Fiche Du Personnage

NOM : Charming (Moszel)

PRÉNOM : Prince (Belphégor)

AGE : 19 ans

GROUPE : Once Upon a Time...

POUVOIR : télékinésie, fait apparaître des armes

ORIENTATION SEXUELLE : Hétéro



DEscriptION PHYSIQUE : (plus de 5 lignes)
Le Prince en est un, sans l'ombre d'un doute. Trois choses ne trompent pas : son port altier, le diadème de platine et d'or blanc posé sur l'ample crinière de cheveux blonds cachant toute la partie supérieure de son visage, si bien qu'on ne puis voir ses yeux, et son petit sourire supérieur toujours collé au visage lorsque ce n'est pas un grand sourire de psychopathe. Mis à part ça, le Prince est des plus ordinaires. Un corps grand et extrêmement svelte, à savoir 1.70m pour 60 kg de muscles, pas un pet de graisse ne vient souiller ce corps au sang bleu. Il porte souvent des pulls roses rayés noirs, pour une raison inconnue, et porte par-dessus des sweats ouverts noirs aux manches striées de grosses rayures blanches. Évidemment, un Prince ne se promène pas à moitié à poil, et porte par conséquent des pantalons noirs et serrées, limite moulants, rattaché par une ceinture de cuir blanche tout à fait inutile. Ses pieds sont quand à eux couverts des agressions externes par des chaussures blanches haute coutures.

Il a une drôle de manie le Prince...,Cette manie, c'est sortir des couteaux bizarres de nulle part : de ses manches, ses cheveux, son sweat, son pull, son calecif, personne ne sait où le Prince cache tout son éventail de couteaux, pouvant en faire apparaître dans sa main comme un magicien déplie un paquet de cartes. Lorsqu'il est contrait par son humeur ou son ennui d'en venir à s'en servir, il les relie à un fil invisible, lui aussi venu de nulle part, et use de son pouvoir de contrôle de vent afin d'orienter facilement la direction que prend la file de couteaux, technique surprenant plus d'un combattant aguerri, qui a à combattre des fils tranchants comme des rasoirs, des couteaux qui le sont tout autant, et ce de tous les sens... Scary...

DEscriptION MENTALE : (plus de 7 lignes)
Par où commencer dans le Profilage (à l'anglaise) du Prince ? Je ne sais, c'est dur à dire.. Allons-y tout de même. prince est, pour commencer un dominateur compulsif, souffrant d'un complexe de supériorité flagrant, ayant tendance à prendre tout le monde pour ses vassaux ou ses suivants, fut-il Dieu lui-même, s'adressant à eux avec un vocabulaire très étendu d'éloge, de reproches où juste de conversation, tentant de marquer ainsi la différence de niveau intellectuel. Il n'est cependant pas stupide, et sait boucler sa grande boîte à sarcasmes quand cela sert ses intérêts, malgré sa triste habitude de jouer avec le feu.

Pour aborder ses côtés plus sombre, commençons par le fait que c'est un souverain. Il gère une petite partie de Nightmare Town, tentant de faire baisser la criminalité, et ce par tous les moyens, parfois même par des exécutions. Mais ce que personne ne sait, c'est que nombre de condamnés passent en fait par une salle située dans son manoir, une salle de torture, où Prince s'assoit dans un fauteuil de velours en mangeant des petits gâteaux et regarde de pauvres hères se faire torturer, quand il n'est pas le bourreau. Que les victimes soient des femmes ou des enfants ne le gêne pas, tant qu'ils ont une belle voix. mais s'ils crient mal, ou s'ils ne crient pas, ils ont une chance sur deux soit de se faire exécuter de suite, soit de se faire libérer, selon l'humeur du Prince.

Mais le plus effrayant chez lui, ce sont ses pulsions. Chaque rencontre, que ce soit avec ses fidèles ou ses ennemis, peuvent tourner au massacre ou au badinage. Prince est imprévisible. Dites-lui deux choses identiques à des moments différents, et il rira à un et exécutera l'autre.Cette imprévisibilité plonge ses quelques courtisant dans l'appréhension de chaque entretien, pouvant obtenir des faveurs ou un allez-simple vers la guillotine de façon totalement aléatoire, le Prince pouvant se vexer même sous des éloges, bien que cela soit rare. mais c'est pour les filles que cela est plus tendu. Prince est très penché sur la chaire féminine, qu'elle soit vivante... Ou morte. Prince est nécrophile, et souffre d'un fort complexe d'œdipe, ayant tué sa mère pour l'avoir toujours avec elle. Nonobstant, si le Prince veut une fille avec lu pendant un temps, il l'aura, même s'il doit la tuer, ce qui est une des principales raisons pour lesquelles il n'a que très peu de refus.

HISTOIRE : (15 lignes minimum)
Le Prince ne vient pas d'ici. Non, il vient d'ailleurs, un monde que chacun connaît, ou presque. Ce monde, c'est le nôtre. Notre bonne vieille Terre... Le Prince, avant d'adopter officiellement ce titre comme protonyme, s'appelait Belphégor. Belphégor Noszel, héritier au trône d'un petit royaume de l'Europe de l'est. Il naquit du Roi et d'une prostituée. A sa naissance, le roi eu peur de l'enfant, sans raison, il avait incroyablement peur de ce bébé blond qui dormait dans les bras de cette petite catin. Mais le Roi était bon et affable, et ne pouvait laisser seule une mère demandant sa protection. Il fit de la fille sa première suivante, et éleva le fils comme s'il fut le sien, la Reine étant stérile. Tout le pays était en émois. Après 40 ans de règne, le couple royal avait enfin une descendance, l'impureté de son sang ayant été cachée au peuple. On fit une grande fête, et tous les souverains des pays alliés furent convié à ce grand évènement, à la suite duquel le petit Prince fut baptisé selon les coutumes Orthodoxes, dans la plus grande religiosité.

Belphégor (ce fut son nom) fut élevé par... Personne... Son père était embourbé dans une guerre sans merci, et la Reine sa "Mère" se désintéressait totalement de lui, malgré la montagne de cadeau dans laquelle elle tentait d'étouffer sa demande d'amour. La seule à s'occuper de lui fut la première servante, sa mère inconnue, qui l'éleva selon les principes du bon peuple, générosité, compassion lui furent inculquées. Madame la Reine n'était pas très satisfaite que l'on éduque son fils comme un va-nu-pied. Et quand sonna le tocsin de ses 6 ans, il ne retrouva plus la suivante. Elle avait été remerciée, sans qu'il ne le sache. Cela opéra une grande déchirure dans son cœur, qui se ferma plus sûrement qu'une huître.

Les précepteurs se succédèrent. Durant les cinq années d'autisme totale de Belphégor, le petit Prince en compta pas moins de 20. Et malgré ce que tous croyait, les enseignements des précepteurs firent leur chemin dans le cerveau innocent du bambin, mais ils en furent déformés. Belphégor apprit sans le vouloir que le respect venait de la puissance, et la puissance de la domination. Dominer, c'était être puissant et respecter. Et il ne fallait SURTOUT PAS faire montre de laxisme ou de bonté, ou alors c'était nous qui se faisions dominer.

On aurait pu croire que Belphégor resterait dans cette position fœtale toute sa vie, mangeant en intraveineuse tant il s'était plongé dans l'immobilité la plus totale. Le Roi n'était toujours pas disponible, madame la Reine prit des mesures, et ré-invita pour un jour la première Servante, entre-temps retournée sur le trottoir. Elle fut amenée devant le Prince-Huître, comme on l'appelait. Sa vue réveilla de suite Belphégor. Mais Belphégor le gentil bambin n'était plus. Maintenant, il n'y avait que le Prince Belphégor, le dominateur et le mégalomane héritier du trône. Il traita sa mère (bien qu'il n'en sut rien) comme la roturière qu'elle était, ne montrant ni amour ni affection à son égard. Après une demi-heure de discussion stériles, elle s'en fut, les yeux embués de voir son fils se comporter ainsi envers elle, elle qui l'avait portée durant neuf mois malgré son travail.

A présent âgé de 11 ans, Belphégor fut un Prince espiègle, défiant les enfants des rues à des jeux dont lui seul connaissait les règles, les astreignant en cas de défaite à lui servir d'escorte jusqu'à ce qu'il fussent affranchi de leur "dette". Il vécu ainsi dominateur durant quatre années, se constituant une véritable cour. Mais, alors qu'il était âgé de 15 ans, sa vie changea lorsqu'il fit la connaissance d'une fille. Une catin spéciale pédophile, elle aussi âgée d'une quinzaine d'années. S'ensuivit une relation surtout motivée par l'argent et les hormones, mais au cours de laquelle se tissa un véritable lien entre les deux adolescents. Belphégor reprenait les couleurs de la bonté, "affranchissant" une grande partie de sa soi-disant cour. Mais une fois encore, après 6 mois de quasi-bonheur, son doux rêve fut brisé. La jeune fille fut tuée par un client trop violent, Belphégor retrouva un jour son corps étranglé gisant dans sa chambre.

Contrairement aux pires prévisions des médecins qui le consultèrent durant son coma de huit semaines, Belphégor ne redevint pas le Prince-Huître. Il était toujours le même. Les seules choses qui avaient changées était sa frange qui lui couvrait les yeux, son besoin permanent de porter une couronne, à un tel point qu'il devenait anxieux lorsqu'il n'en avait pas, et sa tendance à la violence et à la barbarie, son rire effrayant et sa grande fréquentation des morgues où, à l'insu de tous, il allait assouvir ses noires pulsions sexuelles et jouer avec des scalpels qui deviendront plus tard l'arme favorite de "Prince the Ripper"...

Chaque chose a une fin. La gloire, la Vie tout. Et parfois tout fini en même temps. Triste, triste jour pour le royaume. Alexander VII dit "le Bon" était mort. Un cancer du larynx eu raison de sa vigueur légendaire. Triste jour, oui...Pas seulement à cause de la mort du bon sire, mais surtout par la faute de l'avènement du Prince Belphégor II. Tout changea du jour au lendemain. La prostitution fut autorisée, les châtiments à l'encontre des pédophiles furent allégée, et celles des tueurs et des voleurs lourdement augmentées. La torture revint dans les mœurs de ce pays qui avait retrouvé une fragile tranquillité. Belphégor faisait un roi impitoyable, punissant ceux qui étaient contre lui et récompensant les lèches-bottes tout en les humiliant continuellement. Un Roi qui battait ses serviteurs tout en s'inclinant devant la Reine-Mère et en allant fréquemment assister aux tortures et aux exécutions publics, souvent par décapitions, des fois en brisant tous les os du corps, selon les humeurs du Prince-Roi.

Mais une chose était tout de même positive : sous le règne de "Prince the Ripper", nouveau sobriquet du Prince-Huître, la médecine fit un grand bond en avant, surtout dans la conservation des corps morts. En façade pour garder les corps des morts illustres et les vénérer comme des reliques, en coulisse pour garde frais les corps des femmes mortes qui gisaient dans une salle secrète de la suite du Prince. Souvent, de nouvelles femmes allaient rejoindrez cette macabre collection, surtout des prostituées, à la peau lisse, où les coupures se voyaient bien, selon les goûts du Roi. C'était Belphégor lui-même qui "testait" et "récoltait" ses "produits". Il descendait en ville, accompagné d'un ou deux gardes et de quelques scalpels, et se tapait une ou deux prostituées, qu'il ramenait ensuite au palais, avant de les exécuter le plus souvent,parfois se contentant de les enchaîner et de s'en servir comme poupées gonflables sans les nourrir, tuant les enfants de celles qui survivaient trop longtemps, servant leur chair aux banquets de la cour.

Mais son manège cessa un jour, un jour où le Prince devint visiblement fou, alors qu'il s'arrangeait auparavant pour camoufler ses crimes. Lors d'une de ses "rafles", il tomba sur une catin au visage familier. Bien qu'il n'en sut toujours rien, c'était sa mère. Il monta avec elle et lui fit l'amour comme un damné, incroyablement excité. Il avait décidé de la laisser en vie, mais la femme dit une phrase de trop, alors qu'elle était à deux doigts de sombrer dans le sommeil "Le prince est mon fils...". Belphégor péta un plomb. Il l'étrangla en la cinglant de questions, sur un ton meurtrier... Et éclata en larmes, le cœur déchiré... Il se saisit d'un de ses scalpels, et lui trancha la tête. L'esprit totalement irrationnel, il alla jusqu'à descendre dans la rue, la tête (la morte) dans les bras, du sang coulant encore du coup sans corps. Il injoncta aux gardes de la suivre aux château. Ces pauvres hères obéirent, terrifié par la vue de cet enfant de 17 ans tenant serrée contre lui, en un geste protecteur et possessif, la tête à la figure crispée de terreur d'une prostituée anonyme. Mais sa mère ne réagit pas de la même façon. Elle hurla de terreur, alors que son "fils" l'ignorait totalement. Il rentra dans sa chambre sans se soucier du monde extérieur, et ouvrit sa secrète antichambre de l'enfer, où gisaient nombre de corps de femmes mortes, et nombres d'autres enchaînées par le cou qui sanglotaient. Belphégor déposa la tête et sortit, un grand sourire aux lèvres, alors que toute l'assistance était absolument terrorisée, n'osant même pousser un cri devant ce gamin démoniaque. Se tournant vers les gardes, les bras écartés en signe d'impuissance, il leur dit d'un ton de défi "Bourreaux, faites votre office". Poussés par la terreur, ils lui attachèrent les mains dans le dos et l'assommèrent.

Belphégor se réveilla dans une salle blanche capitonnée. Il reconnu là les chambres douillettes d'un asile psychiatrique. Il était au anges, riant toute la journée en dodelinant la tête, riant aux éclats face aux médecins et aux psychologues. Il vécu ainsi 2 ans, durant lesquelles eut lieu son procès. Évidemment, il fut condamné à être pendu par le cou jusqu'à ce que mort s'ensuive. Il marcha à l'échafaud en souriant, et fut pendu, devant un parterre qui hurlait à la haine et l'insultait de tous les noms d'ordure, de pourriture, de crevure, etc...

FIN ? Pas si sûr, car ce Cauchemar de Prince se réveilla. Dans un lit. Un grand lit de noble. Il se souvenait de tout son passé, bien qu'il ne sut où il était. Il regarda dehors, par la grande fenêtre. S'étalait devant lui une grande ville aux ruelles sombres... Une ville où chaque vie n'était que sans importance pour les yeux cachés qui la contemplait, pour le sourire qui illuminait d'une lumière noir le visage du Prince. Une ville où tout allait reprendre. Où Belphégor, ou plutôt Prince désormais, allait pouvoir s'amuser, une ville sur laquelle régner, un monde à écraser. Prince allait prince s'amuser, ça oui... Le sang allait couler sur les bottes du Génie du Combat, les cris allaient résonner comme de douces symphonies aux oreilles du terrible et impitoyable "Prince the Ripper"... Le jeu allait commencer, et il allait sacrément bien s'amuser....

Un rire mauvais éclata dans la nuit de Nightmare Town, et tout un chacun ressentit dans sa chaire que tout ce qu'il avait connu jusqu'à présent n'était que peccadilles à côté de ce qui allait se passer...

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Bienvenue sur le forum chère prince !! =D
J'ai hâte de voir la fin de ta présentation !

Bienvenue sur le forum, Prince Charmant aux charmantes dents~

Merci, merci, chères demoiselles...

Lotti, si tu faisais la traduction de mon avatar, Knifes veux dire Couteaux ^^

Bienvenue ^^

Hum je croquerais bien sa majesté....

*sort*

Bienvenue dans mon merveilleux monde

Bienvenue Prince ... ( Toi aussi tu aime le sourire de Belphegor de KHR ? XD )

Oh, mais je l'ai remarqué, Sir Charmant~
Mais vos dents sont toutes aussi charmantes.