Cette nuit, la lune était bien haute dans le ciel noir. Le
vent soufflait paisiblement dans les
grands arbres centenaires de The Lost forest. Aucun bruit n’arrivait à percer
la noirceur du lieu. Gretel était étendu dans l’herbe fraiche tout prêt d’un
lac ou elle et son frère avaient élus domicile. Elle contemplait cette astre
lumineux qui l’avais si souvent intriguer. Cette sphère qui vie de nuit, qui
est la compagne éternel de se qui est leur monde. La jeune femme se demandait
souvent si la lune du Wonder Land était la même que celle de sa terre natale. Ce
monde lui manquait parfois, elle avait laisser en se suicidant, tous ses rêves,
ambition et une vie qu’elle aurai souhaitée heureuse. Une famille, un mari, une
maison à la campagne, ouvrir le magasin de musique dont elle rêvait. Tout ça
est maintenant révolu...Sa nouvelle vie de cannibale qui lutte pour sa survie
est son quotidient présent et futur. Meurtre, viole, vole et autre insanitées. Elle
envit Hansel, son bourreaux de frère. Malgré ses milliers de défauts, il a une
capacitée d’adaptation extraordinaire. Elle étant bipolaire, il lui arrive
souvent d’avoir des réaction innatendu, comme la nuit dernière...C’était l’une
de ces soirés ou elle prenait plaisir à faire souffrir Hansel en le laissant
lui faire l’amour. Elle sait, et à toujours su qu’il l’aimait. Ses yeux lorsqu’il
la regarde change d’expression pour devenir lumineux. Chaque mouvement qu’elle
exécute et qui son limite érotique le
fait frissoner. Pour revenir à la nuit dernière, elle n’a jamais de souvenir de
ses « incidents critiques ». Ou plutôt elle ne souhaite pas se les
remémorer. Gretel leva ses poignets, les marques des larges mains de son frère
avait maintenant disparu mais la jeune femme en sentait encore le pults. À de
nombreuse reprise de larges entailles pouvait apparaitre dans son dos, ou des
bleues énormes dans son entre cuisse. Hansel, toute jeune était son idol.
Maintenant ces plutôt par souci pour sa vie qu’elle reste à ses cotés. Elle
avait été si naïve d’être morte pour lui. Si c’était à refaire elle ne se serai
jamais donner la peine de le venger. Perdu dans ces noirs, très noirs pensées, elle
venait tous juste de remarqué, non loin de la une silhouaite qui remuait l’eau
du lac comme pour si abrever ou si laver. Deux jour qu’elle n’avais pas
chasser, qu’elle n’avait pas diner. Son neuf millimètre dans un plit de sa robe
en cuir prètte à le saisir, une odeur familière et désagréable veint la
rallentir dans ses ardeurs. Hansel. Il s'approchait à toute vitesse de la proie.





-Fait chier! Encore une fois c'est lui qui vas gagner.






Il n’est plus cas quelque seconde de sa cible...

Ça aurait pu être une belle soirée si les arbres n'auraient pas ressemblé à des fantômes tentant de vous attraper. Ça aurait été une belle soirée s'il y avait eu quelques fleurs parsemant ce sol tapissé de feuilles moisies. Ça aurait été une magnifique soirée si quelques goûtes de sang ne seraient pas tombées sur le peu de gazon qui poussait dans cet endroit. Ça aurait été une belle soirée si Alan ne risquait pas de se faire tuer à chaque pas qu'il faisait dans cette forêt endiablé. Bien sûr, il avait cru que se cachant ici, il allait être plus en sécurité que nulle part ailleurs, mais déjà qu'il passait un après-midi dans la forêt qu'il se faisait attaquer par un autre de ces malades. Oh, rien de trop grave, un flèche dans le ventre, rien de plus. Au fond, Al avait déjà vu pire n'est-ce pas ? Il pouvait bien s'en sortir. S'en sortir, oui, sûrement... mais s'en sortir sans douleur... pas vraiment. Déjà, le seul fait d'essayer de retirer cette flèche lui fit presque perdre connaissance. Par chance, il avait réussit sans tomber dans les pommes, sinon, il aurait pu être déchiqueté par je ne sais quel malade qui passait dans le coin. Cependant, en retirant l'objet, le sang eut tôt fait de prendre la bonne décision de faire un petit voyage en dehors de son corps.

Et puis pour le dessert, Alan avait cassé ses lunettes. Bon, il n'était pas myope, mais il avait de la misère à voir au loin. C'était flou et il se sentait encore plus vulnérable... parce qu'il ne verrait pas quelqu'un arriver à toutes vitesse. Merde ! Mais il n'était pas Robin des bois non plus ! Il ne pouvait pas survivre dans ce genre de monde. Il n'était pas un héro, il n'avait pas de super pouvoir, encore moins d'instinct super puissant qui lui permet de connaître la présence d'une menace. Aux dernières nouvelles, il ne s'était pas fait mordre par une araignée et sa peau ne devenait pas verte quand il se fâchait. Par exemple, en y repensant, il aurait carrément adoré que ce soit le cas. Ça l'aurait aidé. Parce que là... il n'était qu'un étudiant. Le genre de personne idiote qui a un gros manque de jugement et qu'à cause de ça il se retrouve dans un monde où il n'y a pas une seule personne foutue de lui expliquer où il se trouve.

Il se sentait étourdis. Terriblement étourdis. Malgré le fait que le sol soit boueux et sale, Alan avait le goût de s'y étendre. Il cherchait depuis déjà pas mal longtemps un endroit où soigner sa plaie, mais sans succès. C'était peine perdue, cette forêt était comme un désert aride... non, pire. Parce qu'au moins dans le désert, il y a des cactus où l'on peut boire son eau... mais dans cette forêt... rien.

Et pourtant, à force de marcher, Alan finit par entendre le bruit du remous que fait l'eau. Un lac ! Malgré le fait qu'il soit épuisé, il se mit à courir. Courir pour aller cueillir de ce si délicieux liquide. Il plongeas des deux jambes dans l'eau et poussa un long soupir de soulagement. Il ferma les yeux un instant et nettoya sa plaie. Puis, il but plusieurs gorgées d'eau avant d'entendre un bruit. Un bruissement rapide. Des bruits de pas qui venaient pas là, à toute allure. Alan tourna la tête pour voir quelque chose, mais justement, il ne voyait rien. C'était flou.

En fait, il ne vit rien, mais il sentit quelque chose. Un homme à première vue beaucoup plus fort que lui qui le plaqua dans l'eau glacée. Alan poussa un cri. Sa plaie venait de s'empirer. Pris de panique, Alan cria :

— Vous êtes qui, bordel ?!

Ça aurait pu être une belle soirée... si un garçon ne lui aurait pas sauté dessus... et si une fille ne serait pas venue à sa suite.

Hansel soupir. L’ennui l’accompagne cette nuit et personne
ne sait à quel point il la déteste. Comme un grand nombre de ses soirées, il
partait chasser en quête d’une proie facile ou, chose prèsque impossible, une
qui lui tiendrait tête. Se qu’il cherchait cette nuit, une personne qui pourrai
lui faire oublier Gretel. Du moin, pour un bon moment. Sa soeur ne se laisse
jamais posseder au début mais après des avance entreprenante elle se laissait
aller. Il avait trop, beaucoup trop aimer la dernière fois qu’elle c’était
laisser faire. Il se demandait si il était encore possible pour lui d’ètre
aimer en retour. Chaque fois que cette occasion unique se présente il tente
dans profiter le plus possible, trop peut ètre. « Trop » un mot qui à
lui seul décrit tous ses gestes, ses action, ses envies. Il en veut
trop....Inlassablement. C’est avec douleur qu’il se souvien d’une Gretel
attentionner, agrippé à ses pantalon lorsqu’il devais sortir.





-Hansel, ne part pas...


-Emmène-moi!


-Tu vas revenir grand frère?





Elle lui manquait,
elle est toujours la mais sa vrai soeur était restée loin derrière dans leur
vieux et pénible monde. Il avait , en se moment très envi d’un jouette sexuel
pour défouler son surplus d’émotion. Aussi une faim éppouvantable lui
tortillait l’estomac, raison pour laquelle il chassait. Il se promenait sans
grand entousiasme, puis soudainement il senti une alléchante odeur de sang, un
sang bouillant et turbulant, soit pour lui une personne qui sera un gibier
facile à attraper. C’est avec une vitesse minutieusement mesurée, que Hansel s’approcha
pour étudier celui qu’il voyait bien manger pour son petit-déjeuner. Mignon à
croquer! Il aime beaucoup sa soeur mais rien ne dit qu’il ne peut pas apprécier
la chaude compagnie d’un homme dans son lit en attandant que Gretel succombe à
ses charmes. Toujours est-il que le garçon était blesser, une plait au niveau
du ventre. Déja lui venait de drôle d’idées. Il s’amuse à imaginer comment il
vas manier se corps léger entre ses mains. Maintenant il ne s’ennuiait plus!


L’objet de désir était maintenant à moitier immergé dans le
lac ou irroniquement il jettait les restes cadavérique de ses victimes. Mais en
plus il n’était plus qu’a quelque mètre de sa demeur ou il aurrais tôt fait de
li emmener. Ne se retenant nullement il parti à la course sur le garçon qui
avait le désavantage du terrien et de sa condition physique. Sans plus attendre
il le placas sans retenu dans l’eau et l’entoura solidement.


Le garçon protesta et réclama de savoir qui il était.





-L’homme qui te fera jouïr toute la nuit si tu fait ce qu’il
te dit. Un peut long, non? Appel moi maitre ou ...Hansel.





Il embrassa le pantin qu’il serrait contre lui avec une
vulgarité sans nom glissant habilement ses mains là ou il faut demander avant
de toucher.

Ce n'était pas la première fois qu'il ressentait ça. Depuis qu'il était dans ce monde, il ressentait toujours le même truc. Quelque chose d'inconfortable qui le révoltait au plus profond de lui-même. Cette impression détestable qu'il avait d'être considéré comme un insecte, un jouet que tous les habitants de ce monde étrange utilisaient à leur guise. Il se sentait comme un pantin ou simplement comme une mouche, prise dans le jeu cruel d'un enfant capricieux. Il se sentait faible et terriblement vulnérable. Il avait dû ressentir ça des milliers de fois depuis qu'il était là. Au fur et à mesure qu'il vivait dans ce monde - ou plutôt qu'il tentait d'y survivre - la flamme qui animait son existence s'amenuisait peu à peu pour qu'un jour où l'autre il ne soit plus rien. Pire encore, qu'il devienne aussi fou que cette bande de malades ou qu'il devienne le jouet préféré d'une coupe de psychopathes. En voyant l'homme le regarder ainsi de haut, Alan frissonna. Comme tous les autres, ce mec n'était pas net du tout, loin de là. Il devait être complètement corrompu. Alan se débattit, sans succès, l'homme devant lui était beaucoup plus fort que lui. Sa plaie lui faisait toujours aussi souffrir.

Si le fait de s'évanouir aurait pu être fait sur commande, Al l'aurait sûrement déclenché à ce moment là. Puisqu'il était pris au piège, il préférait de loin ne pas voir ce que cet homme s'apprêtait à lui faire... il préférait aussi ne pas s'en réveiller.

D'un autre côté, je doute sur le fait qu'il aurait déclenché sa perte de conscience. Alan avait un grand désir de vivre, peu importe où il se trouverait. Disons que ce n'est pas le genre de garçon qui abandonne ainsi sa vie. Malgré le fait qu'il souffre le martyr, il continuerait à se battre, peut importe qu'il soit fort ou non. Je crois que ça correspond un peu mieux au Alan que j'ai voulu créer. Même s'il est faible je pense qu'il a assez de force mentale pour survivre à n'importe quoi.

Appart peut-être à un violeur...

Mais ça, on verra plus tard comment il vas réagir.

Pour être sincère, Alan n'avait jamais couché avec personne... Appart si la fois où il L'avait fait, il était soul, parce que ce serait possible. Dans ce cas là, je n'en saurais rien. Cependant, entendre cet homme parler ainsi de jouissance le fit frissonner d'horreur. Il avait peut-être bien déjà couché avec quelqu'un, mais jamais avec un garçon, ça je peux vous l'assurer. "Si tu fais ce que je te dis". Cette phrase l'avait cependant révolté. Il n'aimait pas ce faire considérer comme un esclave ou quoi que ce soit d'autre d'inférieur à un humain. Parce que sans aucun doute, il était humain. Encore une fois, quand l'homme dit à Alan de l'appeler "maître", le regard doré de celui-ci changea un peu. Hansel... comme Hansel et Gretel ? Ne venez pas me dire que ce mec garde du pain dans son sac ! Tout sarcastique qu'il était, Al répondit d'une voix quasi robotique.

— Oui, maître.

Puis le salaud l'embrassa. Réflexe d'enfer, Alan lui mordit la langue de toutes ses forces, le plus fort qu'il aurait pu le mordre. Si bien qu'il sentis du sang couler dans sa bouche. Il ne pouvait peut-être pas bouger son corps, mais ses dents n'étaient pas encore hors service. Il lança un regard froid à ce cher Hansel. Si vous avec lu la présentation d'Alan, vous devez alors savoir qu'il a l'air d'un tueur quand il regarde quelqu'un et qu'il est fâché.

— Je vais te dire un truc "Hansel". Je ne suis pas ton jouet.

Dit-il d'une voix menaçante.

Je vous ai bien dit qu'Alan ne voulait pas perdre la vie... et bien, je crois qu'en disant cela, c'était presque un suicide...

Il était déstabilisé, non ébranlé, non mieux il n’y avait pas
de mot plus simple que de dire qu’il était surpris. Le garçon devant lui l’avais
sauvagement mordu. Cela fesai un bon bout de temps que sa ne lui était pas
arriver de voir son sang. La dernière fois, il s’en souvenait très bien, les circonstance
de la morsure était étrangement semblable. Quelque nuit suite à lors arriver au
WonderLand, Hansel avait choisi de clairement exprimer ses sentiments à Gretel.
Il se rappel l’avoir écraser contre le sol et de l’avoir embrasser
vigoureusement et elle lui avait croquer la langue. Elle l’a repousé avec un
sourire des plus arrogant. Sourire qu’il revoyait pour la seconde fois sur le
visage d’un parfait inconnu. Il aurai sûrement rit s’il n’aurai pas été aussi embalé
par sa découverte. Pour une fois qu’une proie lui résiste il n’allait
certainement pas passer à coté de cette chance unique. Du nouveau enfin.





« Quel retournement de situation inatendu je vais jouer
une nouvelle clé. »


-Je suis désolé! Je...pardons. Vous...vous êtes blaissé? Ma
soeur et moi logeons une maison non loin d’ici. Pour me faire pardonner veiller
accepter je vous pris de mit accompagner.





Le garçon ne semblait pas assez dupe pour croire à sa
soudaine bonne fois.Il ne donnait biensûr pas le choix à sa cible de dire non. Pour
le forcer à le suivre il lui fallait le convaincre par la force. Sur lui,
Hansel, avait un pistolet, son favori, un « Berreta 92 ». Mais étant
trempé des pied à la tête le fusil était inutilisable. Soudain lui vaint l’idée
d’utiliser son canif. Celui d’on il serre pour dépecer ses bêtes. Il avait
relacher le jeune homme depuis un moment déja et lentement il saisit son arme pointu
et le plaça entre lui et l’inconnu.





-Ne te voit surtout pas forcer d’accepter!






...








Gretel avait tout vue, tout entendu. Elle fut aussi si non
plus surprise que Hansel de la réponse de l’attaquer. Elle avait cru un moment
que le garçon allait prendre le dessus sur son frère...Impossible. Les larmes au yeux, elle parti dans la forêt
pour y passer le reste de la nuit car, comme toujours, Hansel vas garder la
maison pour lui se soir. La dernière fois qu’elle avait ramené une personne à
la maison, c’était un femme et Hansle l’avait séduite, la laissant seule. Hansel
est fort, Hansel en bon*, Hansel est beau....... « Pourquoi je ne
peut jamais le devancer? Je le déteste! »

Il y avait bien des choses dans ce monde qu'Alan ne comprenait toujours pas. Comme par exemple le changement subit d'Hansel qui, aux dernières nouvelles, était littéralement par-dessus lui et essayait de l'embrasser. Je dis essayait parce que, manifestement, Hansel eut un petit problème dont la première lettre était "A" et la dernière "lan". Ce garçon savait se défendre d'une certaine manière. J'ai eu le culot de dire qu'il était faible, malheureusement, c'est vrai, mais je n'ai jamais dit qu'il était idiot. Même que je devrais dire qu'Alan est un garçon plutôt intelligent. Quand même, pour avoir gagné beaucoup d'argent au casino, il devait être assez habile avec les chiffres un minimum. Et il ne fallait surtout pas être le plus foutu des hommes au monde pour savoir comment se défendre dans une telle situation.

Mais pour réagir face à la suivante... c'était légèrement différent. Le voilà qui se levait, laissant pendant un instant un Alan surpris. Il se redressa, toujours méfiant, mais rien. Hansel proposa même à Al de l'accompagner chez lui. Ah oui ! Bien sûr, je vous suis ! Pas de problème, hein ? C'est que vous avez l'air tellement accueillant que je ne suis pas capable de refuser votre offre. Oh, vous êtes mignon ! Il n'y a pas de machine de torture au moins chez vous ? Non ? Ah, je m'en doutais, vous semblez si gentil qu'à première vue, vous ne feriez pas de mal à une mouche ! Allez, je vous suis ! Lalalalala ! Promenons nous dans les bois...

Non, mais, il se prenais pour qui ?! Il s'en va le violer et ensuite il se lève, surpris. S'excuse pour l'avoir blesser et l'invite. De toute façon, il ne semblait pas y avoir une petite once de gentillesse dans ce monde. En tout cas, à date, Al n'avait rencontré personne à peine susceptible d'être gentil. Pas même une petite personne... même pas un grain de sable. Même les moustiques étaient gentils avec lui.

— Non mais tu me prends pour qui ? Tu crois vraiment que je vais te...

Alan se mit à fixer l'arme que tenait Hansel en main. Il hésita puis ferma les yeux. S'il ne venait pas, il allait le tuer, c'est ça ? Il allait mourir ? Non. Alan était assez intelligent pour savoir que si Hansel lui avait proposé de venir chez lui, c'était pour "jouer". Il ne le tuerait pas en plein milieu de la forêt. Hansel espérait seulement que Alan réponde oui seulement à cause de la menace d'un canif. Alan pouvait se défendre contre ça... ou plutôt il pouvait s'en sortir. Son regard, toujours aussi froid fixa Hansel et l'adolescent répondit tout à fait catégoriquement :

— Non.

Sur ces mots, Alan resta sur ses gardes, prêt à voir le prédateur foncer sur sa proie, le chat sauter sur la mouche pour l'avaler ou l'amener plus loin pour s'amuser avec. Il regardait donc le malade avec un regard remplis de méfiance. Cependant, on voyait toujours qu'il était déterminé à ne pas suivre Hansel. De toute façon pourquoi suivrait-il un fou ? Puis, un frisson parcourut le dos d'Alan. Une question venait de lui passer par la tête. Une simple question qui en amena des centaines d'autres.

* Pourquoi je dois faire ça ? *

Et les autres questions qui suivirent furent. Pourquoi je suis ici ? Comment ai-je fais pour arriver là ? Qui sont tous ces gens ? Pourquoi me veut-on du mal ? Qu'est-ce que je suis à leurs yeux ? Vais-je vivre plus vieux que 18 ans ?

Il y en avait des centaines comme ça et ce moment d'absence pouvait faire profiter Hansel devant lui.

Plusieur seconde passairent avant qu’il ne saisissent se que
le garçon lui as dit. Hansel avait
comprit, oui, mais il était surprit.


Il rit. Cela fesait
longtemps qu’il n’avait pas rit autant, à en pleurer. « Non »


C’était drôle, illarant même!
Pour le comprendre il faudrait avoir soumis des dixaines de personnes à aggirent
à votre gise pour que le fait de voire cette homme le contrer soit à mourir de
rire. Il n’avait jamais perdu de sa vie, mais pour une fois il se dit qu’il
avait peut ètre trouver un adversaire à sa hauteur. Lorsqu’ils étaient encore
dans l’autre monde, Hansel et Gretel adoraient participer aux activités de leur
lycée. Hansel à fait parti de toutes les assosiation sportive, culturel et même
le commité de son bal de graduation, au quel il n’est malheureusement jamais
allé. Organiser et diriger était pour lui un pure plaisir étant donner qu’il ne
s’ennuyait jamais. Le WonderLand lui à fait connaitre une tout autre façon de
tenir des gens à sa merci. Cela vas sans dire ça doit bien faire un ans qu’ils
étaient arriver lui et sa soeur. Il a toujours eu des proies facile. Mais
celle-ci l’interressait tout particulièrement...Il riait encore à demi.





-Je...Je peut connaitre ton
nom?

Alan avait, comme tout le monde, eu peur des centaines de fois dans sa vie, on en doute pas. Une personne qui n'a jamais eu peur de rien ne peut pas être une personne. Bien sûr, il y a différentes sortes de peurs. La vraie peur n'est ressentie que très rarement car il n'arrive qu'à très peu de personne de vivre quelque chose de terrifiant. Alan avait souvent eu peur dans sa vie. Cependant ce n'était que le genre de peur qu'une fois qu'elle s'est estompée, on part à rire. Il y avait la fois où il avait faillis frapper un orignal sur la route, l'autre fois où son ami s'était étouffé en buvant sa bière. Un autre de ces fois où Al avait faillis tomber dans l'escalier de façon vraiment idiote. Une autre fois où lui et ses amis s'étaient presque faits prendre par une surveillante alors qu'ils s'apprêtaient à faire un mauvais coup. Et la fois où il avait le plus peur, c'était le jour où il avait eu cet accident de voiture. Accident qu'il l'avait amené tout droit dans cet enfer. Accident qui l'amenait aujourd'hui à être confronté à un mec qui avait le nom du petit Hansel dans l'heureux conte d'Hansel et Gretel. Sauf différence que cet Hansel là n'avait pas l'air du genre à gambader joyeusement dans une forêt.

La deuxième sorte de peur doit certainement être celle qui vous paralyse même si votre cerveau vous dit de déguerpir. Ce genre de peur, depuis qu'Alan était arrivé ici, il l'avait ressentis plusieurs fois. Et cette journée là en faisait partie. Entendre Hansel rire de cette façon lui faisait dresser les poils de ses bras et lui donnait d'affreux frissons dans le dos. Seulement à son rire, Alan savait que ce garçon était loin, très loin d'être net. L'adolescent resta immobile. Il regardait Hansel rire. Rire sans s'arrêter, les larmes aux yeux. En le voyant s'éclater ainsi, l'humain commença sérieusement à se demander s'il avait dit quelque chose de drôle. Il revoyait tout ses gestes et paroles en revue dans sa tête et ne trouvait toujours pas la raison. La réponse qui lui vint alors à l'esprit fut que ce garçon était seulement fou et qu'il devait rire pour une raison complètement inutile.

Pourtant, ce rire si long et interminable effrayait Alan comme il effrayerait un zèbre devant un lion. Il avait aussi peur qu'une souris devant un hibou ou, mieux encore, comme une mouche devant un chat.

Ce rire lui faisait si peur que tout autour de lui se mit à bouger au ralenti. Les feuilles des arbres, poussées par le vent remuaient lentement. Un écureuil qui passait par là semblait avoir soudainement décidé de prendre son temps. Et Hansel devant lui remuait les lèvres lentement. Alan posa sa main sur ses yeux, puis, sur ses tempes. Il détestait ce don. Surtout quand il n'en avait pas besoin. Ce "pouvoir", il l'avait reçu en arrivant ici. Quand il éprouvait une émotion forte comme la peur au la colère, tout ce qu'il voyait se mettait à bouger au ralentis. Cependant, le désavantage de ce magnifique don était qu'il était imprévisible. Même s'il avait encore peur, le "slow" mode pouvait revenir normal à n'importe quel moment. Il avait clairement entendu Hansel lui demander son nom. Mais il ne répondit pas tout de suite, trop occupé à attendre que l'effet arrête. Cependant, il ne semblait pas prêt d'arrêter alors Alan se résigna à répondre.

— Alan... Je m'appelle Alan.

Puis, toujours la main sur les yeux, l'adolescent demanda :

— Qu'est-ce que tu me veux ?

Puis, soudainement, tout redevint normal. Al passa sa main sur son front, ferma les yeux, puis, en les rouvrant, plongeas ses prunelles dorées dans celles de Hansel.

"Alan, quel jolie nom" c'était la première chose qui lui vient à l'esprit. Hansel à toujours cru que le nom d'une personne doit lui ressemblé car ces une chose que l'on garde accroché à soit pour toute la vie. Donc forcement il devait correspondre à la personne qui le porte. Alan...Il a cessé de rire étonnement sérieux. Il avait bien des qualités mais lorsqu'il est prit dans un état de réflextion profonde ont pourrait croire qu'il dort les yeux ouvert. Bien sûr il est intelligent alors il réfléchit extremement vite cette transe ne dura donc que quelque seconde. Il cherchait un réponse à la question plus que bizarre de Alan.
-Qu'est-ce que tu me veux?
-...

C'était une question en effet pertinante. Il y a appeine quelque minute il guettait une proie facile, s'imaginant déchiqueter sa chair tendre en lambeau. Par la suite il avait remarque la vièrge beauté de cette homme si fragile dans le moment et le voulait dans son lit. Le refut catégorique de Alan face à lui le laisse perplexe. Il se demandait se qu'il voulais de lui a présent. Peut être pourrait il lui montré à jouer...?Cela ce passa très vite, car perdu dans ses pensé, sa main à glisser laissant le canif choir dans l'eau ou lui et l'autre garçon était toujours immergé. " Bon. Que faire. Il est évident qu'il ne veut pas se soumettre..."

- Tu n'est pas très drôle Al...J'ai bien l'impression que tu veut partir d'ici.. Mais tu as le temps de jouer avec moi.

Ce n'était nullement une question et son ton de voix le montrait clairement.

-Je veut jouer à cache cache avec toi...

Un grand et magnifique sourire se peint sur son visage. Non pas un sourire machiavélique, mais celui d'un jeune enfant qui invite son nouvelle ami à faire un château de sable avec lui...Le genre de celui qu'il avait perdu l'habitude de monter.

Alan en avait vu des mecs bizarres dans sa vie. La plus part du temps, la grande majorité de ce genre de personne se retrouve soit dans les bars, soit dans les casinos ; endroits où se tenait Al le plus clair de son temps. Il avait vu un couple essayer de baiser en plein milieu du bar. Une fois aussi il avait vu un obèse punk se saouler. Il avait déjà aperçut trois lesbiennes en train de se battre alors qu'il pleuvait à l'extérieur. Il n'avait surtout pas manqué ce géant de 7 pieds 2.

Le fait d'avoir vu des gens aussi étranges dans sa vie l'avait aidé à accepter le fait qu'il y ait des gens encore plus bizarre dans ce monde là. Cependant, qu'un mec aussi louche que Hansel lui demande de jouer à cache-cache... Ça dépassait complètement les limites de l'invraisemblable. Cet homme semblait le plus vicieux au monde et pourtant il arrivait, comme ça, un sourire d'enfant sur les lèvres à demander d'une voix qui ne marchait pas du tout avec son sourire quelque chose comme "Je veux jouer à cache-cache avec toi". Non, là c'était plus que bizarre. À ce stade ci, Alan se demander sérieusement qui était cet Hansel.

Un sadique cannibale, un gros pervers homosexuel ou un simple gosse qui se cherchait un ami ? C'est pourquoi, puisque Alan n'avait pas la réponse à sa question, il se contenta de se méfier. Puis de faire usage de son sarcasme éternel. Il lâcha un sourire du genre "je suis insouciant" et répondit.

— Ah. Bah, moi ça me dérange pas. On pige pour savoir qui compte en premier ?

Le regard d'Alan n'allait pas du tout avec ce qu'il venait de dire. Ses yeux fixaient Hansel de façon bien menaçante. Ça y est, il était énervé. Il détestait le genre de personne comme Hansel... quoi qu'il n'en ait pas souvent rencontré. Il avait l'impression que ce garçon lui mentait en pleine face, qu'il voulait faire beaucoup plus que "jouer" à un simple jeu. En fait, il n'en savait rien nom plus parce que ce qui l'énervait présentement, c'était bien le fait qu'il n'arrive pas à cerner le comportement de l'homme qui lui faisait face. Surtout qu'une de ses phrases l'avait considérablement intéressé.

Hansel avait vu juste : Alan voulait par-dessus tout sortir de cet endroit. Il détestait cet endroit... mais ça devait être normal ! À chaque fois qu'il faisait un pas, un mec arrivait pour tenter de le tuer ! C'est pourquoi il lança, étant cette fois bien sérieux :

— Sérieusement, j'accepte de jouer avec toi... seulement à quelques conditions. Si tu gagnes, je te laisse faire de moi absolument ce que tu veux. Je te le promets, je ferai rien pour t'en empêcher. Tu me tueras si tu veux, de toute façon j'en ai rien à foutre, ici on dirait que je suis voué à mourir alors maintenant ou plus tard ça change pas grand-chose. Par exemple, si c'est moi qui gagne, tu m'aides à sortir d'ici.

Alan resta silencieux. Attendant une quelconque réponse de la part de son interlocuteur. Cependant, au plus profond de lui, il espérait que Hansel ne choisisse pas de le tuer s'il gagnait parce que pour de vrai il en avait "quelque chose à foutre" de mourir...

Hansel s’était attendu à une quelquconque rébellion ou du moin qu’il lui pose des
question sur les règles du jeu. Mais non. Son nouvelle ami s’emblait près à se
prèter à cache cache. « Si tu gagne, je te laisser faire de moi
absolument ce que tu veux. Je te le promet... » QUOI! Ça l’a étonné plus que vous ne le
pensé. Il trouvait Alan si bête, lâche...Il se rappellait très bien du jours de
sa mort lorsque la vieille femme lui avait assainée un violant coup de fusil à
la tête. Douleur, peur, mort. Comment Alan
pouvait-il dire qu’il n’avait rien à foutre de mourir. Abandonner la vie est un
concept qui échappait complètement à Hansel. Il se souvient de toutes ses
victimes, toutes l’on supplier de les laisser en vie et tentait d’en appeller à
sa meilleur nature, sans succès. Alan n’a même pas tenté de le dissuadé. « Il
dit se foutre de la mort mais dans le font il a seulement peur » C’était
normale plus que normale, après tout un homme qui n’a pas peur en est il
seulement un? Si ont cesse d’avoir peur c’est surement que l'on à arrêté de
vivre...Du coup Hansel se sans de moin en moin vivant. Il pretta attention aux
actes du gars, il vassillait quelque peut, le sang qu’il avait perdu le rendait
de plus en plus gauche et sûrement plus lent dans ses mouvements. Il souffrait.
Bizarrement ça l’a attristé car le garçons n’aurait pas beaucoup de chance de
gagner et il serait injuste d’en profité. Il arracha un long bout de cuir de
son manteau et le tendit entre lui et Alan.





-Je t’explique en quoi consiste
mon jeu. C’est assez simple enfet, l’un de nous doit d’abord s’enfuir dans la
forêt alors que le second comte 20 secondes. Suite à cela le loup après avoir
compté, doit checher sa proie et la toucher avant qu’elle ne revienne au lac. Par
toucher je veux dire qu’il peut être fait de manière physique ou par l’intermédiaire
d’un objet. Il serait très facile pour moi de te r'attrapper donc je serait le
gibier. De plus je me rajoute un poids supplémentaire, je porterai se tissus sur
mes yeux durant toute la tenu du jeu. Je n’ai qu’une parole. Si tu gagne je te promet
de te faire sortir de cette forêt.








D’un mouvement des plus gracieux
il apposa la liasse de cuir devant ses yeux et attendit que son ami démarre la
partie.

Non, pour être franc, Alan était loin de vouloir mourir. C'était bien la dernière chose qu'il voulait. Il commençait sérieusement à se demander ce qu Hansel ferait s'il gagnait... Alan préféra ne pas y penser, tentant de se convaincre qu'il allait gagner à coups sûr. Pourtant, il continuait de fixer Hansel, essayant de trouver une faille dans son regard trompeur, essayant surtout de discerner s'il était vraiment ce qu'il prétendait être. Peut-être que le nom Hansel n'était qu'un pseudonyme. Si c'était le cas, alors il n'aurait pas de misère à gagner contre lui. Peut-être n'était-il qu'un enfant gâté qui ne pensait qu'aux contes de fée. Pourtant, il n'y avait aucune information, aussi infime soit-elle qui pourrait seulement prouver que ce Hansel n'était pas le vrai Hansel. De toute façon, on était dans un monde assez étrange pour que ce Hansel soit bel et bien le vrai Hansel.

Alan décida d'arrêter d'y penser et se concentra plutôt sur les règles du jeu que lui exposait le garçon. Il le fixait, l'esprit rivé sur les règles, essayant dès l'or d'établir des tactiques pour l'attraper. Alan souria en entendant que Hansel allait même se mettre des faiblesses du genre un bandeau sur les yeux. Il était sûr de gagner alors. Et en plus il s'était fais promettre qu'il allait sortir d'ici. Décidé à gagner, il ferma les yeux et se tourna vers un arbre pour commencer à compter.

— 1...2...3...4...5...6...

Il compta jusqu'à 20, puis releva la tête, se mettant à courir pour retrouver sa proie. Il courrait... il courrait... il courrait... il courrait encore... il courrait toujours... AH ! Nah, un lièvre dans un buisson. Alors il continuait de courir... et de courir... et... de... courir...

Alan s'arrêta, essoufflé. Il avait vraiment cherché partout. Mais ce n'était qu'une forêt, il n'avait quand même pas le pouvoir de se rendre invisible... enfin j'espère. Découragé, il décida simplement d'aller jusqu'au lac. Et, comble de la surprise ! Hansel y était, le bandeau sur les yeux. Alan figea.

— Comment...

Son regard changea.

— T'a triché, c'est ça ?

Il espérait tellement que ce soit le cas. Il espérait qu'il ne soit pas arrivé jusque là sans qu'il ne le voit pour de vrai. Il avait sûrement retiré le bandeau pour le remettre par la suite. Il avait dû... non... la vrai question qui roula à ce moment là dans la tête de notre Alan fut ce demander ce que Hansel allait faire de lui.

-1...2...3...4...5.........





Hansel couru avec précision pour ne pas se heurter à un
arbre ou trébucher sur une racine.À en perdre l’haleine il se tapi dans se qui
lui semblait être un buisson. Ses yeux bandé était en fait une très mauvaise
idée. Quelque coupure de branche lui avait entailler la peau légèrement et son
pied le faisait un peut souffrir. Il avait beau bien connaitre la forêt, il n’avait
pas prévu que se serait si difficile de se priver d’un de ses sens. Des bruits de
pas lent qui se rapprochait lui firent presque peur. Je dit bien « presque »
car il n’a jamais peur, c’était un trouble minuscule. Le bruit se volatilisa
peut après et il reparti en direction du lac. Il était plutôt convaincu du
chemin à prendre. Alan avait surement piqué au travers de la forêt en ligne
droite pour ne pas se perdre, donc il parti de l’endroit ou les pas se sont
fait entendre en premier. Autre signe, le bruit des remous était encore
perceptible et il se dirigeait bien dans leur direction. Il était sur la plage attendant son
ami, maussade. Lorsqu’il arriva, Alan l’accusa d’avoir triché...Il retira le
bandeau et le mit à Alan.





-Suis moi.





Hansel se diriga à pas lent vers la demeur, pour permettre à
l’autre de le suivre. Une simple maison mais fort bien bâtti. Le garçon le
suivait toujours après tout il lui avait promis de le laisser faire se qu’il
voulait de lui. Dans la maison, il le poussa sur le lit de sa chambre et sorti
de la pièce. Il en revein avec des bandages, des panssements, de l’alcool et de
quoi manger pour un humain non canibal. Hansel défit doucement la chemise de
Alan sans l’enlever, pour ne pas le strèsser d’avantage et commenca à soigner
la plait qui se trouvait sur le ventre de son ami. Il était prit d’une certaine
pitier pour lui. Pour moi il serait compliquer de vous expliquer le pourquoi de
ses gestes seulement qu’il se revoillait un peut en lui surment. Oui, il avait
terriblement envi de le prendre dans ses bras et d’abuser de lui mais quelque
chose en lui lui disait de ne pas le faire. C’est comme apprivoiser un animal.
Il faut lui donner une récompence et ensuite le laisser tranquil. Dans la
plupart des cas il vient par lui même en demander plus. Pas que c’était ce que
voulait Hansel au contraire il ne voulait que lui rendre service. Et c’est se
qui est le plus bizarre. Le guareau de secours qu’a confectionner Hansel
semblait en bonne état. Maintenant il approcha une fraise aux lèvres de Alan
qui devait mourir de faim.

Al était en rogne. Il fixait Hansel avait frustration, certain qu'il avait triché. Aux premiers abord, il est certain qu'on a l'impression qu'Alan n'est qu'un trouillard, mais quand on a vécu une vie paisible sans aucun problème, des choses aussi étranges que les gens peuplant ce monde pouvait facilement nous effrayer et je ne vous interdis de me contredire parce que c'est bien la vérité. Malgré tout, Alan était quelqu'un de plutôt colérique auparavant. Surtout quand il était soul. Il avait déjà défoncé une voiture avec une batte de baseball parce qu'il était fâché. S'il avait été dans son monde normal, il aurait probablement attrapé Hansel par le collet et lui aurait collé un bon coup de poing au visage. Cependant, il y avait quelques petites choses qui l'empêchaient d'agir ainsi. Premièrement, Alan avait plus peur qu'il n'était fâché alors ça l'empêchait d'agir. Ensuite, il était blessé au ventre. Et finalement, Hansel était de loin plus fort que lui. Surtout que s'ils avaient été dans le vrai monde, Alan n'aurait sûrement pas joué à cache-cache en y pariant sa vie et ne se serait sûrement pas fâché pour avoir perdu. De plus, Hansel n'avait même pas spécifié qu'on avait pas le droit de tricher donc il avait quand même gagné. C'est pourquoi Al ne bougeas pas, conscient qu'il avait dit au garçon en avant de lui qu'il se laisserait faire, peut importe ce qu'il allait lui faire subir.

Il ne bougea donc pas d'un poil quand Hansel s'approcha de lui pour lui installer le bandeau devant les yeux. Tout devint noir autour de lui et il pensa que jamais il ne voudrait être aveugle. Puis l'autre lui demanda de le suivre. Ah ! Bien sûr ! J'arrive en courant ! Sans prendre compte des nombreuses racines dans lesquelles je pourrais m'enfarger parce que je ne vois ABSOLUMENT RIEN !

Et pourtant, Alan se mit à avancer. Lentement, mais sûrement. Il s'enfargeait souvent et il lui semblait que son nez était tombé amoureux avec plusieurs troncs d'arbres parce qu'il en avait embrassé une bonne douzaine. Al commença à penser que ça ne finirait jamais, mais il entrèrent finalement dans ce qui semblait être une maison. Hansel le conduisit quelque part et le poussa sur quelque chose de mou... un lit, probablement. Alan hésita. Il resta couché, mais avait terriblement envie de retirer le bandeau sur ses yeux.

Il entendit les pas partir, puis revenir. Il entendit des objets se faire déposer sur une table sûrement, puis sentis les doigts d'Hansel déboutonner sa chemise. Al remua, stressé, plus que jamais. Pourtant, il ne la retira pas, ce qui eut vent de rassurer de moitié l'adolescent. Mais la seconde s'après, il sentis un liquide couler sur sa plaie suivit d'une brûlure intense qui le fit hurler. À l'odeur, Alan savait très bien que ce n'était que de l'alcool pour désinfecter sa blessure... mais il était quand même pas obligé de vider la bouteille au complet sur son ventre ! La douleur devint de moins en moins pire et Alan se laissa faire. Il ne s'opposait pas vraiment à un peu de soins. De toute façon, il en avait besoin.

Puis, il y eut un long moment de silence où Alan tenta de voir ce qu'il se passait. Cependant, le bandeau n'avait toujours pas été retiré. Après un moment, il sentis une odeur qu'il fut en mesure de reconnaître. L'odeur d'une fraise. Les effluves de fruit pénétrèrent doucement dans ses narines. C'était doux et absolument délicieux. Par réflexe, Alan attrapa le fruit avec ses dent et l'engloutis en moins de deux. Ça devait être la fraise la plus délicieuse qu'il n'avait jamais mangé. Peut-être parce que ça faisait longtemps que son ventre n'avait pas reçu quelque chose à manger. D'ailleurs, c'était devenu un régime vraiment efficace.

Cette seule fraise n'était cependant pas suffisante. Elle n'avait fait qu'accentuer la faim qui torturait son ventre. Affamé, il lécha le doigt d'Hansel, signifiant sans paroles qu'il en voulait encore. Il ferait bien n'importe quoi pour avoir quelque chose à manger... Cependant, il aurait peut-être dû continuer à se méfier...

Quelques secondes suffirent pour que Alan se décide à avaler
le fruit. Il était maintenant certain que le garçon avait fin vu la vitesse
avec la qu’il la engloutit . Ces fraises venait d’un petit potagé que Hansel
avait lui même construit dans les environs. Même si il ne mangeait plus vraiment
nourriture humaine les fraises sont resté le seul mets qu’il aimait. Lorsqu’il
s’appreta à lui en donner une autres, Alan passa rapidement sa langue sur le
bout de son index.


-Nnn...ah..


Il cacha avec peine son dégluti. À nouveau son bas ventre le
poussait à assouvir sont désire de plus en plus incontrôlable de possèder son
ami. La salive du garçon hummectait maintenant son doight, c’était chaud à
cette endroit et si doux. Son souffle devint saccadé et sa gorge se sera comme un étaux.


-Tr..trop...dure...d..de...


Alan s’emblait si faible, insouciant, il était si beau, sa
chemise déboutonnée, les yeux bandés... " Pourquoi tu ne lui saute
pas dessus bon sens!!! " C’était pour lui comme une sorte de lâcheté. Il ne
souhaitait pas précipiter les choses mais.. " Peut-être un baisé...juste
un seul. " Sa langue qui était avant endolorit avait très rapidement
cicatrisé. Si Alan devait le mordre une seconde fois il était près à en courir
le risque. « Juste quelque secondes...pas, pas plus promit » Il se
parlait à lui même comme pour se convaincre. C’est lentement avec toute la
possession de sens moyen possible qu’il approcha son visage du jeune garçon. Le
souffle cours et chaud, il posa ses lèvres avec tendresse sur celle de son ami."juste un peut..."

Alan regrettait encore d'avoir accepté de jouer à ce jeu de cache-cache. S'il n'aurait pas accepté, il serait peut-être un peu mieux. Parce que, croyez le ou non, le fait qu'il ne voit absolument rien le dérangeait énormément. Mais ce qui l'agaçait le plus était bien le fait qu'il soit obligé de se laisser faire. Bien sûr, il appréciait les soins d'Hansel et le peu de nourriture qu'il lui avait offert, mais ce n'était certes pas une petite fraise de rien du tout qui allait les réconcilier pour en faire les meilleurs amis du monde. Alan se méfiait toujours un peu, même s'il les soins et la nourriture avaient allégé ses soucis. Il craignait toujours de se faire violer ou de se faire tuer, parce que même s'il avait dit qu'il se balançait de mourir maintenant ou plus tard... il ne voulait pas vraiment mourir. Le fait qu'il ne voit que du noir ne l'aidait pas non plus à se calmer parce que justement, il ne verrait pas Hansel venir. Il pourrait alors mourir... sans même savoir qu'il était mort... un peu comme dans le 6ème sens.

Le fait qu'il lèche le doigt de Hansel après avoir avalé la fraise tout rond ne fut qu'une impulsion. Un geste que la faim lui avait obligé à exécuter. Et tout de suite après, il entendit l'autre gémir. C'est ce qui le fit revenir à la réalité et il se rendit compte de son geste.

* Wow ! C'est carrément gay ce que je viens de faire ! En plus il a l'air excité ! *

Alan fronça les sourcils, puis lança quelque chose de super brillant du genre "Heu...". Il entendit les quelques paroles de l'obsédé et hésita encore plus. Il avait vraiment envie de déguerpir... mais bon... l'autre était par-dessus lui alors il ne pouvait pas aller bien loin. Surtout qu'il allait probablement le rattraper sans grand problème.

C'est en se demandant comment partir d'ici qu'il sentit un contact sur ses lèvres... et c'était loin d'être de la nourriture. Merde, mais il était en train de l'embrasser ! Alan posa ses mains sur le torse de Hansel pour le repousser, mais il n'en fit rien. Il lui avait promis de ne rien faire. Alors il reposa ses mains sur le lit, sentant le tissu des draps sous ses doigts. Il ferma les yeux, pas pour ne rien voir (parce que même s'il les gardais ouvert il ne voyait rien) mais bien pour essayer de penser à autre chose. Peut-être penser à son ancienne vie. Cependant, ses pensées furent interrompues par des bruits de pas pressés qui entraient dans la chambre. Qui est-ce que ça pouvait bien être ?

Il sentis Hansel rompre le contact sur ses lèvres et descendre de sur lui. Alan n'y comprenait rien. C'était la voix d'une fille. Elle engueulait Hansel, en lui lançant des grosses insultes. Al ne put s'empêcher de se redresser. Il lâcha un gémissement à cause de sa blessure et retira son bandeau. En voyant la chambre, Al resta figé, comme prit dans la glace.

Ce n'était pas une chambre, c'était une salle de torture ! Il y avait des armes de toutes sortes accrochées au mur et son style était vraiment effrayant. Ses yeux se posèrent ensuite sur la fille. Elle était peut-être belle, mais elle faisait vraiment peur. Elle avait l'air encore plus sadique que Hansel.

— Qu'est-ce que...

Pendant un instant, il souhaita ne jamais avoir retiré ce bandeau de sur ses yeux.

La bouche...Un mystère
qui en est un de taille pour Hansel. Son tout premier baisé fut avec un garçons
à l’école primaire et c’est bien sûr lui qui en était l’entemetteur. Il avait
accoté le frêle jeune homme dans un coin des toilette et l’avait embrasser de
force. Pourquoi? C’est une exellente question! Ça peut paraitre bizarre mais
si il n’en tenait cas lui le terme «faire l’amour » ne se résumerait qu’au
contacte des lèvres. Pour lui il n’y à rien de comparable, même pas se qui suit
un baisé, rien ne peut surpasser se moment ou deux être conssantant *...pas
toujours...*se retrouve si près l’un de l’autre qu’il peuvent sentir les
battements de leurs coeurs et le contacte de leur corps, si chaud. Comme
je l’ai dit c’est très propre à lui même. Bon, pour sa première fois dis ont qu’il
avait trouver se garçons extrèment mignon et qu’il l’aguichait au plus au point.
Un jour il s’était couper avec un feuille de papier et à licher le bout de son
doigh. Chose anodine qui pour un pervert est une véritable torture. C’était
pareille pour Alan il ne faisait pas exeption. Vraiment mignon, fragille,
boulversé, agité....Après Alan n’a pas intéret à dire qu’il n’a rien fait pour
mérité ce qui lui arrive. C’est Hansel qui ne méritait pas d’endurer les avances
physiques du garçons. Beau à se point en devenait un pêcher et dieu sait à quel
point il a pêcher dans sa vie.C’est un miracle que Hansel se retienne si bien
après tout se temps. Mais se qui était de loin le plus impressionnant c’est qu’il
n’a pas repensé à Gretel un seul instant de puis des lunes. Ses lèvres toujours
en suspenssion sur celle de Alan, il avait bien sûr ressenti la rétissence de
son ami. Il avait de plus mi ses mains sur son torse. Qu’il ne vienne pas dire
qui ne l’exite pas expret! Comble de l’ironi il fini par ceder. « Non
mais....il est sérieux je vais..vraiment vouloir le.. »





Des bruit de pas, non de course éffrainer entrèrent en
trombe dans sa chambre et à contre coeur il se sépara de la bouche de son
compagnon pour constater avec une étrange frailleur que Gretel était là. Debout,
de glace son armes à deux canons de gros calibre en mains près à servir. Elle
était en furie complètement démente.





-Pourquoi tu me fait ça!? Mais qu’est
ce que j’ai fait pour mériter un sort pareil?!? Explique moi! Toi qui sait
tout, qui sait tout faire, fait moi quitter se fichu monde de merde. Si tu n’y
arrive pas j’te jure que je te tue. J’suis sérieuse j’vais t’éclater la cervelle,
te découper en morceau, manger tes organes et te faire brûler dans le foyer,
comme ça tu vas savoir comment sait de mourir dans la souffrance. Toi t’as pas
souffèrent. Vas y aide moi si non...je.





Elle s’approcha de Hansel qui était complètement figé sur
place et elle lui souffla à l’oreille.





-Je croit que je vais te le
voler, le violer, l'attacher à une laisse et m'en servir comme esclave, lui faire mal et lorsque je lui aurrai fait perdre tout espoir de rédemption je le tuerai devant tes yeux. Ce sera mon meilleur repas, une proie que je t'aurais volé, j'en salive d'avance. Toi je te garderai pour le dessert mon frère.









Gretel regardait Alan avec un appétit de fauve prète à
attaquer.

[Désolé, j'ai mis du temps ^^'']


Et voilà qu'une autre malade arrivait dans la chambre. Elle semblait carrément effrayante. Même Hansel semblait la craindre à en mourir. On voyait bien dans ses yeux qu'il n'aurait jamais souhaité sa présence en ces lieux... et encore moins à ce moment là. Ce qui fit frémir Alan fut sûrement l'arme qu'elle tenait fermement entre ses mains. Jamais de toute sa vie, il n'avait imaginé une fille au regard de tueur, tenant une arme de gros calibre dans les mains. Elle semblait tout droit sortie d'un film d'horreur et, bizarrement, elle allait parfaitement bien avec le décor de la chambre, ce qui la rendait encore plus terrifiante. Al était complètement immobile, comme un enfant devant un grand danger qui resterait figé sur place. Il regardait la scène, écoutant la fille lancer toutes sortes d'injures à Hansel. De ce qu'il en comprenait, c'était qu'elle l'aimait et qu'elle était furax. Seulement ça, rien d'autre. Sauf peut-être... qu'elle semblait vouloir quitter ce monde.

Ce grand dialogue, il ne l'avait pas très bien comprit en fait. Cependant, le deuxième fut entendu aussi clairement que si elle se tenait juste à côté de lui. Alan avait une très bonne ouïe. Ça n'avait rien d'un don, c'était un peu comme les profs qui entendaient la conversation d'un groupe d'élève à l'autre bout de la classe alors que la salle entière est bruyante. C'était la même chose... excepté le fait que Alan n'était pas professeur... Cependant, pour être honnête, il aurait vraiment aimé ne pas entendre ce que la malade mentale avait chuchoté à son "amant". Un peu comme quand on vous dit qu'il y a une araignée qui marche près de vous et que vous pensez que vous auriez aimé ne pas le savoir. Cette menace de mort glaça le sang de l'adolescent. Normalement, on n'a pas peur de ce genre de chose parce qu'on est parfaitement conscient que la personne ne s'exécutera jamais... mais pour cette fille, c'était complètement différent. On voyait très bien, seulement en regardant dans ses yeux, qu'elle ne plaisantait absolument pas. Elle regardait l'humain comme s'il s'agissait d'un grand bol de crème glacé avec un délicieux coulis au chocolat. Son regard était tellement effrayant que même si son cerveau lui criait de s'enfuir, Alan était incapable de bouger le petit doigt.

* Aller bouge, idiot ! Merde, qu'est-ce que t'attends ? D'être en morceau pour décider de déguerpir ? Aller, bouge ! BOUGE ! *

Son dernier mot fut comme un terrible choc électrique qui lui administra une terrible douleur au ventre, là où s'était fiché la flèche, des heures plus tôt. Il cria puis, comme un ressort, sauta hors du lit. En quelque seconde, il regarda autour de lui. Il avait le choix entre trois portes et il savait parfaitement bien qu'il n'avait pas le droit à l'erreur. Deux de ces portes étaient fermées et il ne voulait pas courir le risque de les trouver fermé à clé. Cependant, il y en avait une, la plus proche, qui était entrouverte. Tant pis, il fallait tenter le tout pour le tout.

C'était un couloir ! Super ! En courant, Alan se retourna pour regarder où en était la "charmante" demoiselle pour remarquer qu'elle courait sacrément lentement. C'était son don ! Jamais il n'avait profité de son pouvoir depuis qu'il avait manqué de se faire tuer à cause de lui, mais puisque le moment était vraiment, mais vraiment critique, il redoubla de vitesse pour se distancer de la fille qui semblait à peine marcher malgré ses grandes enjambées. Au bout du couloir, il y avait trois portes. Une droit devant et les deux autres à droite. Pas le temps de tourner, Al choisissait celle tout au fond. Et qu'elle chance, elle n'était pas verrouillé.

Cependant, Alan n'aurait jamais dû crier victoire aussi vite. Aussitôt qu'il eut pénétré dans la pièce, une odeur horrible pénétra ses narines comme un bataillon entier de soldats en putréfaction. L'odeur lui donna un terrible haut le cœur et il manqua de vomir l'unique fraise qu'il avait eu l'occasion de manger. Il posa sa main sur son nez et sa bouche, se sentant forcé de retenir sa respiration. Cependant, le contenu de la pièce devait être encore plus horrible que l'odeur elle-même.

À l'intérieur, on ne pouvait discerner aucune autre porte que celle par laquelle Al était entré et, empilé sur le sol se trouvaient une trentaine de corps humain. Certains étaient à moitié dévoré, d'autre ne restaient d'eux que leurs os. Seul une bête aurait pu manger ainsi, mais Al savait parfaitement que ce n'était pas une bête. C'était la fille qui était à sa poursuite. Alan resta immobile pendant des longues secondes à regarder cette horreur, sentant son cœur battre dans sa poitrine si fort qu'il lui donnait l'impression qu'il allait défoncer sa cage thoracique. Alan leva rapidement la tête. Il fallait à tout prix qu'il sorte d'ici. Il y avait une fenêtre. Avec un peu de chance, il pourrait l'atteindre en escaladant les cadavres. Il se retourna pour voir où en était rendu la fille. Elle progressait... trop rapidement aux yeux de l'humain. Il commença dès l'hors à monter, le plus rapidement possible. Il y avait un espoir. Un seul... mais s'il le manquait, c'était fini.

Quand il fut prêt d'atteindre la fenêtre, il glissa sur un des corps en décomposition et dévala la pente pour atterrir sur le dos. Il serra les dents. Il avait terriblement mal à cause du choc et il avait la mauvaise impression que sa cheville était foulée. Quand il ouvrit les yeux, son cœur s'arrêta. La fille le regardait de haut, prête à le dévorer.

— Ne... ne me fais pas de mal...

Murmura-t-il, suppliant. Sa malchance le suivait comme la peste depuis son enfance et il aurait vraiment apprécié que pour une fois dans sa vie elle lui donne une chance... une chance de survie.

Comment devait-il réagir?
Devait-il confronté sa sœur? Protéger Alan…? Y a-t-il une seule bonne réponse à
toutes les questions qu’il se forçait de résoudre…Mais celle qui le tiraillait,
le torturait, le tuait à force « À qui la faute? » Mais la
sienne…bien sûr mais il tentait de trouver un autre coupable. Personne. La
seule femme qu’il est jamais aimée, il l’avait rendu folle, démente. Se que
Hansel sentait dans ses yeux était loin d’être de la jalousie, lui qui avait
tant espéré. Elle voulait le tuer…..Une larmes se mirent à mouiller sa joue et
des tremblements le firent tresaïr. Sa vue se couvrit d’un voile humide causé
par les larmes et les sanglots. Il n’avait jamais été aussi misérable. Des
bruits de pas rapides lui parvaint et d’autre qui les précedères. Tout à cout
la panique prit le dessus sur tout. Alan allait souffrir! Il ne le méritait pas,
il n’avait rien à voir avec les problèmes entre lui et Gretel. Il n’allait pas
la laisser en faire un martir surtout pas maintenant qu’il apprenait à peine à
le connaitre…. « Il s’appel Alan….il est beau….heu... » Ce n’était
pas suffisant pour lui, il voulait connaitre sa victime un minimum comme il l’avait
fait avec les…37 autres avant Alan. Gretel n’avait elle pas le moindre envit de
l’épargner. Les esprits clairs il prit la charge vers le couloir lorsque qu’un
bruit fort suivi d’un crit de douleur horrible lui glaça le sang. Alan!!!_____________________________________________________________


Gretel avait faim, une faim qui
lui tenaillait le ventre depuis des heures elle voulait sans défaire au plus
vite. La chose la plus proche d’un repas venait de s’enfuir en courant. Elle
couru à grande vitesse mais se serait attendu à rattraper le petit gibier très
rapidement se qui n’était pas le cas, il courait beaucoup plus vite qu’elle!!!
Comment est-ce possible? Lorsque le garçon entra dans sa chambre elle avait retrouvé
son avance et entra dans la pièce peut après et vit le mome escaladé avec peine
le tas d’os qui était le sien. Il en tomba et s’approcha de lui son arme toujours
en main. Les paroles de trouillard que prononça le mec la fit rire un peut mais
pas le temps pour plaisanter. Avec sa main libre Gretel empoigna solidement la
machoir de la cible et le souleva en l’aire. Elle allait lui mettre un balle dans
la tête. MANTENANT! Mais un mal mordit son ventre si vite que cette blessure
entraina une perte de consience presque immédiate, le temps de crier sa douleur
et de relacher Alan sur le sol.





Dans la pièce il vit
Gretel étandue de tout son long sur le sol alors que
Alan lui semblait sans dommage. Même qu’il semblait moin pâle qu’il ne l’était. Sa sœur commencait lentement
à baigner dans une mare de sang. Paniquer il se pencha vers elle, défit son
corsset et découvrit une plait identique à celle de Alan. Il n’en était pas
surprit toutefois. Depuis un certain temps il avait découvert les drôle de
vertu du touver de Gretel. Un jours il avait eu une forte fièvre et quelques
seconde après avoir prise sa température elle fut prise d’une grande faiblesse,
alors que lui se sentait guérit. Il regarda son jeune ami qui était surment en
bonne état maintenant que sa sœur l’avait soigné.


-Tu peux partir. Prend se que tu veux ici je ne te forcerai
pas à resté c’est ton choix. Si tu reste je ne peux garantir ta sécurité. Tu
comprend? Me..maintenant..je…


Les tremblements le reprirent de plus belles. Gretel dans
ses bras il se retourna pour partir mais resta dans l’encadrement de la porte.


-Merci et adieu Alan….


Tout se passa au ralenti, il déposa Gretel dans un chambre
voisine à la sienne, lui fit les premiers soin, retourna à sa chambre, pris
dans ses mains le 9 millimètres de Gretel et le mit sur sa tempe.


-Adieu

Alan tremblait de tout son corps. Couché sur le sol, il espérait que la fille change soudainement d'idée. Que tout d'un coup elle aille envie de dévorer une fille plutôt qu'un garçon ou plutôt que la colère que lui avait inspiré Hansel lui avait coupé l'appétit. N'importe quoi, en autant qu'elle s'en aille. Un gâteau à la chair humaine qui était en train de brûler dans le four ou simplement un coup de téléphone. Mais non, rien de tout ça. Elle resta immobile à le regarder de haut comme s'il s'agissait d'un insecte qu'il fallait éliminer au plus vite. De son côté, Alan ne faisait que fixer l'arme que la fille tenait dans ses mains. Il avait la nette impression qu'une de ses balles allait lui transpercer la poitrine dans très peu de temps.

L'odeur fétide de la pièce et la douleur dans son dos et à sa cheville lui brouillait la vue. Il se sentait mal. La peur semblait vouloir lui proposer un marcher : Qu'il perde conscience de cette façon il ne sentira rien venir. Pourtant, rien ne se passa. Il sentit clairement la pression qu'exerçait la main de la fille sur sa mâchoire et il sentit aussi ses pieds quitter le sol. En voyant l'Arme se rapprocher de sa tête, Alan ferma les yeux et serra les dents, attendant de voir venir la mort à grands pas pour qu'elle puisse l'amener en enfer... parce que c'était seulement ce qu'il méritait.

Pourtant, il n'entendit jamais la détonation qu'il aurait dû entendre. Il entendit un cri qui n'était pas le sien et sentit l'impact de sa cheville foulée contre le sol. Ce mauvais atterrissage lui arracha une plainte sourde. À ce moment là, la seule pensée qui put traverser l'esprit d'Alan fut celle-ci.

* Je suis vivant... *

La chance était elle finalement venu lui donner un coup de main ? Non... à y penser. Alan aurait préféré mourir. Il serait alors enfin sortit de cet endroit de malheur. Sa chance se transformait alors en malchance, lui laissant alors l'occasion de se demander s'il n'était pas déjà en enfer. Alan soupira puis il entendit Hansel arriver au ralentis. Il était encore choqué par les passés événements, c'était normal... Al remarqua que Hansel le regardait. Au lieu de renvoyer son regard au l'autre cannibale, il regarda la blessure de la fille. Elle était identique à la sienne. Parlant de cette blessure, il n'avait plus mal à cet endroit. Seule sa cheville le faisait souffrir. Il regarda le bandage sur son ventre et l'enleva. En dessous... rien... même pas une cicatrice. Rien ! Alan fronça les sourcils.

— ...comment...

Il releva les yeux vers Hansel qui lui demanda de partir. Ensuite il disparut dans le couloir. Alan resta assis pendant un bon moment jusqu'à ce qu'il essaie de se lever. Ça lui prit un bon 5 minutes puisque sa cheville était douloureuse. Il dû boiter jusqu'à la chambre de Hansel. Quand il ouvrit la porte, il se rendit compte qu'il voyait toujours au ralenti, mais cette fois c'était beaucoup trop lent. Hansel ne semblait pas bouger du tout. Il ne comprenait pas... il n'avait pas aussi peur... il allait bien même. Malgré tout, il décida de faire un truc... S'il avançait, Hansel ne le verrait probablement pas puisqu'il serait probablement trop rapide pour lui. Il avança donc vers lui et s'assit à côté de lui. Il lui prit son révolver et le mit sur sa propre tempe. Il attendit ensuite que son pouvoir s'arrête pour que Hansel soit en mesure de le voir. Quand celui-ci le remarqua enfin, Alan plongea ses yeux dorés dans les siens.

— J'ai pas encore honoré ma promesse de tout à l'heure... j'ai pas vraiment eu le temps, en fait...

Alan lança le flingue à l'autre bout de la chambre et attrapa le bandeau noir qu'il avait laissé sur le lit. Il l'attacha autour de ses yeux et resta immobile, face à Hansel. Puis, il se mordit la langue.

* Qu'est-ce que je fais là ! J'aurais dû partir ! *

L’ arme qu’il tenait avec force dans sa main semblait
vouloir lui brûler la paume. Il la tenait ainsi depuis quelque seconde mais le
geste fatidique tardait à venir. Hansel repensait à sa vie, quant avait-il
fait? Semé de peur, de meurtres, de sang et de larmes avait-il seulement vécu? À
t-il seulement aimé...Pour la première fois de sa « vie » il se
remettait en question. À quoi maintenant rimerai de changer si personne ne peut
le remarquer. « MAIS à quoi sa rime »
Il avait décidé d’y mettre fin...La tout de suite, qu’est ce qui le fesait
hésiter à se point? Personne ne veut de lui. Même Gretel en à mare de lui. « 1,
2, 3...g ! » À la seconde ou il s’apprètait à tirer, là ou se trouvait son
arme, un grand vide entre ses doighs. Quelqu’un était assit près de lui et
lorsque son regard croisa les yeux de Alan il en eu le souffle couper.


-Pourquoi?


Ce fut la chose la plus intelligente qui lui traversait l’esprit, bien sûr
des questions il en avait des tonnes mais il ne trouvait plus la force de même
pensée à les prononcer. Le seul mots qu’il compris dans la réponse était « Promesse ».
« Ce garçon est tomber sur un vrai psychopate, il font un pari

le perd,
force en ai de faire le bon vouloir d’un fou, rencontre sa soeur détraquer,
passe à deux doight de la mort et malgré tout il reste pour honnorer une
promesse faites à se malade qui est moi...Qui est le plus fou de nous deux? »
Ce schéma aurai pousser plusieurs personne à fuir si il en avait la chance mais
Alan était une exception semble-il, ou un sadomasochiste? Probablement pas. Hansel
ne croyait pas mérité une tel gentillesse. Alan avait replacé le cuir sur ses
yeux et restait immobile en attente de quelque
chose. Si Hansel était gentil il aurai retiré le tissus de son visage et l’aurai forcé à partir au
plus vite car c’est ce qu’il y avait de mieux à faire vraisemblablement. Mais le
problème est qu’il ne l’est pas. Son égoïsmes vas prendre le dessus. Il fit
basculer Alan sur le lit et lui empoigna solidement les poignets. Si ont
pouvait calculer le désirs comme la température je dirai il serai à deux cent
de fièvre. Une douleur euphorique, voilà comment décrire cette envie de succomber
au pêcher, de le violer. Il s’écrasa de tout son long sur le corps de son
partenaire en laissant glisser sa cuisse entre les jambes de l’autre. Hansel
était électrisé, il n’avait pas ressenti ça depuis un bon moment et il n’allais
surment pas s’en priver. Il souhaitait éterniser cette instant et recommença à
quelque reprise tout en embrassant le coup si délicat de son ami. Il remonta
jusqu’à sa machoir et passe lentement sa langue sur celle-ci comme pour en
gouter toute les saveurs. Il manquait quelque chose pourtant. Il devina
facilement ce qui le dérangeais. Avec ses dents il défit la languette de cuir
qui cachait toute la beauté des yeux de Alan. Il plongea sont regard dans le
sien. Soudainement les pupilles de Hansel devainrent rouges. Il pencha sa tête
en direction de son oreille et lui susura mielleusement... :


-Désir moi.


Puisqu’il était là il en profita pour mouiller le lobe de
Alan. Et recommença à macculer sa peau de baiser.

Si Alan avait été lucide, s'il n'avait pas été bouleversé par les derniers événements, il serait probablement partit sans se soucier une seule seconde du fait que Hansel s'éclate la cervelle. Il aurait continué son chemin, plus que content de sortir de cet endroit. Il aurait peut-être courut en espérant ne jamais revivre une telle chose. Il aurait essayé d'oublier pour essayer de passer à autre chose même si malgré tout il serait tombé sur un autre malade au moins une heure après qu'il ait quitté son dernier cauchemar.

Cependant, la situation aurait été la même, même si Alan serait parti après avoir été attaqué par la démente. Elle aurait peut-être même été pire parce qu'il boitait alors il était plus lent et donc plus vulnérable. S'il aurait alors seulement sortit le nez dehors, il se serait fait tuer pour de bon, même si au fond quelque chose à l'intérieur de son cœur voulait mourir. D'un autre côté, Alan n'Aurait jamais pu partir comme ça. Après s'être fait attaqué par Gretel, il ne voyait plus vraiment Hansel comme un être dangereux. Il le voyait plutôt comme un martyr même s'il aurait peut-être jamais dû penser une telle chose. Ensuite, Alan devait la vie à Hansel parce qu'il savait parfaitement que la cannibale ne l'aurait jamais épargné. C'est peut-être la raison principale qui a fait que Alan était parti. La deuxième raison était qu'il était blessé à la cheville et qu'il n'irait plus très loin avec celle-là.

Mais il y avait bien un détail. Alan n'aurait jamais dû demander de rester de cette façon. Il avait bien vu qu'il avait faillis se faire violer par Hansel avant que Gretel arrive pour le menacer. Par exemple, ce n'était pas la première chose à laquelle il pensait à ce moment là alors qu'il était assis à côté de son sauveur. Tout ce à quoi il pensait était qu'il était encore vivant... bien vivant et presque en un morceau si on parlait de son état physique. Parce que mentalement il était vraiment bouleversé. Si bien que ce n'était pratiquement pas lui qui avait prononcé la phrase suivante. Et c'est pourquoi, quand il revint à lui, il se rendit compte de son erreur.

Mais il était trop tard pour revenir sur ses paroles.

Déjà, Hansel le faisait basculer vers l'arrière, lui empoignant solidement les poignets. Il sentis le corps de l'autre se coller sur le siens de tout son long et Alan hésita. Il remua un peu, essayant de se défaire de la poigne d'Hansel. Il prononça un petit début de mot dont le reste avait pris du retard et s'était perdu un peu plus loin dans sa gorge.

— ...att...

Alan ferma les yeux, même s'il voyait déjà noir. Il poussa un gémissement à peine audible quand il sentis la jambe de l'autre s'approcher de son entrejambe. L'autre partie de son mot finit enfin par retrouver son chemin pour qu'enfin les deux parties se réunissent.

— ...attends...

Quand il sentis les baisers subtils de Hansel sur son cou, il pencha la tête sur le côté. Il semblait vouloir l'éviter. Il serra les dents et ferma les yeux un peu plus fort. Sa mâchoire était tendue. Il remua encore, mais il ne pouvait pas faire grand-chose. Hansel était étendu sur lui de tout son long et le retenait par les poignets. Il se mit à s'en vouloir énormément de lui avoir proposé d'honorer sa promesse. Il aurait pu dire quelque chose d'autre...

Puis soudainement, la lumière fut. Il ouvrit lentement les yeux, remarquant que Hansel le fixait intensément. Il hésita. Une lueur de peur brillait dans son regard. Il n'aimait pas la nouvelle couleur des yeux de Hansel et tout son corps échappa un frisson quand il entendit ses paroles résonner au creux de son oreille. Puis il continua à le couvrir de baisers dont chacun d'eux avaient le pouvoir d'augmenter son stress. Alan se mit à se débattre avec un peu plus de ferveur.

— Arrête... Hansel...

Alan referma les yeux et resserra les dents. Il entendait son cœur battre dans sa tête à une vitesse folle et il sentait quelque goûtes de sueur perler sur son front pour descendre dans son cou. Il s'était mis bien profond dans le pétrin... comme il savait si bien le faire.

« Tout jeune ont ma dit que si le bonheur ne m’était
pas accessible, je devait lui donner des raisons de se pointer. J’ai fait le
gentil dans l’espoir de vivre heureux…et un jour passa, des semaines, des
années…Même avec toute ma bonne volonté je n’ai pu rester saint d’esprit. Je n’étais
pas malheureux, juste que je voulais plus. Des phrases, furent tous se que l’on me
donna pour me réconforter : « Ca vas passer tu verras demain sera
mieux », « Y’a des pauvres petits enfants en Afrique qui voudraient
bien se que tu as! ». C’est moi ou tout le monde est près à croire tout se
que leur parents disent, pour mon cas je ne l’ai avait jamais écouté. Le jour
où je me suis mi à souhaiter voir les autres souffrir pour mon propre plaisir,
se fut magique. S’approprier le bonheur était beaucoup mieux que d’attendre
sans succès le mien qui se tardait à venir. J’étais peut-être heureux à se moment
là…Alors pourquoi…cela me semble si vain tout à coup? »


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-Désir moi


Suite à ces mots, Alan semblait plus tendu que jamais. Hansel
cru qu’il allait peut être trop vite pour lui, ce qui était sûrement le cas. Le
garçon ne se débattait plus mais tout ses muscles semblait raide. Cette nervosité,
cette naïveté le rendait attachant par moment et plus précisément maintenant.


-Laisse toi aller, ça fera plus mal si tu reste de glace
comme ça, croit moi sur parle, j’en ai fait saigner plus d’un.


Le bout de ses lèvres vinrent caresser le coup de Al, à mi
chemin entre l’oreille et l’épaule. Lentement il y planta ses dents comme s’il
s’agissait de son repas. Il faut dire que c’est trois jours sans manger lui
martelait le ventre. Ses canines s’enfonçait solidement dans la chaire crisper,
quelques lamper de sang acheminèrent à sa bouche. Le goût en était doux, l’odeur
sucré et le plaisir qu’il apportait sans nom. Lui vain alors l’envi de manger
Alan en entier…pourquoi pas? La raisons en était pourtant claire, comment
pourrait-il être heureux après? Sa sœur voudra sans doute récidiver et le tuer.
Pour le moment, la seule chose qui la empêcher dans finir était se garçons. Une
existence si insignifiante qu’il pourrait la détruire en quelques secondes.
Mais en quelques secondes, Alan était aussi devenu la raisons de rester d’
Hansel. Il relâcha complètement son emprise pour se redresser sans prévenir. Il
était assit sur les cuisses de Al comme s’il le chevauchait. De ses mains il
caressa la poitrine de l’autre, le torse, les hanches, puis de plus en plus
bas, restant sans pudeur il se départit de sa chemise et revint sur son ami. En
peut de temps, Hansel défit quelque peut le pantalon de l’autre et ses doigts commençaient
à jouer avec Alan. Avec précaution et
douceur. Un grand sourire planait sur son visage, certain même dirait qu’il
riait.


-Si tu y mettais un peut du tien tu verrais combien tu te sentiras
mieux. Vien Al !

Alan venait tout juste de se rendre compte qu'il allait se faire violer. En fait, ce n'était pas parce qu'il était lent d'esprit, mais plutôt parce qu'il n'avait pas encore accepté ce fait. Il ne voyait tout simplement pas comment Hansel pourrait le violer... il voyait plutôt ça comme un mythe... quelque chose qui n'arrive qu'à "la sœur de la tante à ma voisine". Il ne voyait pas le viol comme quelque chose d'existant en ce monde. Il avait pris conscience de l'existence de la drogue, de l'alcool et du jeu... mais pas du viol. Al savait que Hansel n'allait pas le tuer puisque dès le début il avait démontré un désir à son égard beaucoup plus intense que celui de le voir étendu au sol, sans vie. Il savait que dans une position comme celle-ci, sur le lit, il n'avait plus que la dernière option... et il ne pouvait rien faire pour l'en empêcher.

Ce pourquoi il ferma les yeux un moment donné, ignorant les paroles d'Hansel qu'il aurait pourtant dû écouter, se forçant à s'envoler dans un autre monde pour se réveiller quand tout serait fini. Il fermait les yeux si fort qu'il en avait mal aux paupières. Pourtant, une douleur plus intense vint lui lacérer le cou et le sortit de force de son monde imaginaire. Il ouvrit grand les yeux en poussant un gémissement étouffé. Il sentait un liquide chaud couler sur son cou et cette fois, ce n'était pas de la sueur, il en était sur. Il avait peur. Il avait peur tout à coup. Il avait l'impression que Hansel allait le dévorer en entier jusqu'à ce qu'il ne reste de lui que des os immaculés. Il savait que l'homme par-dessus lui ne se différenciait pas de sa sœur. Il devait être comme elle... et donc aussi affamé qu'elle. Et encore une fois... il ne pourrait rien faire pour l'en empêcher.

Non, attendez, il y avait une chance.

Cette chance se déclara quand Hansel relâcha ses bras. Oui, mais Alan ne réagis pas tout de suite. Il avait bien un minimum d'intelligence. C'est pourquoi il resta couché, les yeux fermés, oubliant la présence d'Hansel pendant quelques instants, ignorant les mains du garçon qui jouaient avec son pantalon. Il riva complètement son esprit sur son passé.

* Tu ne t'aurais pas laissé faire. Tu l'aurais envoyé valser plus loin. Et tu n'as pas changé. Tu es toujours le même. Alors fais le, espèce de trouillard ! *

Quand Alan rouvrit enfin les yeux, il eu tout juste le temps d'entendre les derniers mots d'Hansel. Et tout ce qu'il répondit fut :

— Comme tu voudras.

Sur ces mots, il lui envoya un coup de poing droit de toutes ses forces, faisant tomber Hansel à sa gauche. Il en profita pour lui donner un coup de genoux dans les bijoux de familles pour qu'il ait le temps de s'éloigner de lui. Il se leva, passant sa main sur la blessure dans son cou pour ensuite regarder le sang sur ses doigts en grimaçant. Il se riva sur la porte à droite complètement qui était verrouillé. Sa "chance" le suivait alors toujours... L'adolescent recula dans un coin de la chambre, voyant que Hansel venait de se relever pour se diriger vers lui. Alan regarda autour de lui et prit la première arme accrochée au mur qui lui tomba sous la main. Il avait tombé sur une hache. Il la brandit vers Hansel, sans grande hésitation. Mais ses mains tremblaient... parce que même s'il était le même, le monde dans lequel il était maintenant n'était plus le même... tout comme les gens qui y vivaient. Il eut quand même le courage de dire :

— N'avance pas !

Le seul moyen que Hansel avait
trouvé pour se débarrasser de son désir était malheureusement d’y céder. Il en
venait toujours à « ça ». C’était vraiment nécessaire pour lui?...Non.
Je ne voudrai pas parler pour lui mais j’ai le sentiment que s’il fait du mal
au gens c’est parce qu’il est persuadé que personne ne voudrai de lui s’il
restai lui même..La force et le régime de la terreur semblai bien marcher pour
lui. En fait si vous l’auriez connu avant sa débauche, vous auriez vu un garçons
gentil et très capable de sentiment honnêtes, très altruiste et farceur
invétéré. Il a fini par choisir de faire de ses désir une illusion, alors que
son bonheur se trouvait dans la réalité. Son monde a lui, ou il ne voit que son
propre contentement et ou il ignore la douleur qu’il inculque aux autres. Lui,lui,lui....Un
brusque retour à la réalité le frappa de plain fouet. Le point de Alan venait d’embrasser
sa joue, la rendant extremement douloureuse.Comme si ça ne lui avait pas suffit,
le garçon lui administra un franc et rapide coup de genoux bien placer...ou
pas!



Les larmes lui montèrent au yeux. Aujourd’hui est sûrement le jour
ou il a le plus pleuré de ça vie...Pauvre de lui. (Dans les coulisses du rpg...« Hé toi l’auteur!
J’aimerai bien t'y voir toi aussi tu chialerai comme un bébé, me cri
Hansel. » *T’es pas sensé souffrir le martir toi?*!!!) Plier en deux il regarda impuissant son
compagnon faire des tentatives déséspèrés pour sortir de la pièce pour Hansel
la douleur de cette d’abandon pur est simple de ses sentiments, était plus
souffrant que les coups de Alan. C’était surtout de la que venait l’eau qui
suintait de ses yeux car le mal c’est bien vite dissipé. Il se leva et avança
penaude vers Alan, qui venait de prendre sa hache en main. Ce que son ami
semblai ne pas avoir remarqué c’est que la lame n’était pas affuté et elle
était si abimé qu’elle ne l’aurais même pas blessé. L’aire contraint, Hansel
fixa le sol suite à la menasse que Al lui avait intimé.


-Pourquoi es-tu rester? Ne dit
pas que tu souhaitait réelement honoré ta promesse, c’est faux. Regarde toi,
je te fait peur et tu es tétanisé. Je n’est rien a te donner mise à part une
amer déception. Tu es tomber dans les pattes d’un gros lion féroce et dans la
toile d’une migale affamé. C’est avec ça que tu compte te protégé? Si tu veut
me tuer vise plus haut et prend se SIG-550 qui est derrière toi, et tir. Dans
le cas contraire, je te l’ouvre cette porte, mais seulement si tu m’embrasse d’abord
et assure moi que tu souhaites toujours me tuer car moi c’est ce que je voulait
faire avant que tu ne vienne tout gâcher.....Quoi que je croit que tu m’en ai
enlevé l’envie. Je voudrai que tu reste.





Tout du long de son exposé, il continuait à fixer le
plancher qui semblais se dérober sous ses pieds .Ses joues mouiller ne voulais
pas sécher et donc quelques goûtes tombait sur son torse nu. Avec sa
longue frange blonde il tentait de dissimuler ses yeux rougis. * Imaginé un
enfant en bas âge à qui on à refusé un bonbon avant le souper...o///o Calin!* Les
poings fermer, il attendit la fin.