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 ~ Uspilone O. Le Poulpe névrosé.

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MessageSujet: ~ Uspilone O. Le Poulpe névrosé.   ~ Uspilone O. Le Poulpe névrosé. HorlogeoMer 16 Fév - 6:27


~ Uspilone O. Le Poulpe névrosé. 32944510





Octopus Upsilone




Je suis Lunatique , mais ne vous inquiétez donc pas, je suis Affable et Créative ~





Le Bouche à Oreille



      Nom : Octopus
      Prénom : Upsilone
      Âge : Aux alentours de 16 - 17 ans
      Date de naissance : 6 octobre
      Orientation Sexuelle : Bisexuelle
      Goupe : Circus Employs 8D
      Emploi : Pantomime et peintre à ses heures perdues
      Mot le plus employé : « Nyurf »
      Rêve : Devenir un Pingouin, sans doute . . .
      Arme & Pouvoir : Elle se ballade rarement sans quelques fourchettes. . . Ses bras ont aussi la fâcheuse particularité de prendre la forme de tentacules (d'où son surnom), particularité qu'elle utilise pour parfaire son rôle au sein du cirque.





Je ne t'aurais jamais imaginé ainsi !




      « Ah. . . Mmh, excusez-moi, je crois que votre autruche est tombée dans ma tasse de thé. . . »


      Adepte du pantomime depuis des années, Upsilone a développé une indolence toute particulière, qui la rattrape souvent et colle à son visage un air neutre et blasé. L'ennui et l'indifférence qui se lit alors généralement sur ses traits peut parfois être pris pour un mépris total de ce qui l'entoure, mais lorsque la jeune fille se ressaisit, elle se montre vive, éclatante de joie, aussi turbulente qu'une enfant. A l'inverse, si la fatigue l'accable, ou si l'envie de bouger l'abandonne, elle reprend ses allures de pantin et se fond presque dans le paysage, tas de chair flasque au sourire évasif, affaissé au coin d'un jardin, bien souvent. Ainsi, seule, Upsi' peut, selon son humeur, paraître aussi active qu'un paresseux aux heures brûlantes d'une journée d'été, ou aussi calme qu'un troupeau d'éléphanteaux en cavale. Peu accoutumée à la présence d'autres êtres humains, elle montre là aussi plusieurs réactions possibles, généralement opposées : d'un côté, elle pourra se montrer distante, craintive, ou bien curieuse et naïve, où encore totalement joviale, et bavarde. Lorsqu'elle décide de parler, ses propos ont rarement de sens, et manquent régulièrement d'une fin. Mais peut lui importe. Elle prend beaucoup de plaisir à embrouiller les autres avec des paroles sans queue ni tête. Il semble que sa boîte crânienne soit en perpétuelle agitation démentielle. Elle parle souvent en métaphores, tordues et implicites, invoquant des images impossibles de mille et une couleur, dont on peut sans mal deviner la présence quotidienne au cœur de son cerveau. Si quelqu'un lui fait du tort, elle aura ou bien peur de le lui reprocher, ou bien, au contraire, fera preuve d'une ingéniosité sadique et d'une joyeuse fureur pour accomplir sa vengeance. En un mot, Upsilone est follement lunatique. Tous les traits de son humeur dépendent de la météo, du jour de la semaine, du mois, des dernières choses qu'elle a mangées, de son appétit actuel et de son degré de fatigue. Deux détails de son caractère semblent pourtant immuables : l'affabilité et la créativité. Notre jeune Poulpe est toujours prête à apporter son aide, si on la lui demande. Politesse ou altruisme, peut importe, une chose est sûre : elle n'a besoin d'aucun intérêt pour accomplir ces tâches, aucune arrière-pensée n'est formulée à l'arrière de ses neurones. L'innocence d'une enfant, peut être. La créativité, elle, a été évoquée plus tôt. Dans l'esprit d'Upsilone rayonne un monde, absurde et bariolé, monde qui réapparaît souvent sur ses toiles.
      Physiquement, elle a l'avantage de pouvoir se faire passer pour un garçon efféminé, quand elle en a envie. Se sentir de sexe masculin la rend parfois plus sûre d'elle. Ses cheveux, mi-longs et en bataille, changent régulièrement de teinte, virant de turquoise à violet en passant par orange et pourpre. Maladroite, elle se blesse un peu trop souvent à son goût, aussi n'est-il pas rare de la rencontrer couverte de bandages par endroits. En ce qui concerne son cache-oeil, dont elle ne se débarrasse presque jamais, le mystère reste entier (d'autant plus qu'elle ne le porte pas toujours du même côté. . .). Côté parure, elle aime les vêtements masculins, mais fins, comme les anciennes tenues de majordomes, ou les queues de pie de chef d'orchestre. Il lui arrive d'arborer des robes, parfois. Là aussi, tout semble dépendre de son humeur.





Aller, joues avec moi ~


      Upsilone l'ignore, à présent, et ne s'en souviendra probablement jamais (et heureusement, à en juger par son caractère), mais elle née sous le nom d'Azilyss-Castylid de Bronhomer, dans la chambre 1028 d'un prestigieux hôpital d'une blancheur éclatante. Détails d'une insignifiance monstre, mais dont la connaissance, à l'heure actuelle, aurait irrité la jeune fille, qui préfère de loin imaginer qu'elle est la fille légitime d'un lama et d'une poule, mise au monde sur un nuage dont elle est par là suite tombée. Le berceau de sa création, ventre d'une jeune femme noble au nom aussi imprononçable que bourgeois, n'a (hélas ?) pas survécu au passage barbare de l'enfant du cocon vers le monde extérieur. Des suites d'une violente hémorragie, et malgré les tentatives (abondamment encouragées par le cliquettement des pièces) des chirurgiens, la mère décède le lendemain de son accouchement. L'enfant, par les soins de son père, hérite du nom d'illustres dames de la famille. C'est à la vue de testament de sa femme que celui-ci entame sa lente dérive. Gonflé de l'argent de sa défunte chère et tendre, il débute, sitôt sorti de l'hôpital, la conquête de nouveaux cœurs. Sa fille, confiée à une quinzaine de nourrices toutes plus expérimentées les unes que les autres, ne lui inspire ni tendresse ni anxiété. Il s'en contrefout royalement.
      Ses maîtresses défilent dans la chambre nuptiale et Azilyss-Castylid, en grandissant, croit avoir une foule de mères différentes. Le souvenir de la seule et unique véritable lui a échappé avant même d'avoir une place concrète de son esprit. On ne peut regretter ceux que l'on n'a pas connus, à ces âges-là. Son père, lui, ne partage pas cette inconscience. L'image de son épouse le hante, et bientôt les dames de ses nuits ne suffisent plus à combler son mal. Il réalise l'étendue de sa bêtise. Azilyss-Castylid à alors cinq ans, et il ne se sent pas le courage d'entrer dans la vie d'une enfant au bon développement de laquelle il n'a jamais souhaité participer.
      Les nourrices ont protégé la petite tant bien que mal contre les divagations nocturnes de son père, mais l'enfant s'en rend à peine compte. D'elle-même, elle a créé une large bulle d'intimité et de secret, qui la tient à l'abri de tout. Avec celles qu'elle nomme ses « grandes sœurs », elle communique uniquement par les mimiques qu'elles lui ont enseignées. Elle a précocement appris à lire, et ses doigts se révèlent aussi agiles pour les gesticulations théâtrales que pour les barbouillage colorés. Indirectement, son père commence doucement à agir pour elle, en choisissant par exemple de confier son éducation scolaire aux nourrices, afin de ne pas la troubler. La cuisante défaite du précepteur qu'il avait fait venir lui reste en fait à l'esprit. Souvenir également marqué sur le mur du fond de la bibliothèque de la maison, victime des giclements de peinture dont l'enfant avait gratifié l'éducateur spécialisé. A la suite de cet événement, il réalise qu'Azilyss-Castylid semble ne pas apprécier les hommes, et d'une certaine façon, il se sait coupable. A partir des huit ans de la fillette, pourtant, il tâche de rattraper son rôle paternel. Il découvre une enfant sage et enjouée à la fois, nourrie à la peinture et aux livres. Il s'extasie face à son univers déjanté et retrouve un bout de sa propre enfance. Sous les conseils des nourrices, il l'emmène au cirque, où la petite fille découvre avec surprise que sa manière de s'exprimer est un art exploitable. Enchanté, le père organise sa rencontre avec un maître pantomime, du nom Ledwige Khölyodort. La fillette, ignorante du monde et fascinée par cette homme qui comprend le moindre de ses gestes, tombe irrémédiablement sous le charme et grandit dans l'idée de devenir comme lui. A onze ans, elle se fait accepter comme disciple. C'est pour son père un coup déchirant. Sa femme est décédée, il vieillit, les nourrices ont quitté la demeure et sa fille unique commence à prendre une voie qui la séparera de lui. Il comprend trop tard qu'il n'a pas saisit sa chance lorsqu'il l'aurait dut, et que la solitude s'installera dorénavant sous son toit.
      Renommée « Upsilone » par Ledwige, l'enfant rejoint bientôt une troupe où elle retrouve un semblant de famille. Les années s'écoulent doucement, et la vie idyllique auprès de celui, pourtant bien plus âgé, qu'elle considère naïvement comme l'amour de sa vie, donne une continuité aux rêves rocambolesques qui naissent sous son crâne. Pendant ce temps, son père retrouve ses mauvaises habitudes, teintées à présent d'alcool et de jeux. Tant bien que mal, Upsilone tâche de lui redonner goût à la vie, mais comment sauver un homme qui n'a donné que son ombre à la plus grande partie de votre existence ?
      Un soir pourtant, brisée par la vue de Ledwige Khölyodort en compagnie de sa maîtresse, la jeune fille regagne son logis dans l'espoir de trouver du réconfort auprès de son vieux paternel. Elle le trouve ivre. Cette image de lui lui était demeurée inconnue des années durant, et le voyant ainsi,échevelé, beuglant au travers de la maison, plus mort que vif, en plus de son échec amoureux, lui déchiquette à nouveau le cœur. Elle le tire vers la table du salon, et lui sert, ainsi qu'à elle-même, un verre d'eau fraîche auquel elle joint le contenu de deux sachets de mort-aux-rats. Elle lève solennellement son verre, et boit à la santé d'un père, volatile jusqu'au bout, et d'un amour perdu.
      La tête tourbillonnante d'arcs-en-ciel, elle s'effondre alors au cœur de ses rêves éternels, que sa vie a modulés à la pâte de son imagination, un sourire au bout des lèvres . . .

      « Wonderland, me voilà ! »




C'est bon Arnaud, Avoues ton crime ! - Non, c'est pas moi !



      Pseudo/ : Appelez-moi comme bon vous semblera =3
      Âge : 16 (~ presque)
      Avatar : Origine inconnue
      Comment as-tu connu le forum : En arpentant les TopSites !
      Comment le trouves-tu ? : Élégant, le contexte me plaît et euuh. . . j'inventerai un défaut plus tard ^.^
      Une idée pour l'améliorer ? : /
      Ta présence sur 10 : 8, une fois par jour au moins
      Quand je dis rose, quel est ta première pensée ? : La fleur, mais plus rouge que rose
      Regardez à votre droite, que voyez-vous ? Un signe en peluche vert fluo assis au-desus de mon lit. Il s'appelle Guimauve et vous dit Bonjour !
      Hors la loi ou policier ? : Hors la loi, pour la liberté d'hurler à l'injustice
      Manger ou Boire ? : Manger °q°
      Règlement retenu ? Si oui, donnes le code : Mmh. . . Les pommes violettes de mon jardin ont un goût de pipi de Chat .__.
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MessageSujet: Re: ~ Uspilone O. Le Poulpe névrosé.   ~ Uspilone O. Le Poulpe névrosé. HorlogeoMer 16 Fév - 6:39

Parfait! Bienvenue cher Upsi =D
Votre fiche est très belle *^* et je pense qu'elle est terminée ôo
Donc, c'est avec joie que je te valide =)
Miss Jolie sera ravie de t'accueillir au cirque !
Muhahahaha Twisted Evil
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MessageSujet: Re: ~ Uspilone O. Le Poulpe névrosé.   ~ Uspilone O. Le Poulpe névrosé. HorlogeoJeu 17 Fév - 2:59

Une bébête! Et mignone, adorable en plus! Bienvenu parmis les fous très chère!~♥
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MessageSujet: Re: ~ Uspilone O. Le Poulpe névrosé.   ~ Uspilone O. Le Poulpe névrosé. Horlogeo

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