sol sans y laisser aucune trace.
"Pourvu qu'il n'ait pas disparut",
elle accéléra encore. Au bout de quelques minutes le loup s'arrêta brusquement. Elle l'avait trouvé. L'animal fixa l'édifice un instant et retroussa ses babines dans un sourire ; Elle avait de nouveaux voisins et allait enfin pouvoir les saluer. Devant elle se tenait un grand bâtiment, une sorte d'usine avec beaucoup de cheminées, enfin "Usine", ça ressemblait plutôt à un Disneyland miniature, ou à la chocolaterie de Willy Wonka, mais avec plus de feu d'artifices et de fumées multicolores. La jeune femme se souvenait bien du petit air agaçant que l'intéressé chantait sans cesse...
"Willy Wonka, Willy Wonka, l'étonnant chocolatier, Willy Wonka, Willy Wonka, tout le monde veux l'acclamer, sa modestie son élégance, il ne peut s'en départir, sa grande générosité, pas moyen de la contenir, contenir, contenir conteniiiiiiiiiiiiir"

- STOOOOOP épargne moi tes chants stupides s'il te plaît, j'en ai envie de gerber !


Voilà que la voix dans sa tête s'y remettait...

Le grand méchant loup approchait doucement de la grande porte, quand un cri la fit sursauter, Un homme un peu étrange habillé d'une blouse rafistolée, et d'un chapeau d'anniversaire pointu, riait d'un air débile et hurlait des phrases incompréhensibles.
"THÉ, THÉÉÉÉ, LE TEMPS C'EST ARRÊTHÉ Huhuhuhuhuhuhuhu 8D"

Il l'aperçut et sembla se calmer un instant.
"Oh ! Une nouvelle tête ! Je suis Peter O'Welse, mais on m'appelle Peter PAN parce que tout ce que je touche explose Huhuhuhu :DDD, enchanté !" dit-il en lui serrant la patte avec frénésie. Le loup le salua d'un signe de tête, visiblement gênée, regardant le petit écriteau de la boite aux lettres branlante que le fou ouvrait, elle aperçu un nom J. L. Nightroad, peu-être était-ce le responsable de cet asile ?

- Euh Bonjour, Est-ce-que Mr Nightroad est là ?
Le fou réajusta son chapeau en papier et chanta quelque chose à propos d'aller voir le parton en vitesse avant de s'envoler dans une cheminée.
Ignorant les reproches de la voix dans sa tête, The Big Bad Wolf s'approcha doucement de la porte légèrement déconfite, en espérant que ces nouveaux voisins ne seraient pas tous ainsi. Elle ouvrit la porte et fut frappée par une vision étrange, une autre porte, Le loup entra également.
La suite serait difficilement descriptible ; elle passa dans plusieurs salles toutes plus étonnantes les unes que les autres, dont une bibliothèque toute marbrée de noir et blanc, comme un plateau d'échec géant, parsemé de livres multicolores qui tapissaient les étagères et le plafond, la jeune femme faillit également se faire assommer par un livre intitulé "Géologie des plaques" tombé du plafond,et se hasarda même à demander à des employés où était le patron, mais ils répondirent qu'ils l'ignoraient et qu'ils devaient finir de recoller les livres du plafond avec de la marmelade avant qu'ils ne tuent quelqu'un.
Le loup sortit de la salle et en entrouvrit d'autres par curiosité, il y avait là un champ de bonhomme de neige, une grande volière qui contenait des oiseaux et des objets ailés dans des cages de verres, une garde robe contenant des tenues plus bariolées les unes et les autres, un atelier immense qui réunissait toutes les choses les plus étranges qu'elle avait vu jusqu'ici...
Soudain elle crut l’apercevoir, Le fou était de dos, il portait un haut de forme et un long manteau pourpre, et semblait au beau milieu d'une discutions avec... lui-même ou avec quelqu'un qu'elle ne voyait pas. Le grand méchant loup hésita à reprendre apparence humaine, puis décida que non, qu'il devait avoir vu pire ici, elle entra silencieusement ,et alla l'aborder en espérant qu'il la ferrait visiter.

"Bonjour, je suis Kira, The Big Bad Wolf"
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MessageSujet: Re: What a Wonderful World [PV : Jolie & Jack]   What a Wonderful World [PV : Jolie & Jack] HorlogeoJeu 1 Déc - 10:13


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Problèmes, problèmes, problèmes…

A croire que les habitants de Wonderland aimaient apporter des soucis à Jack pendant qu’il tentait de prendre le contrôle de son nouveau petit chez lui. De cette nouvelle tâche de couleurs – aux teintes bien surprenantes d’ailleurs – dans le décor souvent gris de Wonderland. L’inattendue toile d’araignées psychédéliques, dont vous ne pourrez guère sortir tel que vous êtes entré.


La Dream Factory

Factory : Usine (nom féminin) : Etablissement où sont transformées des matières premières en énergie, ou bien, où est produite de l’énergie.

Dream : Rêve (nom masculin) : Images produites pendant le sommeil et résultant de l’activité psychique ; ce qui est produit par l’imagination ; idéal.

Son nom explique par lui-même sa fonction : créer bon nombre de choses grâce à l’imagination, utilisée comme énergie. Tel est la raison de cet étrange complexe. Complexe… C’est bien le mot pour la définir. Tant comme nom que comme adjectif. Je vous ferrai grâce d’une nouvelle définition, il s’agit simplement d’un complexe complexe. Ne vous étonnez pas tout de suite. Il s’agit du genre de réplique que vous entendrez le plus à l’intérieur de ces murs… Du moins, pour les salles où ils sont encore debout… Nous disions donc… Ah la complexité de ce magnifique bâtiment ! Ou bien de ces bâtiments ? Un seul ? Des dizaines ? Un rassemblement artistique de style différent ? Ou simplement un désordre sans nom ? Illogisme par excellence, un véritable paradoxe où se côtoient paradis et taudis, ruines et génie. L’auteur d’un tel spectacle ? Eh bien un peu tous. La Maison a pour spécialité de récompenser ses meilleurs ouvriers en leur donnant la chance d’ajouter leur pierre à l’édifice. Et certains le font avec un certain humour : ils posent simplement de gros tas de pierre… Pour l’ajouter à l’édifice… Vous suivez ? Non ? Tout à fait normal, puisqu’il n’y a pas de chemin. Mais alors la voie que nous empruntons qu’est-elle si elle n’est point un chemin ? Est-elle une route ? Mais dans ce que, que différencie la route et le chemin ? De plus ne ditons pas qu’il faut toujours suivre sa route quoi qu’il en coûte ? Il faut vivre sans lendemain, ne jamais s’arrêter, toujours aller de l’avant. N’est-ce pas ? De plus nous avons la chance d’avoir une nouvelle vie ! Allons dépêchez vous ! Suivez ce chemin pour rejoindre l’Usine ! … Pas de chemin ? Bien sûr que si il y a un chemin ! Il est juste sous vos pieds !


Vous faites preuve d’illogisme très cher(e)…

Jack s’ennuyait. Mais sans pour autant ressentir une quelconque lassitude. Les pieds posés sur son bureau, il jouait aux fléchettes, visant la porte. C’est un des moyens les plus intéressants qu’il ait trouvé pour : s’occuper, obliger les gens à frapper lorsqu’ils voulaient entrer, avoir une excuse pour ne rien faire. En effet, les premiers invités, dans cette salle de danse rythmée par des machines plus qu’étranges, avaient souvent la fâcheuse habitude de le déranger pendant ses (non) occupations. Jack n’aime guère que l’on rentre dans son petit chez lui – son grand chez lui étant l’usine – comme bon nous semble. Il a donc pensé à installer une cible, ainsi, si quelqu’un rentrait, il y avait une certaine probabilité qu’une des fléchettes lui arrive dessus… Il y eut bien sûr quelques blessés au début. Enfin, c’est ce que les rapports laissent croire. Mais qui voudrait les lire … ? Et, surtout, qui pourrait ?

Jack avait toujours adoré les feuilles de papiers et autres documents. Surtout les « importants ». C’est pourquoi, à chaque fois qu’une nouvelle pile de paperasse venait s’ajouter à sa collection, il prenait le temps de choisir les documents qu’il trouvait les plus importants ainsi que les archives, et s’amusait à les plier en forme d’avions avant de les accrocher au plafond. Une charmante décoration… Ainsi, lorsqu’il laissait la fenêtre ouverte, on pouvait assister à un ballet de jets en papier, aux tailles et aux couleurs toutes différentes. Il n’en existait pas deux pareils. Le borgne n’aimait guère, et n’aime toujours pas, la généralité. Bien que si tout était singulier, alors on pourrait y trouver une généralité de non ressemblance, non ?

Il tira sa dernière munition, qui arriva exactement là où il l’avait voulu : à côté de la cible. Oh, nous ne l’avions pas mentionné ? Le but est bien de ne jamais toucher la cible mais d’en être le plus près possible. Ce ne sont pas les règles du jeu, je vous l’accorde. Mais les règles sont faites pour être changées. Il replaça ses lunettes, qui lui donnaient plus un air de savant fou que de quelqu’un d’important, et réajusta ses vêtements, dont la grande cape qu’il portait. Celle-ci avait l’avantage de traîner par terre. Il avait – une fois de plus – la brillante idée d’installer des roulettes sous celle-ci, ainsi, il pouvait poser ce qui le gênait sur la partie de sa cape qui touchait le sol, et s’en servir pour les transporter. Il pouvait aussi répandre discrètement des liquides, ou gaz, aux effets inconnus sans que les employés le remarque.

Il sortit de sa pièce, observant les longs couloirs qui étaient tout sauf droits. Il connaissait son usine par cœur, bien que ses chers servants travailleurs avaient l’étrange loisir de changer la disposition du bâtiment, pour tester son sens de l’orientation-peut être… Notre fou levait la tête tout en marchant, observant silencieusement les mains de ses apprentis en plein travail. De grands rails passaient juste au dessus de sa tête. A quoi servaient-ils ? A trier de toute évidence. Ce qui serait gardé, ce qui serait jeté, ce qui serait détruit ou bien ce qui serait utilisé. Les directions que prenaient ses « choses » étaient simples : tout ce qui était utilisé allait vers l’aile la plus reculée de l’édifice, ce qui était gardé serait placé dans les salles d’expositions ou cabinet de curiosité, si on peut les appeler ainsi… Alors que les déchets iraient doucement rejoindre leurs confrères dans le bric-à-brac d’Alice, et enfin ce qui devait être détruit, le serait. Dans la rivière souterraine.

L’une des nouvelles recrues aperçut son chef et le salua, à l’instar de tout le reste du groupe, tandis que celui-ci attrapait une tasse qui passait devant lui, ainsi qu’une aile de papillon et l’autre d’un oiseau. Il les gratifia d’un signe de tête pendant qu’il s’affairait à créer ce nouveau petit chef-d’œuvre pour la pièce dite « marine ». Celle qui regroupait les objets, animaux, créations, tous ce qui était ailé ou qui s’en approchait. Mais je pense que vous l’aviez deviné rien qu’à la lecture de son nom !

Le jeune homme traversait à présent un petit pont fait de pierre et d’acier, sous lui un petit cours de liquide passait. On ne peut vraiment pas nommer ça de l’eau. Sauf si votre eau possède des couleurs aussi flashy et dont il se dégage des fumées multicolores… Agréable à la vue, beaucoup moins au touché. Si vous nous demandez pourquoi, nous vous laisserons, avec plaisir, faire l’expérience par vous-même.

Jack s’arrêta quelques secondes, observant les larges tuyaux transparents qui serpentaient dans les murs. De toute évidence, la substance qu’ils contenaient était la même que celle qui se trouvait en dessus de lui. Il tourna doucement la tête, regardant d’un air vide l’épaisse cloison dans laquelle disparaissaient les conduits.

« La salle du N.I.S. … »

Un léger sourire entre le dégout et l’amusement se dessinait sur ses lèvres alors qu’il reprenait sa route.

Vous vous demanderez peut être ce qu’est le N.I.S. – il est inutile de chercher sur google… - nous nous ferons une joie de vous expliquer si c’est le cas. Sinon, vous pouvez tout de suite sauter ce paragraphe. Le N.I.S. (et pas N.C.I.S.) se traduit littéralement par : Nightmares Incubation System. Système d’incubation des cauchemars. Splendide traduction n’est-ce pas ? Nous garderons la version anglaise, qui sonne beaucoup mieux…

Le N.I.S. est une salle spécialement réservée et mise à part dans la Dream Factory. Un conseil : ne vous y aventurez pas, surtout si vous n’êtes pas invité à la « fête »… Pour résumer simplement, c’est une pièce permettant le travail d'une équipe spéciale d’une petite dizaine de personnes. Et pas les plus fréquentables… La moitié du groupe est composé d’être aux pulsions violentes et destructrices, l’autre, de spécimens à l’imagination débordante et troublante, pour ne pas dire totalement glauque. L’objectif est de combiner la destruction à l’imaginatif, pour obtenir les idées les plus extrêmes et ainsi créer des produits « intéressants » pour le « Client ». Principalement les Toutous enragés de Wonderland d’ailleurs.

Les membres de l’équipe sont, la plus part de leur temps de travail, enfermés dans des sortes de capsules, dont sortent les tuyaux que Jack observait. Certaines rumeurs courent dans l’usine comme quoi l’extraction de ces pensées ne se ferait pas sans peine. Plus l’idée serait intéressante, plus la douleur que subirait celui qui l’a trouvé serait grande… Certains affirment que le liquide qui circule dans le tuyau est la réaction toxique à ce procéder et qu’il est rejeté dans les égouts, d’autres prétendent que ce mélange de substances nocives qui sommeil dans le conduit souterrain est directement injecté dans les capsules… Réalité ? Mensonges ? Un peu des deux ? Jack trouve que son usine serait bien ennuyante sans quelques mystères et pratiques douteuses.

Après un long périple à passer dans des pièces qu’il connaissait les yeux fermés, esquivant les objets qui tombaient ou volaient au travers des immenses salles, et tant d’autres obstacles qui font des règles de sécurité de simples décorations, le directeur – oh oh oh, comme ça sonne bien ! – arriva enfin vers les premières salles de la Factory, les plus animées. Des dizaines et des dizaines d’étranges personnages se pressaient, comme des fourmis construisant leur nouvelle fourmilière. Il les observait sans dire mot, puis il sortit une sucette de sa poche, l’enfournant dans sa bouche. Il fut prit d’une crise de rire en regardant tout ce beau petit monde.

« Enfin, mon chez moi ! Mon pays du nonsense, de l’inadmissible et de l’illogisme ! Si Wonderland était un jardin, nous serions les OGM de celui-ci ! J’ai connu mieux comme métaphore… Hm… Jack, ne te laisse pas trop aller vers des réflexions aussi sérieuses… Regarde ton monde, ton bouclier face à la réalité ! Ton ilot d’absurdité perdu dans l’océan aberration du pays des merveilles ! Contradiction, contradiction, dicte nous notre prochain projet ! Quelque chose de grand, de splendide, d’absolument incongru ! Dont nul autre n’aura l’idée mais dont tous seront surpris de ne pas y avoir pensé avant ! Un concept d’une beauté et d’une monstruosité paradoxale ! »

Il avait les bras levés vers le ciel, qu’on apercevait de temps à autre, à travers les trous du plafond. En général habitués – pour les plus anciens – à ces étranges monologues, le personnel laissa planer un doux silence tout en reprenant leurs activités. Le dément s’arrêta soudainement de rire, lorsqu’une voix, inconnue, l’appela. Il ne prit même pas la peine de se retourner totalement, et dirigea seulement sa tête vers le nouveau venu. Jetant un coup d’œil par-dessus son épaule, il aperçut une sorte de loup. Jack fini par baisser les bras et sortit la sucette qui était toujours entre ses dents, tout en se tournant doucement. Il finit par mettre un genou à terre pour être à la taille de l’étrange bêbête, et ainsi mieux l’observer.

« Le Grand méchant Loup ? »

Il eut un léger rire.

« T’es pas un ami des Toutous j’espère ? Parce que si c’est le cas, je ne prends que les commandes du labrador blond en chef ! »

Il reprit soudainement un air sérieux.

« Si ce n’est pas ça, je veux savoir ce que tu fais dans un pareil endroit, petit chien. Laisse-moi deviner. Par curiosité ? Je pense que tu as remarqué que le bon sens a fuit les lieux depuis un bon moment alors tu ferais mieux d'en faire autant, sinon le chaperon rouge risquerait de venir pour toi avec un fusil à pompe … »

Jack croisa les bras, se relevant. Il regardait du coin de l’œil la demoiselle accoudée à la rampe des escaliers massifs qui surplombaient le hall dans lequel ils se trouvaient. Il fit volte face et la salua en enlevant son chapeau, qu’il posa sur la tête de l’animal.

« Eh bien, n’est-ce pas la charmante Jolie ? Cette bête est peut être à vous ? »

Dit-il en pointant le grand méchant loup du doigt.

« Ou alors vous venez faire affaire ? Que vous faudra-t-il cette fois ? Des nouveaux jouets pour le cirque ? »

HR: Désolé du retard >< Mein Gott, comment ça fait moche la largeur du forum T_T
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